Effectivement Leman, on n’a pas reparlé du couplage/decouplage. J’ai eu les crios rouge avec le filetage spécial sous les Intégrale et après moult essais avec les pointes d’origine, des contre-pointes de diamètre différents et les crios, on a fini avec une crios rouge sous la pointe centrale et deux pointes d’origine différentes avec des soucoupes larges derrière sur les Signature avant de revenir aux soucoupes d’origine et de jouer sur l’inclinaison verticale de l’enceinte... Tout ça in fine toujours validé a l’oreille évidemment (y compris celles de PEL en personne !!). Comme il me le dit à chaque fois que je le sollicite pour un avis sur des questions de couplage et de positionnement : le seul moyen de savoir c’est d’essayer !!
Sur les Crios rouge (adaptées au poids des Intégrale):
- très en dessous, métallique, artificiel dans la première pièce d’écoute à Paris (plancher chêne massif collé sur dalle) et donc remisées au profit des pointes d’origine + contrepointes médium
- impératif vital à Marseille (idem plancher chêne massif collé sur dalle mais sans vide sous la dalle contrairement à Paris qui était en étage) sinon, un bas très brouillon, des résonance très parasites partout et donc des effets de masque dans le médium/bas médium et donc, et donc, et donc….
2 - avec les Signature:
- on n’arrivait pas à régler l’éloignement du mur du fond de façon optimale et satisfaisante sur tous les plans ( profondeur de la scène, position des pupitres dans la largeur et la profondeur, , assise du bas, densité et matière…) et il y avait toujours quelque chose à regretter quand on constatait un progrès dans l’une des dimensions.
Le premier vrai progrès a été obtenu en mettant une seule crios rouge sous le point central avant, pointes d’origine avec grandes contrepointes à l’arrière. C’était spectaculaire: quand on l’enlevait pour remettre la pointe d’origine, la scène sonore reculait et rétrécissait…
Le vrai point d’équilibre a été trouvé en remettant les 3 pointes d’origine avec les nouvelles coupelles d’origine (plus épaisses avec un système de billes pour caler la pointe - je n’ai plus la marque en tête mais PEL en équipe les signature de série me semble-t-il) et en éloignant ensuite les enceintes d’environ 20cm supplémentaires soit 60 au total du mur du fond (je n’avais pas retenu ce positionnement avant: basses très grasses, envahissantes, « à franges ») et 50 de chaque côté.
Voilà pour un retour d’expérience qui vaut ce qu’il vaut !
[quote='Vincent.' pid='811492' dateline='1730569939']
@Robifabs, merci pour ton témoignage, très intéressant avec les différentes mises en œuvre.
Comme toi, je suis "très très très sensible à cette signature assez unique sur le marché dans cette gamme de prix".
Et si je puis dire : (et m....) encore un cran de plus en faveur des Signature après les Caprice :-)
En plus je les trouve très réussies visuellement parlant. Affaire à suivre...
Elles sont visuellement très réussies. À la fois classiques et modernes avec la façade noire et les coins arrondis. J’adorais la robustesse visuelle des Intégrale mais les Signature font plus facilement l’unanimité, surtout dans une pièce de vie.
Et je comprends parfaitement le côté «m… » du décalage du barycentre des Caprice aux Signature mais pour autant que je puisse en juger, y’a pas vraiment photo une fois bien mariées au bon système et bien associées à la salle d’écoute.
Sur les Crios rouge (adaptées au poids des Intégrale):
- très en dessous, métallique, artificiel dans la première pièce d’écoute à Paris (plancher chêne massif collé sur dalle) et donc remisées au profit des pointes d’origine + contrepointes médium
- impératif vital à Marseille (idem plancher chêne massif collé sur dalle mais sans vide sous la dalle contrairement à Paris qui était en étage) sinon, un bas très brouillon, des résonance très parasites partout et donc des effets de masque dans le médium/bas médium et donc, et donc, et donc….
2 - avec les Signature:
- on n’arrivait pas à régler l’éloignement du mur du fond de façon optimale et satisfaisante sur tous les plans ( profondeur de la scène, position des pupitres dans la largeur et la profondeur, , assise du bas, densité et matière…) et il y avait toujours quelque chose à regretter quand on constatait un progrès dans l’une des dimensions.
Le premier vrai progrès a été obtenu en mettant une seule crios rouge sous le point central avant, pointes d’origine avec grandes contrepointes à l’arrière. C’était spectaculaire: quand on l’enlevait pour remettre la pointe d’origine, la scène sonore reculait et rétrécissait…
Le vrai point d’équilibre a été trouvé en remettant les 3 pointes d’origine avec les nouvelles coupelles d’origine (plus épaisses avec un système de billes pour caler la pointe - je n’ai plus la marque en tête mais PEL en équipe les signature de série me semble-t-il) et en éloignant ensuite les enceintes d’environ 20cm supplémentaires soit 60 au total du mur du fond (je n’avais pas retenu ce positionnement avant: basses très grasses, envahissantes, « à franges ») et 50 de chaque côté.
Voilà pour un retour d’expérience qui vaut ce qu’il vaut !
[quote='Vincent.' pid='811492' dateline='1730569939']
@Robifabs, merci pour ton témoignage, très intéressant avec les différentes mises en œuvre.
Comme toi, je suis "très très très sensible à cette signature assez unique sur le marché dans cette gamme de prix".
Et si je puis dire : (et m....) encore un cran de plus en faveur des Signature après les Caprice :-)
En plus je les trouve très réussies visuellement parlant. Affaire à suivre...
Elles sont visuellement très réussies. À la fois classiques et modernes avec la façade noire et les coins arrondis. J’adorais la robustesse visuelle des Intégrale mais les Signature font plus facilement l’unanimité, surtout dans une pièce de vie.
Et je comprends parfaitement le côté «m… » du décalage du barycentre des Caprice aux Signature mais pour autant que je puisse en juger, y’a pas vraiment photo une fois bien mariées au bon système et bien associées à la salle d’écoute.
S1: Lampizator Kraftwerk, Entreq Silver Tellus Infinity II ; démat: switch SotM, RJ45 Mavros Atlas, Aurender W20, Lampizator Horizon, Cardas Clear Beyond XLR ; phono: TW-Acustic Raven AC, My Sonic Lab Ultra Eminente, Brinkmann Edison MkII, Purist Audio Aqeous Aureus XLR ; Thrax Heros mk1, Audioquest Thunderbird zero, Peleon Signature
S2: Aurender ACS10, Lampizator Golden Gate 2, Brinkmann HiEnd Integrated Mk2, Audioquest Thunderbird Zéro, Peleon Quattro, Nordost Qb8
S2: Aurender ACS10, Lampizator Golden Gate 2, Brinkmann HiEnd Integrated Mk2, Audioquest Thunderbird Zéro, Peleon Quattro, Nordost Qb8
Je suis également accro à cette marque depuis 6 ans environ. J’ai découvert PEL avec les Serena, je les ai gardées 5 ans avant d’avoir une grosse opportunité à 10 minutes de chez moi : des Maestral comme neuves et pas cher ! 
Je n’avais pas le projet de vendre mes Serena car elles me convenaient très bien au quotidien. Je m’intéressais un peu aux colonnes de chez PEL comme les belles Alycastre. Là, un bel upgrade avec les Maestral par rapport aux Serena. Des basses mieux contrôlées, moins envahissantes, les Serena envoyaient vraiment beaucoup de basses chez moi, l’impression d’avoir un caisson en plus. Sur les Maestral, les aigus et médiums sont plus fins, plus détaillés, une scène sonore plus haute, plus large, plus profonde, plus aérée, des timbres magnifiques… Tous les styles passent bien… Le kif total pour moi depuis qu’elles sont dans mon salon. Bon, elles sont imposantes mais ça me va ! 
