11-20-2017, 09:39 AM
C'est toujours marrant les CR....
On se demande si on était au même endroit.
Heureusement j'étais venue pour passer un moment avec des passionnés.
Parce que pour le reste...
J'avais fait la bêtise de partir sans paracétamol. Et je l'ai rapidement regretté.
Summit /Devialet :
déséquilibré.
Déjà cela empêche d'apprécier.
Aigus qui ne montent pas, et qui restent au fond de la cour en retrait, tout sur un seul plan.
Medium vaguement mieux mais toujours plat.
Magico/Devialet :
Aigus qui ne montent pas, comme dit sur un autre fil cela donne une furieuse envie de le crever ce plafond qui écrase tout !
Des aigus ça doit filer libre !!! Là c'était étouffant.
Aucune scène sonore, aucune profondeur.
Tous les pupitres indifférenciés platement.
Rien qui ressort.
Jadis/Spendor :
Enceintes pas rodées .
Je ne sais toujours pas comment un distributeur peut oser présenter du matériel sorti de carton.
Dix heures de vol !!!!!!
Il en faut 300 pour savoir de quel objet on parle. ....
Donc évidemment des aigus qui grincent, aucune ouverture, et pas de cohérence des registres.
Logique, inévitable.
Jadis /TAD :
Là aussi une scène réaliste, des pupitres qui ont chacun leur vie, bien distincts, de la profondeur, et une ampleur qui impressionne vu la taille de l'enceinte.
De l'impact, ouf !!
Et en venant de chez Devialet qui n'en avait aucun, ça faisait du BIEN !
Nagra/YG :
Alors là il y avait UN morceau sur lesquel il ne fallait surtout pas tomber, où le son était enfermé dans les enceintes, et où il n'y avait pas d'image.
C'était l'enregistrement car dès les premières notes du morceau suivant c'était un autre film.
Intéressant d'écouter Driss El Maloumi écouté chez Jadis/TAD : là immédiatement tout prend son sens ! C'est juste trois galaxies plus loin à tout point de vue, on garde ce réalisme des pupitres qui int chacun leur expression, mais en plus on a une vision d'ensemble cohérente.
Intéressant aussi de réécouter Vincent Bélanger, ce violoncelliste qui faisait la promotion chez Micromega au salon du Novotel.
Là lorsque j'ai demandé quel était ce disque quand j'ai vu la pochette je suis restée en semi arrêt cardiaque : impossible de croire que c'était le même.
Une profondeur abyssale, la moindre inflexion expressive, les vibrations....
J'aurais pu passer la journée avec ce système.
ENFIN des basses profondes, assises, et qui ne ressemblent pas à de la sono !
Mais ce n'est qu'un détail au regard de la sensation d'avoir le concert dans la pièce.
De l'impact, de la ressource, tout époustouflant et rien de caricatural.
Les aigus filent librement très haut et jamais rien n'accroche.
C'est expressif.
C'est silencieux, ce silence qui distingue immédiatement les grands systèmes.
Les acoustiques de salon sont pitoyables pour tout le monde, mais certains exposants savent faire marcher le matériel en dépit des circonstances.
Et certains matériels dépassent largement les possibilités des autres, c'est indéniable.
Chacun ressent à sa façon.
En fonction de son vécu.
Mais en ressortant de ce stand mon mal de tête avait disparu.
On se demande si on était au même endroit.
Heureusement j'étais venue pour passer un moment avec des passionnés.
Parce que pour le reste...
J'avais fait la bêtise de partir sans paracétamol. Et je l'ai rapidement regretté.
Summit /Devialet :
déséquilibré.
Déjà cela empêche d'apprécier.
Aigus qui ne montent pas, et qui restent au fond de la cour en retrait, tout sur un seul plan.
Medium vaguement mieux mais toujours plat.
Magico/Devialet :
Aigus qui ne montent pas, comme dit sur un autre fil cela donne une furieuse envie de le crever ce plafond qui écrase tout !
Des aigus ça doit filer libre !!! Là c'était étouffant.
Aucune scène sonore, aucune profondeur.
Tous les pupitres indifférenciés platement.
Rien qui ressort.
Jadis/Spendor :
Enceintes pas rodées .
Je ne sais toujours pas comment un distributeur peut oser présenter du matériel sorti de carton.
Dix heures de vol !!!!!!
Il en faut 300 pour savoir de quel objet on parle. ....
Donc évidemment des aigus qui grincent, aucune ouverture, et pas de cohérence des registres.
Logique, inévitable.
Jadis /TAD :
Là aussi une scène réaliste, des pupitres qui ont chacun leur vie, bien distincts, de la profondeur, et une ampleur qui impressionne vu la taille de l'enceinte.
De l'impact, ouf !!
Et en venant de chez Devialet qui n'en avait aucun, ça faisait du BIEN !
Nagra/YG :
Alors là il y avait UN morceau sur lesquel il ne fallait surtout pas tomber, où le son était enfermé dans les enceintes, et où il n'y avait pas d'image.
C'était l'enregistrement car dès les premières notes du morceau suivant c'était un autre film.
Intéressant d'écouter Driss El Maloumi écouté chez Jadis/TAD : là immédiatement tout prend son sens ! C'est juste trois galaxies plus loin à tout point de vue, on garde ce réalisme des pupitres qui int chacun leur expression, mais en plus on a une vision d'ensemble cohérente.
Intéressant aussi de réécouter Vincent Bélanger, ce violoncelliste qui faisait la promotion chez Micromega au salon du Novotel.
Là lorsque j'ai demandé quel était ce disque quand j'ai vu la pochette je suis restée en semi arrêt cardiaque : impossible de croire que c'était le même.
Une profondeur abyssale, la moindre inflexion expressive, les vibrations....
J'aurais pu passer la journée avec ce système.
ENFIN des basses profondes, assises, et qui ne ressemblent pas à de la sono !
Mais ce n'est qu'un détail au regard de la sensation d'avoir le concert dans la pièce.
De l'impact, de la ressource, tout époustouflant et rien de caricatural.
Les aigus filent librement très haut et jamais rien n'accroche.
C'est expressif.
C'est silencieux, ce silence qui distingue immédiatement les grands systèmes.
Les acoustiques de salon sont pitoyables pour tout le monde, mais certains exposants savent faire marcher le matériel en dépit des circonstances.
Et certains matériels dépassent largement les possibilités des autres, c'est indéniable.
Chacun ressent à sa façon.
En fonction de son vécu.
Mais en ressortant de ce stand mon mal de tête avait disparu.