On peut en parler ailleurs, pour éviter le HS.
Pour le NAA, le Gustard intégrant un streamer avec une sbc (basique), j'ai laissé de côté le streamer externe, le câble USB, l'alimentation, etc...
Le tout direct (comme avant), sans switch, en IPV6.
Je suis d'accord avec toi sur la carte qui n'a pas besoin d'être Intel mais il y a l'intégration et la mise à jour des drivers qui selon, permettent de gagner côté traitement logiciel pas le serveur (stabilité du traitement, latence, etc).
Et pour le coeff multiplicateur mais il me semblait que l'intérêt (réel ou illusoire) était d'avoir une clock qui donne le ton pour la plupart des éléments de la chaine (côté serveur et DAC, aps ex.).
(03-10-2023, 06:23 PM)zaurux a écrit : [ -> ]Je suis d'accord avec toi sur la carte qui n'a pas besoin d'être Intel mais il y a l'intégration et la mise à jour des drivers qui selon, permettent de gagner côté traitement logiciel pas le serveur (stabilité du traitement, latence, etc).
Salut Stéphane je suppose que tu parles d’un environnement Windows où l’accès aux paramètres des drivers (cf recommandations JCAT) est plus simple que sous Linux ?
Oui mais globalement, un driver au delà de l'interface de gestion, c'est surtout du code bien écrit et optimisé. Parfois, la puce sort.. le driver est écrit, corrigé.. puis on attend la nouvelle puce.
Chez Intel, il y a un peu plus de suivi qualité même si à un moment, on passe à la suite.
Sous linux, il y a ethtool mais j'avoue ne plus avoir trop pratiqué.
Les capacités d'une carte I350 sont très largement supérieures à l'usage d'un serveur audio ou streamer,
On utilise pas 5% de la capacité de traitement des données de ce type de carte multiflux, etc..
C'est justement dans un environnement Windows que le bâs blesse car les mises à jour récurrentes des Windows obligent aussi la mise à jour des drivers de son environnement.
Sous Linux, la donne est beaucoup plus simple compte tenu des mises à jour plus limitées mais surtout de la mise à jour également des bibliothèques de drivers.
Ceci étant, certaines cartes cartes (I350) n'apportent pas plus que certaines autres comme les I82576.
Pour les horloges, ce que dit est vrai dans la mesure où tu disposes d'un OCXO (ou autre) maitre donc qui pilote toutes les cartes ensemble et en même temps.
C'est comme un chef d'orchestre, en numérique , c'est la synchronisation de l'ensemble qui est la plus importante , un élément c'est bien, mais cela reste insuffisant...
C'est ce que je fais, mais cela passe par un OCXO maitre (Unique) suivi de multiplicateurs de fréquence avec verrouillage de phase et fréquence (PLL) et des splitters de signaux (multiplicateurs de signaux) pour attaquer toutes les cartes que tu dois reclocker....
Bref, ce n'est pas simple de mise en œuvre, sans compter les alims, mais, crois moi, le St Graal passe par là et pas autrement...
(03-10-2023, 03:33 PM)Mellowman a écrit : [ -> ]Blague à part, et sans présumer des résultats, les tests comparatifs entre nos solutions respectives et l'AfterDark auront au moins le mérite d'enrichir nos connaissances .
Moins nos portefeuilles
mais bon on est des couillons assumés notamment sur les clocks
Désolé, mais je n'ai rien de plus à dire....
Vous avez tout dit....
Une revente sera toujours possible
Je n'avais pas pu souscrire à l'achat groupé de Lucia. On sera certainement dans le même cas de figure avec des forumeur qui voudront se procurer le produit ultérieurement à un prix plus abordable.
En tout cas, il n’y a pas beaucoup d’inscrit sur AS pour l’AfterDark
Je ne suis pas étonné et c’est à se demander si le chiffre de 200 est atteignable.
Diretta est confidentiel et même si quelques distributions Linux peuvent le démocratiser, cela demande un peu d’effort.
Diretta est également certainement intéressant pour ceux qui ont des entrées USB sur leur dac défaillantes et mal conçues et qui ont besoin de compenser. Il vaut peut être mieux choisir son dac
Tout ça combiné, contribue à son faible intérêt, ce qui ne m’empêche pas de l’apprécier au quotidien et de continuer à investir.
Le problème des interface USB/I2S provient qu'à l'exception de deux marques connues (Tambaqui et Holo), elles proviennent des mêmes fournisseurs. Si l'assembleur ne prévoit pas d'amélioration... Il ne peut y avoir de miracle. Même si j'observe qu'il y a eu avec le temps de grosses améliorations !
Ceci étant dit: il se trouve que même les utilisateurs de ces exceptions trouvent un intérêt à utiliser Diretta... Dès lors, quel est le meilleur choix : investir dans un dac avec une bonne interface et utiliser Diretta, ou laisser Diretta diminuer la pollution d'une interface moins qualitative, pour au final arriver probablement au même résultat ! Sur ce seul critère, la plus value d'une bonne interface devient discutable.