02-14-2018, 02:57 PM
Je voudrais évoquer ici un musicien, guitariste que j’aime bien. –Ce live pour ses 50 ans de carrière, «Live at the Hollywood Bowl », retrace son parcours, depuis les Yardbirds.
De très belles images et un son en DTS HD Master permettent de savourer ce concert où les Guests stars ne font pas que de la figuration. On commence par le répertoire des Yardbirds, avec trois titres chanté par Jimmy Hall (ex- Wet Willie), puis vient la période Jeff Beck Group "Beck's Bolero (composé par Jimmy Page)», puis la période jazz-rock et le soutien de Jan Hammer aux claviers. "Let me love You" est l'occasion d'un duel au sommet entre Beck et Buddy Guy, toujours aussi facétieux, "Scared for the children" est une superbe ballade chantée par Rosie Bones qui fait preuve ici d'une réelle présence scénique. Enfin, tel un diable bondissant, le toujours juvénile Steven Tyler déboule sur scène pour deux titres des Yardbirds. Beth Hart est envoutante dans une reprise d’Eta James, « I’d Rather go Blind » mais surtout dans un final d’enfer pour un hommage à Prince avec « Purple Rain ».
Personnellement je mettrais ce dernier live derrière JB « performing this Week …. Au Ronnie Scott’s jazz club à Soho » qui est une superbe prestation, avec un groupe d’enfer : Vinnie Colaiuta (un grand pour les amateurs de batterie), une toute jeune bassiste redoutable Tal Wilkenfeld et Jason Rebello aux claviers. Avec comme Guests Stars Joss Stone, Imogen Heap et le maitre Éric Clapton. Pour ceux qui observent bien, dans le public on reconnait différentes stars comme Jimmy Page et Robert Plant ainsi que Brian May et Bon Jovi. On est happé dès le début et la tension monte de plus en plus à chaque morceau. Dans « A Day In The Life » ou « Cause We've Ended As Lovers » le guitariste dévoile tout son talent. Sans médiator, du bout du pouce ou de l'index, tout en actionnant le vibrato et le potard de volume (essayez c'est hyper-facile!), il sculpte le son avec sa strat et égale le lyrisme de certains grands souffleurs de jazz. Et, pour tout arranger, l’image est superbe, que demander de plus ? Dans un genre différent, « JB Rock’n’roll Party » honoring Les Paul, c’est du Rockabilly, avec notamment une découverte pour moi, Imelda May. Ce concert vous embarque réellement dans le bon R&R classique. Tous les musiciens sont au top, un grand moment de bonheur! A noté que dans ce concert capté en 2010 à "l’IRIDIUM" NYC on aperçoit Bowie en spectateur attentif au fond de la salle! L’image est de qualité, le son superbe.
De très belles images et un son en DTS HD Master permettent de savourer ce concert où les Guests stars ne font pas que de la figuration. On commence par le répertoire des Yardbirds, avec trois titres chanté par Jimmy Hall (ex- Wet Willie), puis vient la période Jeff Beck Group "Beck's Bolero (composé par Jimmy Page)», puis la période jazz-rock et le soutien de Jan Hammer aux claviers. "Let me love You" est l'occasion d'un duel au sommet entre Beck et Buddy Guy, toujours aussi facétieux, "Scared for the children" est une superbe ballade chantée par Rosie Bones qui fait preuve ici d'une réelle présence scénique. Enfin, tel un diable bondissant, le toujours juvénile Steven Tyler déboule sur scène pour deux titres des Yardbirds. Beth Hart est envoutante dans une reprise d’Eta James, « I’d Rather go Blind » mais surtout dans un final d’enfer pour un hommage à Prince avec « Purple Rain ».
Personnellement je mettrais ce dernier live derrière JB « performing this Week …. Au Ronnie Scott’s jazz club à Soho » qui est une superbe prestation, avec un groupe d’enfer : Vinnie Colaiuta (un grand pour les amateurs de batterie), une toute jeune bassiste redoutable Tal Wilkenfeld et Jason Rebello aux claviers. Avec comme Guests Stars Joss Stone, Imogen Heap et le maitre Éric Clapton. Pour ceux qui observent bien, dans le public on reconnait différentes stars comme Jimmy Page et Robert Plant ainsi que Brian May et Bon Jovi. On est happé dès le début et la tension monte de plus en plus à chaque morceau. Dans « A Day In The Life » ou « Cause We've Ended As Lovers » le guitariste dévoile tout son talent. Sans médiator, du bout du pouce ou de l'index, tout en actionnant le vibrato et le potard de volume (essayez c'est hyper-facile!), il sculpte le son avec sa strat et égale le lyrisme de certains grands souffleurs de jazz. Et, pour tout arranger, l’image est superbe, que demander de plus ? Dans un genre différent, « JB Rock’n’roll Party » honoring Les Paul, c’est du Rockabilly, avec notamment une découverte pour moi, Imelda May. Ce concert vous embarque réellement dans le bon R&R classique. Tous les musiciens sont au top, un grand moment de bonheur! A noté que dans ce concert capté en 2010 à "l’IRIDIUM" NYC on aperçoit Bowie en spectateur attentif au fond de la salle! L’image est de qualité, le son superbe.