Tout ce qui nécessite de faire fonctionner des matériels d’une façon pratique, mobile, le nomade, la sono pro…
Là il y a une justification.
Par contre ce mode de fonctionnement n’est pas adapté à la restitution purement audiophile, avec une écoute directe et attentive.
(Je transmettrai un jour un topo explicatif, de technicien. )
Dans la catégorie à chaque chose son usage optimum, les alimentations à découpage ne dont pas non plus adaptées, même si hyper pratiques.
Mais encore une fois il faut dissocier les stratégies commerciales, dont les modes, les mythes montés en chantilly, de l’essence technique.
À titre personnel j’en étais déjà convaincue depuis des décennies, mais j’avoue que côtoyer le véritable travail de fond et les mesures à l’écran, comme dit vulgairement, « ça calme »…. d’autant plus.
Là pas d’idée reçue, pas de triche, pas de contournement : c’est dans les cases ou pas.
Il y a une vue de l’esprit qui a fait énormément de mal à l’audiophilie.
C’est le discours qui disait que ce qui est droit n’est pas « musical ».
Discours déployé à l’ère du grand n’importe quoi où n’importe quel câblage en désordre pouvait être encensé, où n’importe quelle compilation de montages même pas digne du niveau d’un bon DIY était mise sur un piedestal par les revues et réseaux de distribution.
Tout cela tordait à qui mieux mieux, colorait, faisait fi de la moitié de ja bande passante, était une cacophonie temporelle, mais s’est vendu, vendu, vendu……………
Aujourd’hui lorsqu’on les voit arriver, en bout de course sur un établi, l’horreur technique en saute aux yeux….
Mais ce furent des légendes commerciales. Faciles, d’une époque trop facile.
Dans cette catégorie, le mythe du câblage en l’air…..
Par exemple…
Je ne sais pas si le marché se nettoiera un jour.
Mais chacun est libre d’optimiser ses critères de choix.