08-22-2017, 11:46 AM
bonjour Rogers
merci pour ces souvenirs partagés, toujours passionnants. J'ai en tête aussi l'histoire de ce musicien qui se déplaçait régulièrement en Italie pour acquérir la dernière version des concertos pour piano interprétés par Daniel Baremboïm qui avait commencé l’enregistrement de l’intégrale comme soliste, car leur mise en vente s'effectuait quelques jours en avance chez nos amis transalpins.
La vue de nos comportements et passions est toujours une source d’étonnement autant que d’enrichissement
Concernant les versions des oeuvres, j'essaye d'en détenir au moins 2 différentes car cela me permet une meilleure approche au travers d'interprétations différentes qui éclaire chacune à leur façon l’œuvre et l’enrichisse ainsi. Sauf pour mes préférées dont les versions s'accumulent. L’acquisition se fait lors de découverte, rencontre avec des amis, lors d’une émission de radio, un concert ou un voyage et aujourd’hui le forum (merci à tous), l’audition du disque réactive le souvenir et ajoute au plaisir de l’écoute
J’ai numérisé mes disques et si l’accès et l'écoute en sont plus faciles, le plaisir mémoriel de l’achat s’estompe un peu. Je suis aussi toujours surpris à l’ouverture du logiciel par le compteur qui chiffre le temps de musique et le nombre de disques et de plages. Cela apporte une quantification bien froide. J’imagine les mois nécessaires à écouter l’intégralité de la collection. Inquiétude fugitive de finir plus collectionneur que mélomane, un peu comme certains amateurs de vin dont le plaisir de la possession excède largement celui de la dégustation. Certains sont des collectionneurs compulsifs, comme Alfred Hitchcock qui lorsqu’il est mort avait plusieurs dizaines de milliers de bouteilles dans sa cave…
Si avec Internet il est plus facile de trouver la version convoitée sans se déplacer, reste toujours les pépites inaccessibles, certaines d’ailleurs de façon délibérée. Et si la bonne version est enfin accessible, reste alors la qualité de l’enregistrement. L'édition des bandes originales ou bien retravaillées comme celles des derniers coffrets de la Callas ou des Beattles avec un son bien supérieur aux précédentes éditions me fait penser que cela va continuer à nous faire courir autant. Peut être davantage encore ?
musicalement
merci pour ces souvenirs partagés, toujours passionnants. J'ai en tête aussi l'histoire de ce musicien qui se déplaçait régulièrement en Italie pour acquérir la dernière version des concertos pour piano interprétés par Daniel Baremboïm qui avait commencé l’enregistrement de l’intégrale comme soliste, car leur mise en vente s'effectuait quelques jours en avance chez nos amis transalpins.
La vue de nos comportements et passions est toujours une source d’étonnement autant que d’enrichissement
Concernant les versions des oeuvres, j'essaye d'en détenir au moins 2 différentes car cela me permet une meilleure approche au travers d'interprétations différentes qui éclaire chacune à leur façon l’œuvre et l’enrichisse ainsi. Sauf pour mes préférées dont les versions s'accumulent. L’acquisition se fait lors de découverte, rencontre avec des amis, lors d’une émission de radio, un concert ou un voyage et aujourd’hui le forum (merci à tous), l’audition du disque réactive le souvenir et ajoute au plaisir de l’écoute
J’ai numérisé mes disques et si l’accès et l'écoute en sont plus faciles, le plaisir mémoriel de l’achat s’estompe un peu. Je suis aussi toujours surpris à l’ouverture du logiciel par le compteur qui chiffre le temps de musique et le nombre de disques et de plages. Cela apporte une quantification bien froide. J’imagine les mois nécessaires à écouter l’intégralité de la collection. Inquiétude fugitive de finir plus collectionneur que mélomane, un peu comme certains amateurs de vin dont le plaisir de la possession excède largement celui de la dégustation. Certains sont des collectionneurs compulsifs, comme Alfred Hitchcock qui lorsqu’il est mort avait plusieurs dizaines de milliers de bouteilles dans sa cave…
Si avec Internet il est plus facile de trouver la version convoitée sans se déplacer, reste toujours les pépites inaccessibles, certaines d’ailleurs de façon délibérée. Et si la bonne version est enfin accessible, reste alors la qualité de l’enregistrement. L'édition des bandes originales ou bien retravaillées comme celles des derniers coffrets de la Callas ou des Beattles avec un son bien supérieur aux précédentes éditions me fait penser que cela va continuer à nous faire courir autant. Peut être davantage encore ?
musicalement