Il faut surtout éviter la dithyrambe, comparer et accepter que rien n’est parfait dans tous ces matériels sans notion de prix, ils arrivent tous et toujours à atterrir sur une limite, limite de goût, limite d’association, limite de capacité à rendre des timbres musicaux complexes naturels, limite d’autres éléments du système pour juger de leur totale performance ou cohérence…. Ces réalités ne font exception chez personne. Quand on se permet de dire du mal d’un appareil ce ne peut être que par comparaisons étayées, et dans la grande majorité des cas ce n’est pas parce que l’appareil critiqué est mauvais, mais parce qu’il a été comparé à meilleur, et différent aussi en même temps. Parfois c’est juste différent et il n’y a pas d’échelle de valeur à donner mais ça finit souvent comme ça quand même, avec confusion entre meilleur et différent.
Maintenant la plupart du temps entre un classe d correct issu de modules OEM (du travail majoritairement d’assemblage permettant des prix bas, un faible coût de fabrication) et un AHB2 (manufacturé , plus complexe sans oem et importé de chez les ricains) il y a un facteur deux à quatre voir huit ou plus en prix, et c’est cela qui gouverne le plus souvent le choix très légitimement. On peut continuer en comparant un AHB2 à un Soulution 511 à 41000€, dix fois le prix du AHB2, qui ne donnera un résultat plus mauvais sur des Vivid G1 qu’un AHB2 par défaut d’association, mais explose le Benchmark sur des critères musicaux essentiels sur une paire de Magico par complémentarité exemplaire et bonne exploitation des capacités des deux appareils…. On sait qu’on a jamais deux fois mieux pour le double du prix c’est la base de tout produit manufacturé sur la planète. Ce qui compte c’est ce qu’on recherche, les petits plus qui manquent à l’un et pas à l’autre et qui n’ont pas de prix quand on les attends à l’écoute, les qualités supplémentaires qui font franchir un pas conséquent dans une chaîne où c’est le maillon le plus faible qui impose un plafond au résultat final à tout le reste. Et plus le choix s’oriente vers quelques chose de pointu, plus on a de chances de mettre en défaut le reste du système ou l’association matérielle. Le reste c’est du blabla.
Il est normal que la classe D s’impose comme une possibilité alléchante, pour un prix doux elle va permettre très souvent d’obtenir un bon résultat, sans crispation mal venue, avec plus de neutralité que la plupart des amplifications plus classiques (manquant de maîtrise, colorées au son de chaque fabricant…), sans contraintes d’usage, en consommant peu, et plus le temps passe plus le résultat est bon sur justement les critères d’écoute qui font critiquer les résultats. Beaucoup font de la classe D plus enjôleuse que transparente pour coller aux critères de confort d’écoute, facilité d’association, prix pour des appareils manufacturés (Nuprime par exemple) , d’autres font des classe D essayant d’aller chercher des qualités tonales, gommer certains défauts réels de la classe d souvent issue de ce qui tourne autours en fait (AOP en entrée, choix de condos coté filtrage d’alim ou autre… comme Spec par exemple), d’autres travaillent sur l’intégration globale des modules classe D pour que le résultat soit plus cohérent qu’un basique bloc oem mis au milieu d’un système classique (Kii, Bel Canto Black, enceintes actives filtrées activement avec un ampli par HP…) et tout cela fonctionne souvent mieux d’un bloc oem flanqué d’aop en entrée avec l’alim de base oem, planté dans un système lambda. Et que dire des FDA, qui sont au fond des classe D exploitant directement le flux audio numérique en tant que « dac de puissance », ils ont des défauts liés au filtrage analogique en sortie d ampli et faible investissement historique dans leur finition bas / moyen de gamme, mais par bien des points sont plus transparents que les associations hasardeuses de dacs, cables analogiques, amplis classe d flanqués d AOP…. Tout cela aussi c’est la réalité, bien plus complexe que le simple combat non sens de « classe d ou pas », à mon humble avis.
Maintenant la plupart du temps entre un classe d correct issu de modules OEM (du travail majoritairement d’assemblage permettant des prix bas, un faible coût de fabrication) et un AHB2 (manufacturé , plus complexe sans oem et importé de chez les ricains) il y a un facteur deux à quatre voir huit ou plus en prix, et c’est cela qui gouverne le plus souvent le choix très légitimement. On peut continuer en comparant un AHB2 à un Soulution 511 à 41000€, dix fois le prix du AHB2, qui ne donnera un résultat plus mauvais sur des Vivid G1 qu’un AHB2 par défaut d’association, mais explose le Benchmark sur des critères musicaux essentiels sur une paire de Magico par complémentarité exemplaire et bonne exploitation des capacités des deux appareils…. On sait qu’on a jamais deux fois mieux pour le double du prix c’est la base de tout produit manufacturé sur la planète. Ce qui compte c’est ce qu’on recherche, les petits plus qui manquent à l’un et pas à l’autre et qui n’ont pas de prix quand on les attends à l’écoute, les qualités supplémentaires qui font franchir un pas conséquent dans une chaîne où c’est le maillon le plus faible qui impose un plafond au résultat final à tout le reste. Et plus le choix s’oriente vers quelques chose de pointu, plus on a de chances de mettre en défaut le reste du système ou l’association matérielle. Le reste c’est du blabla.
Il est normal que la classe D s’impose comme une possibilité alléchante, pour un prix doux elle va permettre très souvent d’obtenir un bon résultat, sans crispation mal venue, avec plus de neutralité que la plupart des amplifications plus classiques (manquant de maîtrise, colorées au son de chaque fabricant…), sans contraintes d’usage, en consommant peu, et plus le temps passe plus le résultat est bon sur justement les critères d’écoute qui font critiquer les résultats. Beaucoup font de la classe D plus enjôleuse que transparente pour coller aux critères de confort d’écoute, facilité d’association, prix pour des appareils manufacturés (Nuprime par exemple) , d’autres font des classe D essayant d’aller chercher des qualités tonales, gommer certains défauts réels de la classe d souvent issue de ce qui tourne autours en fait (AOP en entrée, choix de condos coté filtrage d’alim ou autre… comme Spec par exemple), d’autres travaillent sur l’intégration globale des modules classe D pour que le résultat soit plus cohérent qu’un basique bloc oem mis au milieu d’un système classique (Kii, Bel Canto Black, enceintes actives filtrées activement avec un ampli par HP…) et tout cela fonctionne souvent mieux d’un bloc oem flanqué d’aop en entrée avec l’alim de base oem, planté dans un système lambda. Et que dire des FDA, qui sont au fond des classe D exploitant directement le flux audio numérique en tant que « dac de puissance », ils ont des défauts liés au filtrage analogique en sortie d ampli et faible investissement historique dans leur finition bas / moyen de gamme, mais par bien des points sont plus transparents que les associations hasardeuses de dacs, cables analogiques, amplis classe d flanqués d AOP…. Tout cela aussi c’est la réalité, bien plus complexe que le simple combat non sens de « classe d ou pas », à mon humble avis.
La hifi est femme. Imparfaite par nature, on la choisit pour ce qu'elle a, pas pour ce qu'elle dit avoir. Mais si on voit ses défauts avant ses qualités, on est pas fait pour en avoir une, mieux vaut se soulager sous la douche, en écoutant la radio.
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Leedh E2 Glass + caisson 20.1.
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Leedh E2 Glass + caisson 20.1.