Quand je parle de mauvais enregistrements, ce n'est pas seulement une question de haut-médiums, c'est aussi une question de balance, d'équilibre entre la voix et les instruments (lesquels ? où sont-ils situés ? Aucune spatialisation). Pourquoi a-t-on l'impression que les musiciens sont étouffés, qu'ils jouent derrière trois épaisseurs de tentures ? Vous avez des enregistrements Living stereo de la fin des années 50 qui sont formidables et d'autres plus récents qui vous proposent une bouillie sonore... Et donc, je ne parle pas seulement du son, sibillance, haut-medium insupportable, mais de timbres, de spatialisation. Certes, un piano peut être "préparé" et sonner bizarrement, mais il sonne. Voir avec EST par exemple.
Petit upgrade... J'ai intégré dans mon installation un ampli classe D, le Lyngdorf TDAI 2170... première expérience avec ce type d'ampli. Système roomperfect... Plus précis, plus aéré qu'avec les tubes 845 et intégrant un DAC qui me semble très performant. À voir. Je continue mes écoutes et tests entre les entrées analogiques, numériques spdif ou USB. En tout cas, sortie coaxiale du marantz sur l'entrée digitale du Lyngdorf, le gain est évident.
Petit upgrade... J'ai intégré dans mon installation un ampli classe D, le Lyngdorf TDAI 2170... première expérience avec ce type d'ampli. Système roomperfect... Plus précis, plus aéré qu'avec les tubes 845 et intégrant un DAC qui me semble très performant. À voir. Je continue mes écoutes et tests entre les entrées analogiques, numériques spdif ou USB. En tout cas, sortie coaxiale du marantz sur l'entrée digitale du Lyngdorf, le gain est évident.
