Une semaine après, un bref retour pour remercier Laurent de nous avoir organisé ce salon un peu à part.
Pour avoir eu accès au point de vue des exposants puisque j'ai donné un peu de mon temps pour la mise en oeuvre d'un stand je peux dire que c'est vraiment un exercice d'humilité qu'avait à réaliser chaque exposant et à fortiori ceux qui avaient des pièces de dimensions modestes:
Que chacun d'entre nous avec son beau système qu'il a mis des mois voire des années à mettre en place s'imagine devoir répondre à l'injonction suivante :
"T' as une demie journée pour mettre ton système dans une chambre à coucher que tu connais pas.
Démerde toi pour que ça sonne au mieux parce que des gens vont défiler et juger ton travail
en le comparant à ce qu'ils en attendent presque toujours avec la référence de ce qu'ils ont chez eux
et en oubliant très vite la contrainte."
Un tour de force .
Je me suis dit que l'objectif d'un salon est vraiment de pouvoir présenter
quelques qualités élémentaires susceptibles de donner envie dans le meilleur des cas de refaire une écoute.
Cela nécessitait aussi une vraie disponibilité de l'auditeur et on sait bien qu'on ne l'a pas toujours.
Mais c'était le jeu, pour tous .
J'ai apprécié particulièrement les rencontres qui ont donné le sentiment que le week end est passé très vite.
Le bar central a bien aidé.
Ce que j'ai senti enfin c'est un plaisir communicatif des artisans à partager leur création.
On ne dit pas assez il me semble à quel point un salon plus accessible comme celui ci permet de rencontrer des artisans de qualité qui ont parfois du mal à s'offrir un stand à Munich.
Et puis pour parler musique parce que c'est quand même pour ça qu'on était là
j'ai envie de parler de la pépite que j'ai découverte sur le stand, moi le fan de Dire Straits , un superbe vinyle, un live de 1979 à San Francisco qu'avait apporté Emmanuel où l'on retrouve toute la fougue des deux premiers -et meilleurs - albums du groupe.
Un moment privilégié passé le vendredi soir avant salon,
seul avec le système pour moi,
là j'ai réussi quelques instants à oublier le contexte pour la musique .
C'est ce que chacun devrait pouvoir vivre dans ces salons que la salle soit vide ou bondée:
des moments d'enfance retrouvée et c'est toujours possible pour peu qu'on se laisse aller .
Encore merci Laurent pour cette réussite.
Vivement l'année prochaine.
Pour avoir eu accès au point de vue des exposants puisque j'ai donné un peu de mon temps pour la mise en oeuvre d'un stand je peux dire que c'est vraiment un exercice d'humilité qu'avait à réaliser chaque exposant et à fortiori ceux qui avaient des pièces de dimensions modestes:
Que chacun d'entre nous avec son beau système qu'il a mis des mois voire des années à mettre en place s'imagine devoir répondre à l'injonction suivante :
"T' as une demie journée pour mettre ton système dans une chambre à coucher que tu connais pas.
Démerde toi pour que ça sonne au mieux parce que des gens vont défiler et juger ton travail
en le comparant à ce qu'ils en attendent presque toujours avec la référence de ce qu'ils ont chez eux
et en oubliant très vite la contrainte."
Un tour de force .
Je me suis dit que l'objectif d'un salon est vraiment de pouvoir présenter
quelques qualités élémentaires susceptibles de donner envie dans le meilleur des cas de refaire une écoute.
Cela nécessitait aussi une vraie disponibilité de l'auditeur et on sait bien qu'on ne l'a pas toujours.
Mais c'était le jeu, pour tous .
J'ai apprécié particulièrement les rencontres qui ont donné le sentiment que le week end est passé très vite.
Le bar central a bien aidé.
Ce que j'ai senti enfin c'est un plaisir communicatif des artisans à partager leur création.
On ne dit pas assez il me semble à quel point un salon plus accessible comme celui ci permet de rencontrer des artisans de qualité qui ont parfois du mal à s'offrir un stand à Munich.
Et puis pour parler musique parce que c'est quand même pour ça qu'on était là
j'ai envie de parler de la pépite que j'ai découverte sur le stand, moi le fan de Dire Straits , un superbe vinyle, un live de 1979 à San Francisco qu'avait apporté Emmanuel où l'on retrouve toute la fougue des deux premiers -et meilleurs - albums du groupe.
Un moment privilégié passé le vendredi soir avant salon,
seul avec le système pour moi,
là j'ai réussi quelques instants à oublier le contexte pour la musique .
C'est ce que chacun devrait pouvoir vivre dans ces salons que la salle soit vide ou bondée:
des moments d'enfance retrouvée et c'est toujours possible pour peu qu'on se laisse aller .
Encore merci Laurent pour cette réussite.
Vivement l'année prochaine.
Enceintes L5 EBM/Blocs Mono Mastersound 845 plus et Préampli Mastersound Spettro PHL7/Audiomat Maestro 4 Référence/Switch Innuos Phoenix NET .
Câbles modulation et HP : "le lien"EBM
Câbles modulation et HP : "le lien"EBM