10-27-2024, 08:01 AM
Bonjour,
je voudrais revenir sur un point évoqué plus haut, à savoir la séparation de l'alimentation secteur des appareils analogiques et numériques.
Intuitivement je pense comprendre l’intérêt, les appareils numériques comportant des horloges et des effets de rayonnement et/ou conduction de signaux parasites sur les masses en particulier.
Mais, peut-on considérer, dans les deux exemples suivants, que nous sommes bien dans le domaine de l’analogique, du point de vue des pollutions ?
Exemple 1 : un tuner avec afficheur numérique piloté par un microcontrôleur ou microprocesseur, avec son quartz pour piloter son horloge interne indispensable à son fonctionnement
Exemple 2 : un ampli classe AB dont le volume, le muting, la sélection des sources, ainsi que l’affichage en face avant (leds animées) sont pilotés par un microcontrôleur
De mon point de vue, si le but est d’éviter la propagation des pollutions “numériques”, disons tout ce qui est lié aux horloges au sens large, alors dans les deux exemples cités, peut-on encore parler d’appareils purement analogiques ? Je ne pense pas.
Prenons un autre exemple, un DAC au hasard : il a bien une première partie numérique et une seconde analogique, tout ça dans le même boitier. S'il est bien conçu, les alimentations sont différenciées, mais pour autant une seule embase secteur.
Dans cet idée, les appareils purement analogiques sont finalement assez rares du coup.
Mais peut-être que je fais fausse route et que l’objectif est autre.
Qu’en pensez-vous ?
je voudrais revenir sur un point évoqué plus haut, à savoir la séparation de l'alimentation secteur des appareils analogiques et numériques.
Intuitivement je pense comprendre l’intérêt, les appareils numériques comportant des horloges et des effets de rayonnement et/ou conduction de signaux parasites sur les masses en particulier.
Mais, peut-on considérer, dans les deux exemples suivants, que nous sommes bien dans le domaine de l’analogique, du point de vue des pollutions ?
Exemple 1 : un tuner avec afficheur numérique piloté par un microcontrôleur ou microprocesseur, avec son quartz pour piloter son horloge interne indispensable à son fonctionnement
Exemple 2 : un ampli classe AB dont le volume, le muting, la sélection des sources, ainsi que l’affichage en face avant (leds animées) sont pilotés par un microcontrôleur
De mon point de vue, si le but est d’éviter la propagation des pollutions “numériques”, disons tout ce qui est lié aux horloges au sens large, alors dans les deux exemples cités, peut-on encore parler d’appareils purement analogiques ? Je ne pense pas.
Prenons un autre exemple, un DAC au hasard : il a bien une première partie numérique et une seconde analogique, tout ça dans le même boitier. S'il est bien conçu, les alimentations sont différenciées, mais pour autant une seule embase secteur.
Dans cet idée, les appareils purement analogiques sont finalement assez rares du coup.
Mais peut-être que je fais fausse route et que l’objectif est autre.
Qu’en pensez-vous ?
S1 : TEAC UD701N > Brinkmann intégré > PeLéon Caprice
S2 : source démat à définir > Audio Analogue Verdi Cento+ > PeLéon Trilogue SE
S3 : WiiM Amp > PeLéon AT1 SE ou PeLéon Junior
A vendre : 3 tubes 6B4G black bottle, 2 paires de 6SN7, tuner Sansui TU-717
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