Les tarifs publics:
Othello : 654€
Carmen Mk2: 1099€
Zephir Mk3: 1635€
Aida Mk2: 2180€
Zephir MIMC: 2180€
The Voice: 3270€
Paua Mk2: 4359€
Sussurro Mk2: 5449€
Toutes ces cellules sont notées en MI mais leur niveau de sortie passent de 2,12mV à 0,4mV à partir de la Zephir MIMC.
On peut lire sur Renaissens: "La plupart des platines du marché sont équipées d'une cellule à aimant mobile (MM). Les clients qui souhaitent "monter" en qualité s'offrent souvent une cellule à bobine mobile (MC). Or le principe de fer mobile - Moving Iron - développé par B&O dans les années 80, offre une qualité sonore supérieure. En effet, la masse mobile d'une cellule à fer mobile est en moyenne 5 à 8 fois moins importante que n'importe quelle bobine mobile du marché.
En conséquence, les résonances naturelles sont rejetées au delà de 50 kHz et les bruits engendrés traditionnellement par la masse de la bobine et qui se superposent à la musique, sont quasiment réduits à néant ici ! Ce principe de fer mobile procure aussi une durée de vie plus longue au diamant et aux disques.
Souvent les cellules avec un corps métallique occasionnent des boucles de masse. Soundsmith innove ici en proposant un système qui permet d'annihiler toute ronflette. C'est pourquoi elle fournit avec toutes les cellules de la gamme ES, des barreaux d'alumine mesurant moins de 10 mm de long qui vont se loger entre le haut de la cellule et le porte-cellule. L'alumine, tout en permettant un transfert d'énergie optimal, isole électriquement la cellule. Autre avantage, ceux et celles n'ayant pas de réglage d'azymuth sur leur bras, pourront dorénavant le réaliser.
L'écoute s'en trouve meilleure sur tous les plans; les timbres sont plus fins, plus raffinés qu'à l'accoutumé, le grave est très rapide, l'image sonore extrêmement bien construite. Plus de musique en somme ! ".
Je viens de passer le cap des 25h avec l'Otello. Les 5 dernières heures furent avec la calibration de la cartouche activée de mon ampli qui pour objectif de réduire la diaphonie.
J'ai écouté les albums suivants :
![[Image: 0602557655001_1?op_sharpen=1&resmode=bil...,1&hei=450]](https://media.e.leclerc/0602557655001_1?op_sharpen=1&resmode=bilin&fmt=pjpeg&qlt=85&trim=1&wid=450&fit=fit,1&hei=450)
![[Image: 0886974392323_1?op_sharpen=1&resmode=bil...,1&hei=450]](https://media.e.leclerc/0886974392323_1?op_sharpen=1&resmode=bilin&fmt=pjpeg&qlt=85&trim=1&wid=450&fit=fit,1&hei=450)
![[Image: 8.png]](https://fusion-acoustic.com/wp-content/uploads/2023/12/8.png)
![[Image: 2-1.png]](https://fusion-acoustic.com/wp-content/uploads/2023/12/2-1.png)
et quelques Dire Straits et Supertramp, un peu usés d'ailleurs (va falloir en trouver en meilleur état).
Je vous épargnerai l'analyse dithyrambique de chaque morceau, mais je pourrai résumé mes impressions par: une excellente surprise. Le médium est plein, légèrement coloré, le niveau de détails n'est pas exceptionnel, mais tout de même d'un excellent niveau, le grave descend bas, les attaques et le poids des notes sont très bons. Ce qui me surprend le plus, reste la capacité à dessiner une scène crédible et assez précise tout en projetant le son et en créant, ce qu'appelle (ou du moins ce qu'en comprend) Lionel Schmitt une "communication avec l'auditeur". Ce n'est pas une écoute audiophile dans le sens où on ne ressent pas ce qui semble être la réalité. Ainsi Fin Greenall est plus dans l'intimité du salon que dans un studio capitonné, il joue pour vous, Melody Gardot en fait de même, bien qu'étant, au milieu d'une immense salle dont on perçoit tout autant l'ambiance, le dialogue de John Coltrane et Miles Davis prend une autre dimension.
C'est une proposition intéressante, car elle m'apporte, ce dont je me fais l'idée de ce que doit être, une écoute analogique (très personnel et subjectif). C'est un produit qui a un son propre, une personnalité ! Ce qui évite l'analyse du genre, c'est un peu plus ci ou ça. Je compare avec ce que j'ai pu entendre sur d'autres systèmes vinyles qui se rapprochent souvent du résultat d'une mauvaise démat.
Sur mon système le niveau de sortie pourrait être plus élevé, mais j'ai des watts disponibles, donc ce n'est pas un vrai problème. Je ressens ou plutôt aimerait avoir un peu plus d'air. La présence du médium cache peut être un peu le haut du spectre. J'ai réglé la cellule avec des valeurs standard de VTF et VTA, une piste surement à explorer pour grappiller ces petits plus, le rodage aussi...
Le plus effrayant reste qu'il s'agit de l'entrée de gamme de SoundSmith
!
Je vais dans les jours qui suivent, passer à la Carmen Mk2, avec l'angoisse d'un baby step ou d'une autre grosse baffe !
Car si le reconditionnement n'est pas si élevé vis à vis de la concurrence et donc permet de rentabiliser l'investissement, j'ai aussi des limites
!
Othello : 654€
Carmen Mk2: 1099€
Zephir Mk3: 1635€
Aida Mk2: 2180€
Zephir MIMC: 2180€
The Voice: 3270€
Paua Mk2: 4359€
Sussurro Mk2: 5449€
Toutes ces cellules sont notées en MI mais leur niveau de sortie passent de 2,12mV à 0,4mV à partir de la Zephir MIMC.
On peut lire sur Renaissens: "La plupart des platines du marché sont équipées d'une cellule à aimant mobile (MM). Les clients qui souhaitent "monter" en qualité s'offrent souvent une cellule à bobine mobile (MC). Or le principe de fer mobile - Moving Iron - développé par B&O dans les années 80, offre une qualité sonore supérieure. En effet, la masse mobile d'une cellule à fer mobile est en moyenne 5 à 8 fois moins importante que n'importe quelle bobine mobile du marché.
En conséquence, les résonances naturelles sont rejetées au delà de 50 kHz et les bruits engendrés traditionnellement par la masse de la bobine et qui se superposent à la musique, sont quasiment réduits à néant ici ! Ce principe de fer mobile procure aussi une durée de vie plus longue au diamant et aux disques.
Souvent les cellules avec un corps métallique occasionnent des boucles de masse. Soundsmith innove ici en proposant un système qui permet d'annihiler toute ronflette. C'est pourquoi elle fournit avec toutes les cellules de la gamme ES, des barreaux d'alumine mesurant moins de 10 mm de long qui vont se loger entre le haut de la cellule et le porte-cellule. L'alumine, tout en permettant un transfert d'énergie optimal, isole électriquement la cellule. Autre avantage, ceux et celles n'ayant pas de réglage d'azymuth sur leur bras, pourront dorénavant le réaliser.
L'écoute s'en trouve meilleure sur tous les plans; les timbres sont plus fins, plus raffinés qu'à l'accoutumé, le grave est très rapide, l'image sonore extrêmement bien construite. Plus de musique en somme ! ".
Je viens de passer le cap des 25h avec l'Otello. Les 5 dernières heures furent avec la calibration de la cartouche activée de mon ampli qui pour objectif de réduire la diaphonie.
J'ai écouté les albums suivants :
et quelques Dire Straits et Supertramp, un peu usés d'ailleurs (va falloir en trouver en meilleur état).
Je vous épargnerai l'analyse dithyrambique de chaque morceau, mais je pourrai résumé mes impressions par: une excellente surprise. Le médium est plein, légèrement coloré, le niveau de détails n'est pas exceptionnel, mais tout de même d'un excellent niveau, le grave descend bas, les attaques et le poids des notes sont très bons. Ce qui me surprend le plus, reste la capacité à dessiner une scène crédible et assez précise tout en projetant le son et en créant, ce qu'appelle (ou du moins ce qu'en comprend) Lionel Schmitt une "communication avec l'auditeur". Ce n'est pas une écoute audiophile dans le sens où on ne ressent pas ce qui semble être la réalité. Ainsi Fin Greenall est plus dans l'intimité du salon que dans un studio capitonné, il joue pour vous, Melody Gardot en fait de même, bien qu'étant, au milieu d'une immense salle dont on perçoit tout autant l'ambiance, le dialogue de John Coltrane et Miles Davis prend une autre dimension.
C'est une proposition intéressante, car elle m'apporte, ce dont je me fais l'idée de ce que doit être, une écoute analogique (très personnel et subjectif). C'est un produit qui a un son propre, une personnalité ! Ce qui évite l'analyse du genre, c'est un peu plus ci ou ça. Je compare avec ce que j'ai pu entendre sur d'autres systèmes vinyles qui se rapprochent souvent du résultat d'une mauvaise démat.
Sur mon système le niveau de sortie pourrait être plus élevé, mais j'ai des watts disponibles, donc ce n'est pas un vrai problème. Je ressens ou plutôt aimerait avoir un peu plus d'air. La présence du médium cache peut être un peu le haut du spectre. J'ai réglé la cellule avec des valeurs standard de VTF et VTA, une piste surement à explorer pour grappiller ces petits plus, le rodage aussi...
Le plus effrayant reste qu'il s'agit de l'entrée de gamme de SoundSmith
!Je vais dans les jours qui suivent, passer à la Carmen Mk2, avec l'angoisse d'un baby step ou d'une autre grosse baffe !
Car si le reconditionnement n'est pas si élevé vis à vis de la concurrence et donc permet de rentabiliser l'investissement, j'ai aussi des limites
!