Premier retour sur l'écoute des The Wall qui ont élu domicile dans le Jura avant le grand voyage Canadien :-)
[img]http://![[Image: IMG-20240105-133357.jpg]](https://i.ibb.co/Lk8jw3j/IMG-20240105-133357.jpg)
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L'arrivée : tout d'abord le conditionnement à réception vu le volume et le poids de l'enceinte, prévoyez un petit utilitaire longueur 146 x 84 x 46 cm, 175kg les 2 colis , le carton marque The Wall, ça commence à causer :-)
Au déballage, double carton position debout sur ses roulettes , ouverture sur le devant, retrait de 3 blocs de polystyrene, bien au chaud dans leur housse noire velour. Cache hp devant, attention aux cutters. L'enceinte est debout sur une plaque rigide, ce qui permet aisément de la faire sortir en roulant en posant une cale de même épaisseur devant le carton. Rassurant de ne pas avoir à la porter. En clair, un très beau conditionnement rassurant.
Mise en place comme un jeu d'enfant, pour le moment, les roulettes resterons afin d'affiner le positionnement.
L'aspect au premier regard.:
Ça impose ! On se dit de suite mais comment vont elles s'intégrer au waf :-) malgré cela, elles se démarquent par leur faible épaisseur et c'est déjà très un côté très attachant qui s'en dégage, simplement, elles sortent du Standard visuel et ne laissent pas indifférent !
La finition : Globalement elle apparaît bien construite, le placage ne porte aucun défaut de finition, même si la texture lisse imitation bois me laisse un peu sur ma faim, affaire de goût. Visuellement, le fait d'avoir joué sur la symétrie diagonale sur la partie haute, recouverte d'une peinture noire satinée accompagnée de ses caches hp est une belle réussite qui donne un style à la fois moderne et vintage à l'enceinte. Sur mon modèle, des défauts de couches sur le noir satiné apparaissent à la lumière latérale, avec des effet de zones ... Quelques défauts aussi d e placage, peut être est ce la limite de l'exercice d'une production délocalisée... Ou simplement mon modèle...? J'ai interpellé Davis à ce sujet, et je vous ferai un retour.
L'écoute : avant revente de mes L5 + caisson Rel T9x, le système en l'état m'a apporté une grande satisfaction , donc même base pour les The Wall, je n'ai rien changé. Je dois avouer que mon seul doute était, est ce que mon S8 845 25w classe A allait driver correctement ces The Wall ? , et aussi, mes 2 caissons T9x n'allaient-ils ne pas me manquer :-)
Ce premier bilan est fait après 15 jours d'écoute à environ 4h/j. Évidemment le rodage est encore en cours... Malgré cela, je peux me permettre ce premier retour tant la surprise est de mise....
En effet, dés les premières notes, le soir de leur arrivée, ça chante, et ça chante remarquablement bien. J'oserais même dire que je les ai "jeté" dans ma pièce sur ses roulettes sans me poser plus de questions et je m'attendais à plus de travail de placement, et de temps pour le rodage pour profiter pleinement du potentiel.
Nous commençons à faire tourner une playlist de presque 300 morceaux sélectionnés au fil des années tous choisis pour leur qualité d'enregistrement, dont évidemment beaucoup de références Audiophiles. Le tout en aléatoire sur 15 soirées d'écoute. J'ai la chance d'avoir une chérie qui a une belle oreille ( entre autre:-) et surtout qui m'accompagne avec un avis pour lequel je peut lui faire confiance :-) en général, on tombe toujours d'accords même si les termes peuvent différer dans l'analyse de l'écoute.
Disons le de suite "analyse" n'est pas le terme, ni même le sujet... Parce que la musique qui émane devant nous, je n'ai pas dit des enceintes (malgré leur présence:-) , ne demande aucune analyse, elle est tout sauf cérébrale ! Elle attise simplement le cortex des sens ! Je vais essayer de vous partager nos ressentis.
Nous commençons chaque session d'écoute par une mise en chauffe à minima d'1h30, et oui la magie du tube se mérite, mais bien évidemment nous profitons quand même de l'écoute sans se focaliser et surtout à très bas volume. Se qui dans cette phase est très surprenant, c'est le volume et la distribution de la scène où déjà, il ne manque rien. On se surprend à plusieurs reprises, même occupé, à être interpellé et à se demander si c'est l'enregistrement ou une présence, voir un bruit extérieure. L'ambiance de scène et de l'enregistrement est restitué avec un réalisme saisissant, par exemple sur jepp's blues de bendt halberg ou l'ambiance de bistro et de salle est incroyable, on est aussi à une table et on participe. Sur "Images" de Nina simone un live incroyable ou l'on entend parfaitement le public, une personne qui par sa toux vous détourne l'attention, et l'ambiance reverberante du fond de salle.... C'est énorme! Bien évidemment on monte le volume car on veut encore mieux participer être en présence avec les artistes devant nous. Dans ma pièce de 35 m2 notre vitesse de croisière pour l'écoute est entre 65 et 70 db, au dessus il n'y a pas d'intérêt tellement la présence et l'espace 3D de scène est largement restitué.
Belle surprise le S8 de 25w s'exprime pleinement, aucun manque, de belles tenues dans tous les registres, une dynamique incroyable, des montés fulgurantes avec toujours autant de modulations dans l'extrême grave. Le grave qui pour moi est souvent le maillon faible est parfaitement maîtrisé , on ressent le côté physiologique qui m'est cher sans interférer avec le reste et surtout... Avec la pièce. Aucune frustration, les 30hz de notre ami Jonaz et le "temps passé" vous réapprends ce qu'est une basse 5 cordes et ses 31hz ! Tous cela avec une aisance déconcertante. Ça déplace de l' air mais en même temps ça ne fait pas tout vibrer dans la pièce :-)
Il y a point essentiel qui marque à l'écoute de ces The Wall... C'est la présence de chaque note des instruments quelque soit le plan d'étagement de la scène. Vous prenez "If you go" de Shirley horn Le début commence à faible niveau, et vous entendez une cymbale ride riveté au fond à droite, c'est la première fois que j'entends l'impact de la baguette avant le crash constant de la cymbale, elle a du volume, tout prends corps. Chaque note d'instrument a de l'espace sans tomber dans la caricature du détails et de la précision. On ressent aucune tension dans la musique. Je redécouvre aussi certainement toutes les qualité du Maestro audiomat qui pour le coup se sent plus à l'aise... Il est vrai que dans tout système, il est difficile de trouver "le lien" entre chaque élément pour que la musique s'exprime sans contrainte, sans en faire trop, sans avoir l'attention qui se porte sur une qualité recherchée au détriment des autres. Pour les avoir écouté dans différents environnements, Les The Wall semblent à l'aise sur tous les terrains quelque soit l'ampli à tube ou transistor.. Il lui faut à minima du courant pour en tirer le potentiel, mais elles sont faciles à vivre.
Comme je l'ai déjà dit au début de ce texte, je n'ai pris aucune précaution ou attention au positionnement, j'ai 2.30 entre hp et le point d'écoute est à environ 2,80. L'image stereo se forme aisément, je dirai même que la scène est encore plus en 3D en les pinçant légèrement. Autre point positif, le sweet spot est énorme, on peut enfin écouter avec sa chérie :-) plus on recule du point d'écoute en montant un peu le volume, plus l'effet concert live est présent.
Conclusion:
Tout d'abord, je remercie mes amis Troyes de nous permettre de vivre cette expérience musicale. Moi même Troyen d'origine, régulièrement je me rendais à la braderie, et ce que je retiens le plus, c'est la simplicité et l'accueil qui a toujours été RDV.
Pour revenir aux The Wall, son prix public ne la rend pas accessible à tous, mais pour la positionner face à la concurence, il y a 2 axes à prendre en compte.
Ses qualités audio
Les matériaux et la finition
Vous avez tous compris mon avis sur le sujet, pour avoir écouté beaucoup d'enceinte dans des gammes de prix bien supérieures, la The Wall en offre beaucoup de par ses qualités, c'est un condensé de beaucoup de marques concurrentes qui se démarques par leur proposition d'écoute sélective, alors que cette Davis est tellement vraie et vivante qu'elle ne cesse de surprendre de réalisme sur chaque morceaux.
Pour le reste, le Waf, et la finition, cette approche est plus personnel, voir familiale :-) car il faudra leur trouver une place.
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Au déballage, double carton position debout sur ses roulettes , ouverture sur le devant, retrait de 3 blocs de polystyrene, bien au chaud dans leur housse noire velour. Cache hp devant, attention aux cutters. L'enceinte est debout sur une plaque rigide, ce qui permet aisément de la faire sortir en roulant en posant une cale de même épaisseur devant le carton. Rassurant de ne pas avoir à la porter. En clair, un très beau conditionnement rassurant.
Mise en place comme un jeu d'enfant, pour le moment, les roulettes resterons afin d'affiner le positionnement.
L'aspect au premier regard.:
Ça impose ! On se dit de suite mais comment vont elles s'intégrer au waf :-) malgré cela, elles se démarquent par leur faible épaisseur et c'est déjà très un côté très attachant qui s'en dégage, simplement, elles sortent du Standard visuel et ne laissent pas indifférent !
La finition : Globalement elle apparaît bien construite, le placage ne porte aucun défaut de finition, même si la texture lisse imitation bois me laisse un peu sur ma faim, affaire de goût. Visuellement, le fait d'avoir joué sur la symétrie diagonale sur la partie haute, recouverte d'une peinture noire satinée accompagnée de ses caches hp est une belle réussite qui donne un style à la fois moderne et vintage à l'enceinte. Sur mon modèle, des défauts de couches sur le noir satiné apparaissent à la lumière latérale, avec des effet de zones ... Quelques défauts aussi d e placage, peut être est ce la limite de l'exercice d'une production délocalisée... Ou simplement mon modèle...? J'ai interpellé Davis à ce sujet, et je vous ferai un retour.
L'écoute : avant revente de mes L5 + caisson Rel T9x, le système en l'état m'a apporté une grande satisfaction , donc même base pour les The Wall, je n'ai rien changé. Je dois avouer que mon seul doute était, est ce que mon S8 845 25w classe A allait driver correctement ces The Wall ? , et aussi, mes 2 caissons T9x n'allaient-ils ne pas me manquer :-)
Ce premier bilan est fait après 15 jours d'écoute à environ 4h/j. Évidemment le rodage est encore en cours... Malgré cela, je peux me permettre ce premier retour tant la surprise est de mise....
En effet, dés les premières notes, le soir de leur arrivée, ça chante, et ça chante remarquablement bien. J'oserais même dire que je les ai "jeté" dans ma pièce sur ses roulettes sans me poser plus de questions et je m'attendais à plus de travail de placement, et de temps pour le rodage pour profiter pleinement du potentiel.
Nous commençons à faire tourner une playlist de presque 300 morceaux sélectionnés au fil des années tous choisis pour leur qualité d'enregistrement, dont évidemment beaucoup de références Audiophiles. Le tout en aléatoire sur 15 soirées d'écoute. J'ai la chance d'avoir une chérie qui a une belle oreille ( entre autre:-) et surtout qui m'accompagne avec un avis pour lequel je peut lui faire confiance :-) en général, on tombe toujours d'accords même si les termes peuvent différer dans l'analyse de l'écoute.
Disons le de suite "analyse" n'est pas le terme, ni même le sujet... Parce que la musique qui émane devant nous, je n'ai pas dit des enceintes (malgré leur présence:-) , ne demande aucune analyse, elle est tout sauf cérébrale ! Elle attise simplement le cortex des sens ! Je vais essayer de vous partager nos ressentis.
Nous commençons chaque session d'écoute par une mise en chauffe à minima d'1h30, et oui la magie du tube se mérite, mais bien évidemment nous profitons quand même de l'écoute sans se focaliser et surtout à très bas volume. Se qui dans cette phase est très surprenant, c'est le volume et la distribution de la scène où déjà, il ne manque rien. On se surprend à plusieurs reprises, même occupé, à être interpellé et à se demander si c'est l'enregistrement ou une présence, voir un bruit extérieure. L'ambiance de scène et de l'enregistrement est restitué avec un réalisme saisissant, par exemple sur jepp's blues de bendt halberg ou l'ambiance de bistro et de salle est incroyable, on est aussi à une table et on participe. Sur "Images" de Nina simone un live incroyable ou l'on entend parfaitement le public, une personne qui par sa toux vous détourne l'attention, et l'ambiance reverberante du fond de salle.... C'est énorme! Bien évidemment on monte le volume car on veut encore mieux participer être en présence avec les artistes devant nous. Dans ma pièce de 35 m2 notre vitesse de croisière pour l'écoute est entre 65 et 70 db, au dessus il n'y a pas d'intérêt tellement la présence et l'espace 3D de scène est largement restitué.
Belle surprise le S8 de 25w s'exprime pleinement, aucun manque, de belles tenues dans tous les registres, une dynamique incroyable, des montés fulgurantes avec toujours autant de modulations dans l'extrême grave. Le grave qui pour moi est souvent le maillon faible est parfaitement maîtrisé , on ressent le côté physiologique qui m'est cher sans interférer avec le reste et surtout... Avec la pièce. Aucune frustration, les 30hz de notre ami Jonaz et le "temps passé" vous réapprends ce qu'est une basse 5 cordes et ses 31hz ! Tous cela avec une aisance déconcertante. Ça déplace de l' air mais en même temps ça ne fait pas tout vibrer dans la pièce :-)
Il y a point essentiel qui marque à l'écoute de ces The Wall... C'est la présence de chaque note des instruments quelque soit le plan d'étagement de la scène. Vous prenez "If you go" de Shirley horn Le début commence à faible niveau, et vous entendez une cymbale ride riveté au fond à droite, c'est la première fois que j'entends l'impact de la baguette avant le crash constant de la cymbale, elle a du volume, tout prends corps. Chaque note d'instrument a de l'espace sans tomber dans la caricature du détails et de la précision. On ressent aucune tension dans la musique. Je redécouvre aussi certainement toutes les qualité du Maestro audiomat qui pour le coup se sent plus à l'aise... Il est vrai que dans tout système, il est difficile de trouver "le lien" entre chaque élément pour que la musique s'exprime sans contrainte, sans en faire trop, sans avoir l'attention qui se porte sur une qualité recherchée au détriment des autres. Pour les avoir écouté dans différents environnements, Les The Wall semblent à l'aise sur tous les terrains quelque soit l'ampli à tube ou transistor.. Il lui faut à minima du courant pour en tirer le potentiel, mais elles sont faciles à vivre.
Comme je l'ai déjà dit au début de ce texte, je n'ai pris aucune précaution ou attention au positionnement, j'ai 2.30 entre hp et le point d'écoute est à environ 2,80. L'image stereo se forme aisément, je dirai même que la scène est encore plus en 3D en les pinçant légèrement. Autre point positif, le sweet spot est énorme, on peut enfin écouter avec sa chérie :-) plus on recule du point d'écoute en montant un peu le volume, plus l'effet concert live est présent.
Conclusion:
Tout d'abord, je remercie mes amis Troyes de nous permettre de vivre cette expérience musicale. Moi même Troyen d'origine, régulièrement je me rendais à la braderie, et ce que je retiens le plus, c'est la simplicité et l'accueil qui a toujours été RDV.
Pour revenir aux The Wall, son prix public ne la rend pas accessible à tous, mais pour la positionner face à la concurence, il y a 2 axes à prendre en compte.
Ses qualités audio
Les matériaux et la finition
Vous avez tous compris mon avis sur le sujet, pour avoir écouté beaucoup d'enceinte dans des gammes de prix bien supérieures, la The Wall en offre beaucoup de par ses qualités, c'est un condensé de beaucoup de marques concurrentes qui se démarques par leur proposition d'écoute sélective, alors que cette Davis est tellement vraie et vivante qu'elle ne cesse de surprendre de réalisme sur chaque morceaux.
Pour le reste, le Waf, et la finition, cette approche est plus personnel, voir familiale :-) car il faudra leur trouver une place.
Enceinte DAVIS THE WALL | Dac AUDIOMAT MAESTRO 4 Référence| V12 Ear yoshino | Switch ANSUZ XTC | Câble secteur Magic Furutech L4/L6 | LES MESURES |