12-04-2023, 02:07 PM
Bonjour à tous,
Le système "Soft Clipping" de NAD, écrêtage doux, a été très plébiscité à sa sortie. Cela m'a toujours surpris de prévoir un tel système, cela voulait dire que sur des crêtes de puissance où l'ampli ne pouvait faire face, ceci étant du aux limitations des tensions d'alimentations et aux caractéristiques des étages de puissance, on allait "arrondir" ces crêtes.
Cette manière de voir n'est pas très conforme à l'idée de ce que doit faire un amplificateur, c'est à dire amplifier, un point c'est tout.
Mais le marketing a fait le reste en plébiscitant la vente et la distribution des produits.
Donc je considère que ce n'est pas une révolution en soi.
L'avenir : ci-dessus, on parle des puces Texas Instrument la TPA 3255 qui travaille en classe D, et là effectivement pour ce genre d'ampli, à mon avis cette puce est une réussite. Associée avec une alimentation digne de ce nom, le résultat est très encourageant. Cette technologie bien que complexe, est simple à mettre en œuvre, puisque les fabricants fournissent une puce comprenant l'ensemble des élements ne nécessitant aucun réglage. Ce sera très certainement ce qui va rester sur le marché, car tous les amplis basés sur une alimentation linéaire avec de gros transfos comportant du cuivre en quantité et des cartes avec des composants discrets sont amenés à disparaitre, ceci suite aux pénuries des matières premières qui ne vont pas tarder à venir. Je parle même pas des amplis en classe A et aux amplis à tubes qui sont totalement anachronique. Je ne nie pas que ces anciens matériels ont ravis bien des oreilles dont les miennes, mais la transition si elle n'est pas acceptée sera contrainte.
Donc, autant s'y habituer au plus tôt pour que les bureaux d'études nous améliorent cette dernière technologie et prennent en compte les revendications des audiophiles...
Le système "Soft Clipping" de NAD, écrêtage doux, a été très plébiscité à sa sortie. Cela m'a toujours surpris de prévoir un tel système, cela voulait dire que sur des crêtes de puissance où l'ampli ne pouvait faire face, ceci étant du aux limitations des tensions d'alimentations et aux caractéristiques des étages de puissance, on allait "arrondir" ces crêtes.
Cette manière de voir n'est pas très conforme à l'idée de ce que doit faire un amplificateur, c'est à dire amplifier, un point c'est tout.
Mais le marketing a fait le reste en plébiscitant la vente et la distribution des produits.
Donc je considère que ce n'est pas une révolution en soi.
L'avenir : ci-dessus, on parle des puces Texas Instrument la TPA 3255 qui travaille en classe D, et là effectivement pour ce genre d'ampli, à mon avis cette puce est une réussite. Associée avec une alimentation digne de ce nom, le résultat est très encourageant. Cette technologie bien que complexe, est simple à mettre en œuvre, puisque les fabricants fournissent une puce comprenant l'ensemble des élements ne nécessitant aucun réglage. Ce sera très certainement ce qui va rester sur le marché, car tous les amplis basés sur une alimentation linéaire avec de gros transfos comportant du cuivre en quantité et des cartes avec des composants discrets sont amenés à disparaitre, ceci suite aux pénuries des matières premières qui ne vont pas tarder à venir. Je parle même pas des amplis en classe A et aux amplis à tubes qui sont totalement anachronique. Je ne nie pas que ces anciens matériels ont ravis bien des oreilles dont les miennes, mais la transition si elle n'est pas acceptée sera contrainte.
Donc, autant s'y habituer au plus tôt pour que les bureaux d'études nous améliorent cette dernière technologie et prennent en compte les revendications des audiophiles...