06-13-2023, 10:16 AM
(Modification du message : 06-13-2023, 10:49 AM par Fledermaus.)
Yo
Les panneaux (dont j'ai zéro expérience
) c'est spécial, comme ça rayonne en dipôle (vers l'avant et vers l'arrière) ça met bien plus la pièce à contribution puisqu'il y a une bonne partie de l'énergie sonore qui est perçue, depuis la position d'écoute, à travers les réflexions des murs - avec ce que ça suppose de modifications aléatoires d'équilibre tonal et d'interférences diverses, qu'elles soient soustractives ou additives, avec l'emission frontale... Ajoutons à cela une directivité un peu spéciale en raison de la vaste surface émissive et on a vraiment un résultat imprévisible et variable en fonction du placement, de la position d'écoute et de fréquence - mais qui néanmoins peut être fort plaisant !
Je reviens plus tard peut-être les autres points
Pour ce qui est de l'électricité, ça renvoie à la loi d'Ohm sous ses diverses formes (Loi d'Ohm — Wikipédia (wikipedia.org) )
dont U=RI et P=UI, étendue aux charges réactives et régimes alternatifs (Puissance en régime alternatif — Wikipédia (wikipedia.org)), ce qui complique juste un peu les choses
Mais pour nous les audiophiles ça se résume à quelques notions plus ou moins intuitives : un ampli amplifie une tension alternative (U, en Volt), cette tension est appliquée aux bornes d'une enceinte qui a une impédance (Z, assimilable à R pour simplifier et s'exprimant également en ohm) variable en fonction de la fréquence (de l'alternance), il en résulte un courant (intensité I, en Ampère) proportionnel à U et inversement proportionnel à Z (I=U/R, loi d'Ohm).
C'est pour ça que la puissance (P, en Watts) d'un ampli est donnée pour une charge donnée : le machin est conçu pour fournir une tension maxi donnée U à un niveau de distorsion acceptable, la puissance P fournie (P=UI) est variable avec la charge, puisqu'elle conditionne l'intensité I pour une tension U donnée...
D'où aussi la "capacité en courant" chère aux audiophiles, qui se traduit par l'aptitude du bouzin à maintenir U sans s'écrouler face à une impédance faible, donc une intensité élevée.
Voilà, j'espère que je ne t'ai pas embrouillé davantage !
Les panneaux (dont j'ai zéro expérience
) c'est spécial, comme ça rayonne en dipôle (vers l'avant et vers l'arrière) ça met bien plus la pièce à contribution puisqu'il y a une bonne partie de l'énergie sonore qui est perçue, depuis la position d'écoute, à travers les réflexions des murs - avec ce que ça suppose de modifications aléatoires d'équilibre tonal et d'interférences diverses, qu'elles soient soustractives ou additives, avec l'emission frontale... Ajoutons à cela une directivité un peu spéciale en raison de la vaste surface émissive et on a vraiment un résultat imprévisible et variable en fonction du placement, de la position d'écoute et de fréquence - mais qui néanmoins peut être fort plaisant !Je reviens plus tard peut-être les autres points
Pour ce qui est de l'électricité, ça renvoie à la loi d'Ohm sous ses diverses formes (Loi d'Ohm — Wikipédia (wikipedia.org) )
dont U=RI et P=UI, étendue aux charges réactives et régimes alternatifs (Puissance en régime alternatif — Wikipédia (wikipedia.org)), ce qui complique juste un peu les choses
Mais pour nous les audiophiles ça se résume à quelques notions plus ou moins intuitives : un ampli amplifie une tension alternative (U, en Volt), cette tension est appliquée aux bornes d'une enceinte qui a une impédance (Z, assimilable à R pour simplifier et s'exprimant également en ohm) variable en fonction de la fréquence (de l'alternance), il en résulte un courant (intensité I, en Ampère) proportionnel à U et inversement proportionnel à Z (I=U/R, loi d'Ohm).
C'est pour ça que la puissance (P, en Watts) d'un ampli est donnée pour une charge donnée : le machin est conçu pour fournir une tension maxi donnée U à un niveau de distorsion acceptable, la puissance P fournie (P=UI) est variable avec la charge, puisqu'elle conditionne l'intensité I pour une tension U donnée...
D'où aussi la "capacité en courant" chère aux audiophiles, qui se traduit par l'aptitude du bouzin à maintenir U sans s'écrouler face à une impédance faible, donc une intensité élevée.
Voilà, j'espère que je ne t'ai pas embrouillé davantage !
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Et pour le côté obscur intimiste, l'ex-Frankenchaîne