04-05-2023, 02:20 PM
(Modification du message : 04-05-2023, 02:33 PM par audiophilosophie.)
Bonjour à tous,
Mon expérience me permet de parler de ce sujet.
Tout d'abord, il faut noter que c'est au dématérialisé qu'on doit un retour du matérialisé.
La musique dématérialisée a apporté les DACs séparés de manière massive sur le marché, pour faire le pont entre le support majoritaire à l'époque, le CD, et le straming
Puis est arrivé le "transport" pour la musique dématérialisée, fusionné pour le coup avec le DAC, le streamer.
Accessoirement, outre son usage pour le dématérialisé, le DAC séparé a permis d'optimiser le "vieux" lecteur CD qui tout le monde avait, créant ainsi un "double" DAC.
Ce fait a donc entraîné, assez longtemps après l'arrivée des DACs séparés, l'arrivée de transports CD, permettant à chacun d'envisager le remplacement de son "vieux" lecteur CD par un transport dédié sans payer un DAC devenu inutile, puisque possédé dans un boîtier séparé.
Bien sûr le transport et DAC séparés n'étaient pas nouveau, mais réservé à une élite, puisque très haut de gamme. Cela a permis à tout un chacun ou presque d'optimiser sa source pas à pas ce qui réduit l'investissement en le "coupant" en deux.
Jusqu'ici tout le monde est heureux, c'est beau le progrès, comme on dit.
Sauf qu'il faut bien reconnaître que le DAC est aujourd'hui assimilé, à tort, à la seule puce électronique de conversion, et la logique consumériste nous focalise sur cette seule puce en argumentant sur sa performance par le nombre de bits. Ceux qui comme moi, sont nés dans les années 80 se rappelleront qu'on nous a déjà fait le coup avec nos bonnes vieilles consoles de jeux vidéos.
Il est donc bon de rappeler que les performances d'un DAC ne se limitent pas à une petite puce. D'ailleurs, le nombre de cette fameuse puce varie nettement d'un DAC à l'autre.
Je rappelle que la musique que nous apprécions avec notre système audio vient d'un courant électrique qui vient de loin, et que nous ne métrisons, au mieux, qu'à partir de la sortie du compteur électrique, ou, comme 99% des audiophiles je pense, à la sortie de la prise murale.
A partir de cette prise, le courant parcours tout les éléments de notre système, comme un train électrique.
Tout, donc, est important sur le chemin du courant électrique, et que la ou les petites puces DAC de notre système, mon lecteur CD a lui, 4 puces DAC de 20 bits, ne sont qu'une partie du résultat.
Donc, pour répondre à la question, je vais prendre mon cas personnel.
A l'époque, je n'avais pas les moyens de changer mon lecteur CD intégré. J'ai donc opté pour l'optimisation via un DAC séparé.
Ensuite, j'ai fini par investir dans un transport dédié.
Le reste de mon système ayant aussi évolué, mon DAC séparé s'est retrouvé être le maillon faible. J'ai donc songé le remplacer, sans passer à l'acte.
Un jour, le sujet est revenu sur la table, et après une méditation, euréka, je me suis souvenu pourquoi j'avais une source séparée, à savoir le manque de moyens à l'époque comme je l'ai dit plus haut, ce qui a tout remis en cause sur mon approche de ma source.
Et ce qui a signé la décision, c'est le fait qu'en revenant à un lecteur CD intégré, je n'aurais plus besoin d'une barrette secteur, et donc du câble que va avec.
Pour des raisons de phase, je vais installer une prise murale shuko, et quand ce sera fait, adieu barrette.
Il faut donc se poser toutes les questions avant de choisir, et ce n'est pas toujours le sujet de départ qui aboutit à la décision finale.
Mon expérience me permet de parler de ce sujet.
Tout d'abord, il faut noter que c'est au dématérialisé qu'on doit un retour du matérialisé.
La musique dématérialisée a apporté les DACs séparés de manière massive sur le marché, pour faire le pont entre le support majoritaire à l'époque, le CD, et le straming
Puis est arrivé le "transport" pour la musique dématérialisée, fusionné pour le coup avec le DAC, le streamer.
Accessoirement, outre son usage pour le dématérialisé, le DAC séparé a permis d'optimiser le "vieux" lecteur CD qui tout le monde avait, créant ainsi un "double" DAC.
Ce fait a donc entraîné, assez longtemps après l'arrivée des DACs séparés, l'arrivée de transports CD, permettant à chacun d'envisager le remplacement de son "vieux" lecteur CD par un transport dédié sans payer un DAC devenu inutile, puisque possédé dans un boîtier séparé.
Bien sûr le transport et DAC séparés n'étaient pas nouveau, mais réservé à une élite, puisque très haut de gamme. Cela a permis à tout un chacun ou presque d'optimiser sa source pas à pas ce qui réduit l'investissement en le "coupant" en deux.
Jusqu'ici tout le monde est heureux, c'est beau le progrès, comme on dit.
Sauf qu'il faut bien reconnaître que le DAC est aujourd'hui assimilé, à tort, à la seule puce électronique de conversion, et la logique consumériste nous focalise sur cette seule puce en argumentant sur sa performance par le nombre de bits. Ceux qui comme moi, sont nés dans les années 80 se rappelleront qu'on nous a déjà fait le coup avec nos bonnes vieilles consoles de jeux vidéos.
Il est donc bon de rappeler que les performances d'un DAC ne se limitent pas à une petite puce. D'ailleurs, le nombre de cette fameuse puce varie nettement d'un DAC à l'autre.
Je rappelle que la musique que nous apprécions avec notre système audio vient d'un courant électrique qui vient de loin, et que nous ne métrisons, au mieux, qu'à partir de la sortie du compteur électrique, ou, comme 99% des audiophiles je pense, à la sortie de la prise murale.
A partir de cette prise, le courant parcours tout les éléments de notre système, comme un train électrique.
Tout, donc, est important sur le chemin du courant électrique, et que la ou les petites puces DAC de notre système, mon lecteur CD a lui, 4 puces DAC de 20 bits, ne sont qu'une partie du résultat.
Donc, pour répondre à la question, je vais prendre mon cas personnel.
A l'époque, je n'avais pas les moyens de changer mon lecteur CD intégré. J'ai donc opté pour l'optimisation via un DAC séparé.
Ensuite, j'ai fini par investir dans un transport dédié.
Le reste de mon système ayant aussi évolué, mon DAC séparé s'est retrouvé être le maillon faible. J'ai donc songé le remplacer, sans passer à l'acte.
Un jour, le sujet est revenu sur la table, et après une méditation, euréka, je me suis souvenu pourquoi j'avais une source séparée, à savoir le manque de moyens à l'époque comme je l'ai dit plus haut, ce qui a tout remis en cause sur mon approche de ma source.
Et ce qui a signé la décision, c'est le fait qu'en revenant à un lecteur CD intégré, je n'aurais plus besoin d'une barrette secteur, et donc du câble que va avec.
Pour des raisons de phase, je vais installer une prise murale shuko, et quand ce sera fait, adieu barrette.
Il faut donc se poser toutes les questions avant de choisir, et ce n'est pas toujours le sujet de départ qui aboutit à la décision finale.
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