(01-19-2017, 03:23 PM)Nicoben a écrit : Pour AZP, je ne sais pas quel modèle est utilisé. Ce n'est pas un Jensen, c'est plus haut de gamme, en tout cas la comparaison avec le Jensen, pourtant réputé, a montré un manque de transparence de l'américain en comparaison. Mais c'était il est vrai un modèle tout intégré pro de la marque, avec quelques pertes en ligne certainement. J'avais des Jensen implantés en entrée de mon préampli Rogue Hera et ça marchait pas mal.
Bref je crois que ce sont des modèles sur cahier des charge, en tout cas le résultat est là, il avait montré par exemple la médiocre prestation des entrées symétriques de mon ASR Emitter 2 en comparaison (ok elles sont loupées aussi....).
Pour tonton, je dirais:
- entre deux matériels de conception asymétrique, ou entre deux matériels de conception symétrique, on a pas besoin évidemment de ce genre d'accessoire.
- il n'y a aucune raison qu'à prestation égale une entrée ou sortie symétrique soit meilleure qu'une asymétrique. Mais il arrive qu'une source soit de conception symétrique (totaldac, Lumin, d'autres...) et que la sortie symétrique ait réellement un avantage de conception, et si l'ampli est de conception asymétrique alors son entrée symétrique est souvent une grosse merde, et là ce transfo trouve son usage, source meilleure en symétrique sur un ampli asymétrique, et ce transfo est de nettement meilleure qualité que bien de mauvaises entrées symétriques qui jouent le même role.
- un transfo peut en effet avoir un effet filtre, mais aussi fait une isolation galvanique, ce peut être un plus. C'est souvent plus transparent qu'un circuit actif de désymétrisation, une puce quelconque qui ne "sonne pas".
- un pontage du - sur la masse met la moitié du signal symétrique à la masse. Certains matériels n'apprécient pas du tout. Et si on a une réelle plusvalue à utiliser les deux alternances du signal symétrique alors on perd tout l'avantage. Chez totaldac par exemple, chaque alternance de signal correspond à la sortie de la moitié de l'étage de conversion du dac, c'est comme supprimer la moitié du dac en sortie que ne pas utiliser de désymétriseur. Certains fabricants font de même avec les puces dac du marché elles sont mises en parallèle et on utilise leur aspect symétrique pour alimenter chaque alternance sur xlr en sortie, c'est une vraie source symétrique, qu'il faut désymétriser pour avoir les qualités sur un ampli asymétrique.
Cordialement, Nico.
Bonsoir et merci de votre réponse.
Je n ai jamais constaté de perte mais de fait certain ampli des année 80 comme Amcron ,Telewatt avait un swith
pour passer sym ou asym.
Je ne comprend pas la notion de moitié de signal...
Le transfo reste pour moi lier aux longueurs de cable;aux ronflettes,a l'isolation.
Cordialement.Tonton
(01-19-2017, 03:23 PM)Nicoben a écrit : Pour AZP, je ne sais pas quel modèle est utilisé. Ce n'est pas un Jensen, c'est plus haut de gamme, en tout cas la comparaison avec le Jensen, pourtant réputé, a montré un manque de transparence de l'américain en comparaison. Mais c'était il est vrai un modèle tout intégré pro de la marque, avec quelques pertes en ligne certainement. J'avais des Jensen implantés en entrée de mon préampli Rogue Hera et ça marchait pas mal.
Bref je crois que ce sont des modèles sur cahier des charge, en tout cas le résultat est là, il avait montré par exemple la médiocre prestation des entrées symétriques de mon ASR Emitter 2 en comparaison (ok elles sont loupées aussi....).
Pour tonton, je dirais:
- entre deux matériels de conception asymétrique, ou entre deux matériels de conception symétrique, on a pas besoin évidemment de ce genre d'accessoire.
- il n'y a aucune raison qu'à prestation égale une entrée ou sortie symétrique soit meilleure qu'une asymétrique. Mais il arrive qu'une source soit de conception symétrique (totaldac, Lumin, d'autres...) et que la sortie symétrique ait réellement un avantage de conception, et si l'ampli est de conception asymétrique alors son entrée symétrique est souvent une grosse merde, et là ce transfo trouve son usage, source meilleure en symétrique sur un ampli asymétrique, et ce transfo est de nettement meilleure qualité que bien de mauvaises entrées symétriques qui jouent le même role.
- un transfo peut en effet avoir un effet filtre, mais aussi fait une isolation galvanique, ce peut être un plus. C'est souvent plus transparent qu'un circuit actif de désymétrisation, une puce quelconque qui ne "sonne pas".
- un pontage du - sur la masse met la moitié du signal symétrique à la masse. Certains matériels n'apprécient pas du tout. Et si on a une réelle plusvalue à utiliser les deux alternances du signal symétrique alors on perd tout l'avantage. Chez totaldac par exemple, chaque alternance de signal correspond à la sortie de la moitié de l'étage de conversion du dac, c'est comme supprimer la moitié du dac en sortie que ne pas utiliser de désymétriseur. Certains fabricants font de même avec les puces dac du marché elles sont mises en parallèle et on utilise leur aspect symétrique pour alimenter chaque alternance sur xlr en sortie, c'est une vraie source symétrique, qu'il faut désymétriser pour avoir les qualités sur un ampli asymétrique.
Cordialement, Nico.
Bonsoir et merci de votre réponse.
Je n ai jamais constaté de perte mais de fait certain ampli des année 80 comme Amcron ,Telewatt avait un swith
pour passer sym ou asym.
Je ne comprend pas la notion de moitié de signal...
Le transfo reste pour moi lier aux longueurs de cable;aux ronflettes,a l'isolation.
Cordialement.Tonton