03-25-2022, 03:21 PM
(Modification du message : 03-25-2022, 03:57 PM par mélaudiophile.)
je n'ai pas la prétention de tout piger au digital, mais il faut oublier les principes de l'analogique comme "less is more", plus c'est court mieux c'est, moins il y a de composants mieux c'est, etc....
A l'armée j'étais opérateur morse, (graphiste), et j'ai comparé le morse au digital: binaire (trait long ou court), groupes de 5 lettres (comme les octets de 8),codage au départ, décodage à l'arrivée (j'étais soit ADC soit DAC), correction d'erreur (collationnement: on renvoie des parties pour vérification), robustesse des "bits" (même dans des crachotements pourvu qu'on entende les signaux ça suffit pour avoir le message, et puis il y a la correction d'erreurs) - alors qu'en "analogique" (en phonie) si le signal est brouillé ou pollué on ne pige plus rien.
Il faudrait employer un autre mot que dématérialisé par opposition au CD , car le CD n'est pas plus "matériel" qu'un disque dur ou une carte mémoire, ce sont trois objets qu'on peut prendre en main, on devrait réserver le terme au streaming seul car là on n'a pas de support physique chez soi. Un peu comme vinyle ou radio autrefois, soit on possède la musique sur un support soit on l'écoute sans la posséder.
Il y a toujours un support physique, à l’origine : au studio, et aussi à l’arrivée (sauf en cas de streaming): CD, disque dur, carte mémoire ou SSD. La musique a été digitalisée, elle se trouve sur un support physique, près ou lointain, seule variante: le voyage de ces bits depuis le support physique d’origine jusqu'au DAC de l’auditeur.
On peut les lire avec un rayon laser sur un disque qui tourne, avec une tête magnétique sur un plateau de disque dur qui tourne, avec un rayon laser sur un minidisc qui tourne, sans disque tournant ou tête de lecture avec une carte mémoire (SSD= plusieurs cartes dans un boîtier).
Le chemin peut être ultra court (lecteur CD intégré), un peu plus long (lecteur drive CD ,lecteur USB ou réseau > DAC) ou très long (serveur internet à des milliers de kms > téléchargement dans un PC >USB ou lecteur réseau > DAC), la beauté de la chose est que pourvu que les bits arrivent au DAC on aura la même musique. Les différentes mises en oeuvre chez soi, ainsi que la capacité des DACs à rejeter les pollutions éventuelles, peuvent produire des pouillèmes de différence mais grosso modo c'est pareil.
A l'armée j'étais opérateur morse, (graphiste), et j'ai comparé le morse au digital: binaire (trait long ou court), groupes de 5 lettres (comme les octets de 8),codage au départ, décodage à l'arrivée (j'étais soit ADC soit DAC), correction d'erreur (collationnement: on renvoie des parties pour vérification), robustesse des "bits" (même dans des crachotements pourvu qu'on entende les signaux ça suffit pour avoir le message, et puis il y a la correction d'erreurs) - alors qu'en "analogique" (en phonie) si le signal est brouillé ou pollué on ne pige plus rien.
Il faudrait employer un autre mot que dématérialisé par opposition au CD , car le CD n'est pas plus "matériel" qu'un disque dur ou une carte mémoire, ce sont trois objets qu'on peut prendre en main, on devrait réserver le terme au streaming seul car là on n'a pas de support physique chez soi. Un peu comme vinyle ou radio autrefois, soit on possède la musique sur un support soit on l'écoute sans la posséder.
Il y a toujours un support physique, à l’origine : au studio, et aussi à l’arrivée (sauf en cas de streaming): CD, disque dur, carte mémoire ou SSD. La musique a été digitalisée, elle se trouve sur un support physique, près ou lointain, seule variante: le voyage de ces bits depuis le support physique d’origine jusqu'au DAC de l’auditeur.
On peut les lire avec un rayon laser sur un disque qui tourne, avec une tête magnétique sur un plateau de disque dur qui tourne, avec un rayon laser sur un minidisc qui tourne, sans disque tournant ou tête de lecture avec une carte mémoire (SSD= plusieurs cartes dans un boîtier).
Le chemin peut être ultra court (lecteur CD intégré), un peu plus long (lecteur drive CD ,lecteur USB ou réseau > DAC) ou très long (serveur internet à des milliers de kms > téléchargement dans un PC >USB ou lecteur réseau > DAC), la beauté de la chose est que pourvu que les bits arrivent au DAC on aura la même musique. Les différentes mises en oeuvre chez soi, ainsi que la capacité des DACs à rejeter les pollutions éventuelles, peuvent produire des pouillèmes de différence mais grosso modo c'est pareil.
Enceintes:Onken-Altec 416/Iwata-JBL2445Be/ T925; Tannoy K3838; ATC scm11;Triangle Comète; JM Lab Cobalt 816S
Amplis:Accuphase P102;Forté 4A;1A;Arpège Ref10,Atoll AM80,Hiraga 8W;FX802;MCR 510
Pré: PerreauxEP;Tact RCS 2.2X; Mytek Brooklyn DAC; Preamp passif CI Audio
CD:Nuprime CD8T, BD:Oppo93 , ReavonUBR-X110 - Squeezebox Touch, SB III (x 3)
Vinyle:Thorens TD160 bras Lurné ;TD 165;V15 V15V, AT 440Mlb, DL103,pré pré Hiraga pré ADL GT40
Magnétos:K7 nakamich BX2,TEAC W-1200, Bandes TEAC 3340, 2300;Sony TC377;minidisc Sony MDS JE500
Amplis:Accuphase P102;Forté 4A;1A;Arpège Ref10,Atoll AM80,Hiraga 8W;FX802;MCR 510
Pré: PerreauxEP;Tact RCS 2.2X; Mytek Brooklyn DAC; Preamp passif CI Audio
CD:Nuprime CD8T, BD:Oppo93 , ReavonUBR-X110 - Squeezebox Touch, SB III (x 3)
Vinyle:Thorens TD160 bras Lurné ;TD 165;V15 V15V, AT 440Mlb, DL103,pré pré Hiraga pré ADL GT40
Magnétos:K7 nakamich BX2,TEAC W-1200, Bandes TEAC 3340, 2300;