Je suis surpris par la nécessité d’améliorer du 24bits avec du dithering et/ou du noise shaping.
Un bruit de quantification en 24bits est de l’ordre de -144dBFS. En mettant le son à fond (disons 0dBFS=120dB SPL… plus de la sono que de la hifi), le bruit de quantification est à -24dB SPL : une puissance 250 fois plus faible que le seuil de l’audition (0dB SPL).
NB, les calculs internes en 64bits dans Cubase, logiciel leader en production musicale datent de 2017 (v9.5)… c’est relativement récent. Avant on était en 32bits, donc 24pour la mantisse, 8 pour l’exposant.
Un bruit de quantification en 24bits est de l’ordre de -144dBFS. En mettant le son à fond (disons 0dBFS=120dB SPL… plus de la sono que de la hifi), le bruit de quantification est à -24dB SPL : une puissance 250 fois plus faible que le seuil de l’audition (0dB SPL).
NB, les calculs internes en 64bits dans Cubase, logiciel leader en production musicale datent de 2017 (v9.5)… c’est relativement récent. Avant on était en 32bits, donc 24pour la mantisse, 8 pour l’exposant.
Salon : paire de Devialet II 98dB
Bureau : piano numérique Yamaha N1X (6x30W), DAC/ADC Steinberg UR22, casque AKG702
Bureau : piano numérique Yamaha N1X (6x30W), DAC/ADC Steinberg UR22, casque AKG702