Tu as bien compris en effet, il y a pour moi des aspects néfastes dans le mode bridgé qui me conduisent à n’en garder qu’un (contrairement à ce que certains bancs d’essai disent, je ne partage pas leurs conclusions sur la supériorité du mode bridgé). Maintenant avec des enceintes plus molles, de très bas rendement, qui sait… mais pas avec mes Marten Duke à HP céramique qui sont plutôt rapides et résolutives, sans être des « cadeaux » à alimenter pour autant, mais raisonnable.
Cela n’empêche pas que j’aime bien essayer des choses différentes quand l’occasion se présente et j’ai décidé de profiter de cette vente pour essayer par moi même un bloc Kinki Ex-M7 avant que les prix de tout en ce monde ne grimpent encore en neuf… essai en cours… mais ce n’est pas tout à fait le même budget. Je dirais simplement tel que j’ai pu le mettre dans l’annonce face aux blocs mono, que le Kinki propose une restitution un peu plus vivante, dynamique et rapide, des attaques un peu plus ciselées et nuancées. Les comportements à froid sont différents car le Kinki comme tous les transistors que j’ai croisé sont verts, braillards à froid, alors que le Nuprime est plutot dilué, lissé à froid. Les deux prennent du contraste et de la variété à chaud. L’ami qui a les blocs mono Kinki préfère le coté plus résolutif et piqué, tendu, rapide des transistors et du couplage à courant continu de ces blocs qui sont un peu plus fidèles à la source certainement, là où les Jfet classe A et la classe D du Nuprime proposent une restitution un peu plus ronde. Moi j’apprécie les deux caractères, le fait qu’il y a un peu plus de compromis dans le Nuprime qui le rend un peu plus reposant, mais moins transparent c’est un fait. Je dirais qu’au delà du fait qu’il y a une gamme de prix et de puissance d’écart entre ces deux amplifications différentes par nature, le Kinki est un peu plus vivant, donne un peu plus de PRAT comme disent les anglais, les Nuprime sont un peu plus contemplatifs, reposants (et trop rentre dedans en bridgé du coup, la subtilité ne suit alors pas assez de par l’excès de gain même si c’est plus musclé).
Vu l’absence totale de données objectives des amplis Nuprime sur le net, je t’avoue qu’il m’est difficile de définir leur comportement à basse impédance. En terme de puissance le AMG est annoncé pour 200 watts sous 4ohm donc il semble assez bien adapté à jouer sous cette impédance, plus bas qui sait…. Mes Marten font 4ohm avec un mini à 3,7 et pas très linéaire mais pas torturé dans le grave non plus, et c’est une deux voies utilisée dans 14m2… Dans l’ensemble il me semble que c’est rarement le fort des amplis classe D que de supporter de très basses impédances. Sur le fond je pense qu’il convient de distinguer des impédances minimales basses selon les fréquences: des creux infâmes d’impédance dans le bas du spectre seront souvent gage de torture pour l’amplification vu les besoins en courant des boomers en action, alors qu’à des fréquences plus élevées l’impact serait faible. J’évite d’office les amplis classe D sur des panneaux par exemple et ce n’est pas pour rien que l’on retrouve toujours chez les utilisateurs des amplifications transistorisées qui doublent leur puissance sans frémir à chaque baisse d’impédance avec des stabilité à 2 voir 1 ohm. Ou des amplifications à tube qui font fi de l’impédance avec leurs transfos de sortie. La courbe d’impédance des enceintes est un facteur important à étudier quelle que soit l’amplification que l’on envisage… mais en particulier avec la classe D.
Cela n’empêche pas que j’aime bien essayer des choses différentes quand l’occasion se présente et j’ai décidé de profiter de cette vente pour essayer par moi même un bloc Kinki Ex-M7 avant que les prix de tout en ce monde ne grimpent encore en neuf… essai en cours… mais ce n’est pas tout à fait le même budget. Je dirais simplement tel que j’ai pu le mettre dans l’annonce face aux blocs mono, que le Kinki propose une restitution un peu plus vivante, dynamique et rapide, des attaques un peu plus ciselées et nuancées. Les comportements à froid sont différents car le Kinki comme tous les transistors que j’ai croisé sont verts, braillards à froid, alors que le Nuprime est plutot dilué, lissé à froid. Les deux prennent du contraste et de la variété à chaud. L’ami qui a les blocs mono Kinki préfère le coté plus résolutif et piqué, tendu, rapide des transistors et du couplage à courant continu de ces blocs qui sont un peu plus fidèles à la source certainement, là où les Jfet classe A et la classe D du Nuprime proposent une restitution un peu plus ronde. Moi j’apprécie les deux caractères, le fait qu’il y a un peu plus de compromis dans le Nuprime qui le rend un peu plus reposant, mais moins transparent c’est un fait. Je dirais qu’au delà du fait qu’il y a une gamme de prix et de puissance d’écart entre ces deux amplifications différentes par nature, le Kinki est un peu plus vivant, donne un peu plus de PRAT comme disent les anglais, les Nuprime sont un peu plus contemplatifs, reposants (et trop rentre dedans en bridgé du coup, la subtilité ne suit alors pas assez de par l’excès de gain même si c’est plus musclé).
Vu l’absence totale de données objectives des amplis Nuprime sur le net, je t’avoue qu’il m’est difficile de définir leur comportement à basse impédance. En terme de puissance le AMG est annoncé pour 200 watts sous 4ohm donc il semble assez bien adapté à jouer sous cette impédance, plus bas qui sait…. Mes Marten font 4ohm avec un mini à 3,7 et pas très linéaire mais pas torturé dans le grave non plus, et c’est une deux voies utilisée dans 14m2… Dans l’ensemble il me semble que c’est rarement le fort des amplis classe D que de supporter de très basses impédances. Sur le fond je pense qu’il convient de distinguer des impédances minimales basses selon les fréquences: des creux infâmes d’impédance dans le bas du spectre seront souvent gage de torture pour l’amplification vu les besoins en courant des boomers en action, alors qu’à des fréquences plus élevées l’impact serait faible. J’évite d’office les amplis classe D sur des panneaux par exemple et ce n’est pas pour rien que l’on retrouve toujours chez les utilisateurs des amplifications transistorisées qui doublent leur puissance sans frémir à chaque baisse d’impédance avec des stabilité à 2 voir 1 ohm. Ou des amplifications à tube qui font fi de l’impédance avec leurs transfos de sortie. La courbe d’impédance des enceintes est un facteur important à étudier quelle que soit l’amplification que l’on envisage… mais en particulier avec la classe D.
Du transistor, du tube, de l’hybride…. Des petites, des grosses…. Tout démat.
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Albedo, Leedh E2 Glass, Coincident Statement Linestage, blocs mono Coincident SE845 Turbo
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Albedo, Leedh E2 Glass, Coincident Statement Linestage, blocs mono Coincident SE845 Turbo