11-15-2016, 01:25 AM
Eh bien, le sujet commence à s'éclaircir. Bravo pour cet effort pédagogique, Thierry. La dernière question que je me pose est : comment peut-on dire que le niveau moyen de nos écoutes est toujours à peu près le même, quoiqu'on écoute comme musique, évidemment sans avoir à tenir compte des problèmes de voisinage ?
J'ai l'impression de chercher le niveau sonore adéquat pour chaque instrument ou ensemble à reproduire, C'est sur mon système une condition critique , non seulement pour le réalisme, mais surtout pour le plaisir maximum que peut offrir la musique. Donc, je cherche souvent ce niveau optimal du volume, et il me paraît assez variable en intensité "ressentie" selon les enregistrements. Bien sûr, je pourrais mesurer au sonomètre avec différentes musiques, mais plus le fichier est dynamique, plus le niveau moyen paraît faible. Logique. L'exemple qui tue (surtout les haut-parleurs), c'est l'enregistrement de piano du japonais que tu m'avais indiqué. Celui-là, il faut le mettre très très bas pour que les forte ne déclenchent pas des dégâts matériels et auriculaires. Le dulcimer d'Eric Michelet pareil, comme un certain nombre de sopranos. Et puis à l'opposé, il y a des disques de pop que l'on peut écouter à des niveaux moyens élevés sans soucis. On peut donc penser qu'instinctivement, on va régler le volume à un niveau plaisant mais compatible à ce que peut donner proprement notre système dans les forte, et diminuer le volume et le niveau moyen quand le fichier est très dynamique. Calculer la puissance d'amplification nécessaire selon le CF, le rendement et l'impédance des enceintes et la distance d'écoute, reste dépendant d'un niveau acoustique moyen bien capricieux.
J'ai l'impression de chercher le niveau sonore adéquat pour chaque instrument ou ensemble à reproduire, C'est sur mon système une condition critique , non seulement pour le réalisme, mais surtout pour le plaisir maximum que peut offrir la musique. Donc, je cherche souvent ce niveau optimal du volume, et il me paraît assez variable en intensité "ressentie" selon les enregistrements. Bien sûr, je pourrais mesurer au sonomètre avec différentes musiques, mais plus le fichier est dynamique, plus le niveau moyen paraît faible. Logique. L'exemple qui tue (surtout les haut-parleurs), c'est l'enregistrement de piano du japonais que tu m'avais indiqué. Celui-là, il faut le mettre très très bas pour que les forte ne déclenchent pas des dégâts matériels et auriculaires. Le dulcimer d'Eric Michelet pareil, comme un certain nombre de sopranos. Et puis à l'opposé, il y a des disques de pop que l'on peut écouter à des niveaux moyens élevés sans soucis. On peut donc penser qu'instinctivement, on va régler le volume à un niveau plaisant mais compatible à ce que peut donner proprement notre système dans les forte, et diminuer le volume et le niveau moyen quand le fichier est très dynamique. Calculer la puissance d'amplification nécessaire selon le CF, le rendement et l'impédance des enceintes et la distance d'écoute, reste dépendant d'un niveau acoustique moyen bien capricieux.