04-27-2021, 10:33 PM
De fait l'intégrale Bruckner de Karajan n'est pas non plus ma préférence. Les 7 & 8 tardives sont tout de même à sortir du lot pour l'émotion qu'elles dégagent (enfin).
La 7ème symphonie connaît une discographie chargée de référence. Dans un coffret de 5 lps, Furtwangler chez dg, version des années 50 mono (4 7 8 9) Bohm avec Vienne reste incontournable, sortie avec la
8ème en un coffret de 3 lps dg, Jochum dans ses versions studio
avec Berlin et ensuite à Dresde, j'ai une préférence pour Dresde (les cuivres), ancienne version de Klemperer avec le Philarmonia, un finale d'une lenteur inhabituelle, Barenboim avec Chicago est superbe à mon avis dans sa meilleure intégrale, pour emporter comme unique version, mon choix se porte sur Giulini à Vienne pour sa profonde intériorité avec un orchestre concerné par ses conceptions.Haitink, Karajan dg Berlin, Wand qui ignore le coup de cymbale, voilà pour les anciens qui restent très fréquentables Pour la nouvelle génération, j'ai quelque peu déconnecté.
La 7ème symphonie connaît une discographie chargée de référence. Dans un coffret de 5 lps, Furtwangler chez dg, version des années 50 mono (4 7 8 9) Bohm avec Vienne reste incontournable, sortie avec la
8ème en un coffret de 3 lps dg, Jochum dans ses versions studio
avec Berlin et ensuite à Dresde, j'ai une préférence pour Dresde (les cuivres), ancienne version de Klemperer avec le Philarmonia, un finale d'une lenteur inhabituelle, Barenboim avec Chicago est superbe à mon avis dans sa meilleure intégrale, pour emporter comme unique version, mon choix se porte sur Giulini à Vienne pour sa profonde intériorité avec un orchestre concerné par ses conceptions.Haitink, Karajan dg Berlin, Wand qui ignore le coup de cymbale, voilà pour les anciens qui restent très fréquentables Pour la nouvelle génération, j'ai quelque peu déconnecté.