04-11-2021, 06:18 PM
(Modification du message : 04-13-2021, 08:52 PM par SuperDupont.)
(04-10-2021, 05:10 PM)KIKIWILLYBEE a écrit : Super !, y a tout : méthode, vocabulaire ... : un outil rigoureux !...,
à partager ! svp...,
(fastidieux .., peut être pour certains , plus sensitifs '!?...).
(Structuraliste et holistique , mon 'habitus épistémologique' ... ;-) est plus simple , quasi métrologique ... lol !, mais celà est une autre histoire ... ;-)... celui ci est aussi enrichi par exemple par jadis une fréquentation régulière des concerts , de musiciens pro. de jazz. et du catering techniques sons , vidéo et d'électroniciens fameux .. ;-) (toujours sur la défense, dsl. ;-)...) ...
L'habitude des concerts et du monde de la musique est une excellente chose, comme être instrumentiste permet de connaitre les caractéristiques sonore d'un instrument. C'est plus facile pour savoir ce que signifie réellement une restitution réaliste.
La méthode que Thevenot propose dans ces stages a l'avantage de donner des références communes et un outil a des gens qui peuvent travailler ensemble. C'est particulièrement adapté aux ingés sons pour caractériser les éléments sur lesquels ils travaillent, un peu moins pour les audiophiles qui ne peuvent qu'agir (en partie) sur la restitution comme le signale padcost.
Pour autant, on retrouve des notions couramment citées dans les CR, sans savoir ce que les auteurs des CR entendent exactement par ces termes, ce qui cause parfois incompréhension et malentendu. Ce que propose Thevenot n'a rien de magique ou de particulièrement alambiqué, c'est assez pragmatique:
La largeur, profondeur et relief de l'image sonore. Sa stabilité. l'équilibre spectral et dynamique. La séparation des timbres et la transparence.
Par contre, ce qui est moins utilisé par les audiophiles, c'est la notion de réverbération propre a l'enregistrement.
Perçoit‐on plus la salle ou le sujet lui‐même? Ces réflexions sont séparées du son direct ou bien indissociables? Etc.
Une écoute "globale" va permettre de dire j'aime ou je n'aime pas la restitution d'un système, mais pas de cerner plus finement les aspects qui clochent ou dérangent. Mais ce qui reste fondamental est, au moins, d'avoir une idée de la qualité de l'enregistrement par une autre référence (casque ou autre).
Inutile de demander a un système "d'imager correctement" un enregistrement ou tous les plans sont collés au centre ou sortent a tour de role d'une enceinte a l'autre (cas d'enregistrements mono mixés en stereo). De respecter les timbres d'un piano avec des micros qui les ont travestis en oubliant une partie du spectre. De ne pas avoir de ronflements du grave d'un enregistrement fait dans une pièce ou ces ronflements existaient déjà. Sinon, on tombe dans la compensation sans fin et d'ajustement a une "vérité" supposée, et pas de ce que l'enregistrement contient réellement. Et là, c'est le début de l'audiophilie psychotique...