01-08-2021, 12:24 AM
J'entends votre réticence à tous les deux.
Le point qui me parait déterminant dans le choix de l'interface, et donc des formats à traiter, est effectivement moins celui du format d'origine, que celui de l'endroit où l'upsampling doit se faire:
- soit dans le DAC, avec des filtres PCM en nombre limité, et une charge de calcul qui va créer au niveau du DAC une pollution EM,
- soit en amont, au niveau d'un serveur, avec HQPlayer par exemple.
J'ai pour ma part trouvé que l'upsampling en amont avait des qualités que l'upsampling sur le DAC n'avait pas. En particulier, sur les PCM, le fait de pouvoir limiter le nombre de bits en entrée au DAC au nombre de bits correspondant réellement au dynamic range du DAC (souvent de l'ordre de 20 ou 21 bits au lieu des 24 ou 32 habituels), permettait d'utiliser de meilleurs filtres sur le serveur HQPlayer que ceux disponibles sur le DAC.
En DSD, je trouve que l'upsampling offre un rendu assez doux, et que la combinaison avec une horloge qui intervient au niveau de la transformation du flux asynchrone USB en flux synchrone I2S était un plus sérieux par rapport au flux SPDIF que je connais bien par ailleurs pour l'avoir utilisé pendant de longues années sur mon Mutec MC-3+ USB...
J'ai donc tendance à privilégier deux boites séparées, un player (NAA dans le language HQPlayer) et une interface, de préférence USB->I2S pour alimenter au plus près les DAC modernes.
Le point qui me parait déterminant dans le choix de l'interface, et donc des formats à traiter, est effectivement moins celui du format d'origine, que celui de l'endroit où l'upsampling doit se faire:
- soit dans le DAC, avec des filtres PCM en nombre limité, et une charge de calcul qui va créer au niveau du DAC une pollution EM,
- soit en amont, au niveau d'un serveur, avec HQPlayer par exemple.
J'ai pour ma part trouvé que l'upsampling en amont avait des qualités que l'upsampling sur le DAC n'avait pas. En particulier, sur les PCM, le fait de pouvoir limiter le nombre de bits en entrée au DAC au nombre de bits correspondant réellement au dynamic range du DAC (souvent de l'ordre de 20 ou 21 bits au lieu des 24 ou 32 habituels), permettait d'utiliser de meilleurs filtres sur le serveur HQPlayer que ceux disponibles sur le DAC.
En DSD, je trouve que l'upsampling offre un rendu assez doux, et que la combinaison avec une horloge qui intervient au niveau de la transformation du flux asynchrone USB en flux synchrone I2S était un plus sérieux par rapport au flux SPDIF que je connais bien par ailleurs pour l'avoir utilisé pendant de longues années sur mon Mutec MC-3+ USB...
J'ai donc tendance à privilégier deux boites séparées, un player (NAA dans le language HQPlayer) et une interface, de préférence USB->I2S pour alimenter au plus près les DAC modernes.