08-29-2020, 10:15 AM
(Modification du message : 08-30-2020, 10:43 PM par Musicalbox.)
Les matériels utilisant la connectique XLR répondent à un choix de marketing : « faire sérieux ».... faire comme pro.
Mais absolument rien ne les justifie dans notre utilisation de salon.
Et cette solution ne présente aucun caractère de supériorité pour notre usage.
Le seul critère est : le schéma, le montage, sont bien pensés en vue du résultat audio, ou pas.
Ce n’est pas une question de type de solution mais de qualité de réalisation.
Cela dit on ne pourra pas empêcher que dire cela fâche encore la moitié du public.
—————-
La classe A est une question de réglage plus ou moins poussé.
On peut prendre un ampli en classe B et le pousser au-delà.
On peut faire un ampli en classe AB qui par son efficacité va passer le plus clair de son temps en classe A.
La pure classe A est une déperdition conséquente d’énergie totalement inutile.
La classe n’étant qu’une question de réglage, un ampli vendu avec l’étiquette commerciale « classe A » n’a pas pour autant un schéma plus exceptionnel.
Les Kallyste classe AB, à titre d’exemple, étant conçus pour être efficaces (aucune déperdition) , et poussant sans problème n’importe quelle enceinte, rien ne force, et dans les faits ils se promènent dans la plage A une partie du temps d’écoute. (Les dix premiers watts)
Cela dit savoir comment les choses se passent est intéressant. Mais est-ce notre préoccupation en écoutant la musique, absolument pas.
Pour résumer,
inutile de faire fonctionner en permanence un ampli au potentiel maxi des transistors.
(J’espère ne pas trop mal l’exprimer)
Cela ne fera rien gagner en résultat hormis servir de chauffage d’appoint et engraisser le fournisseur d’électricité.
Mais absolument rien ne les justifie dans notre utilisation de salon.
Et cette solution ne présente aucun caractère de supériorité pour notre usage.
Le seul critère est : le schéma, le montage, sont bien pensés en vue du résultat audio, ou pas.
Ce n’est pas une question de type de solution mais de qualité de réalisation.
Cela dit on ne pourra pas empêcher que dire cela fâche encore la moitié du public.
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La classe A est une question de réglage plus ou moins poussé.
On peut prendre un ampli en classe B et le pousser au-delà.
On peut faire un ampli en classe AB qui par son efficacité va passer le plus clair de son temps en classe A.
La pure classe A est une déperdition conséquente d’énergie totalement inutile.
La classe n’étant qu’une question de réglage, un ampli vendu avec l’étiquette commerciale « classe A » n’a pas pour autant un schéma plus exceptionnel.
Les Kallyste classe AB, à titre d’exemple, étant conçus pour être efficaces (aucune déperdition) , et poussant sans problème n’importe quelle enceinte, rien ne force, et dans les faits ils se promènent dans la plage A une partie du temps d’écoute. (Les dix premiers watts)
Cela dit savoir comment les choses se passent est intéressant. Mais est-ce notre préoccupation en écoutant la musique, absolument pas.
Pour résumer,
inutile de faire fonctionner en permanence un ampli au potentiel maxi des transistors.
(J’espère ne pas trop mal l’exprimer)
Cela ne fera rien gagner en résultat hormis servir de chauffage d’appoint et engraisser le fournisseur d’électricité.