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Ben la preuve que oui, personne n'ose se mouiller !
Je pense qu'il faut essayer de voir les choses méthodiquement.
Je vous propose donc d'aborder le sujet par la base de la câblerie : Le fil ( sans son isolant extérieur ).
Dans un premier temps, cela pourra sembler très évident pour tout le monde mais il faut bien commencer par quelque chose !
À compléter bien sûr....
Il existe trois types de fil :
_ Le monobrin.
_ Le multi brins.
_ Le fil de Litz.
Pour le monobrin, pas besoin d'explication, tout est dans le " titre ".
Le multi brins, lui, consiste en une torsade de plusieurs monobrins sans aucun isolant.
Le Litz est aussi un multi brins mais dont chaque brin est recouvert d'un matériaux isolant.
Mine de rien, déjà là ça se complique car on peut partir du principe que plusieurs monobrins individuellement téflonné et torsadés ensemble constitue donc bien un litz dans l'aspect technique.
Mais pas un Litz émaillé, comme c'est souvent le cas, mais un Litz " téflonné ".
A partir du moment où le cable n'est pas constitué d'un seul et unique brin par pôle, on est forcément sur un Litz ou un multi brins, peut importe la mise en œuvre.
Jusque là pas de problème.
Ça se complique lorsqu'il faut commencer à décrire les " caractéristiques " propre à chaque type de fil.
Voilà ma vision des choses :
Juste un début, on aborde seulement le truc.
Le mono brin est l'approche la plus simpliste.
Non pas qu'elle ne peut pas être très performante, mais dans l'aspect " technique ".
On règle l'équilibre en jouant sur le diamètre du fil et la nature du matériaux.
En poussant sur de nombreux paramètres tel que la pureté, l'isolant, des traitements supplémentaires tel que la cryo etc..., on peut emmener les choses très loin.
A diamètre équivalent, le multi brins augmente la surface de peau, donc améliore la définition.
Encore une fois, on règle la partie du spectre sur laquelle on veut apporter de la définition avec les diamètres et le nombre des brins qui le constituent, tout en gardant sensiblement le même équilibre général qui est plus en rapport avec le diamètre total et la matière ( comme le mono brin ).
Exemple : un multi brins de 2 fils de 0.5 mm ( 0.4 mm carré ) ne poussera pas la définition dans la même zone du spectre qu'un 8 fils de 0.25, ou qu'un 50 fils de 0.1 mm.
Enfin le Litz, lui, sélectionne vraiment la zone que l'on veut traiter et s'y maintient.
N'attendez pas par exemple de grave ou même de matière avec un Litz très très fin.
Cela ne fera que de l'aigu.
Un bel aigu par contre, ciselé, fin et défini etc....
À compléter....
Ensuite, dans un deuxième temps et dans la continuité de ce " premier chapitre ", on pourrait aborder la matière des fils, par exemple.
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(08-02-2016, 10:17 AM)Nathalie a écrit : Abaque oui, c'est le bon mot.
C'est si difficile que ça de répertorier sans vouloir dominer ? ?
Ben la preuve que oui, personne n'ose se mouiller !
Je pense qu'il faut essayer de voir les choses méthodiquement.
Je vous propose donc d'aborder le sujet par la base de la câblerie : Le fil ( sans son isolant extérieur ).
Dans un premier temps, cela pourra sembler très évident pour tout le monde mais il faut bien commencer par quelque chose !
À compléter bien sûr....
Il existe trois types de fil :
_ Le monobrin.
_ Le multi brins.
_ Le fil de Litz.
Pour le monobrin, pas besoin d'explication, tout est dans le " titre ".
Le multi brins, lui, consiste en une torsade de plusieurs monobrins sans aucun isolant.
Le Litz est aussi un multi brins mais dont chaque brin est recouvert d'un matériaux isolant.
Mine de rien, déjà là ça se complique car on peut partir du principe que plusieurs monobrins individuellement téflonné et torsadés ensemble constitue donc bien un litz dans l'aspect technique.
Mais pas un Litz émaillé, comme c'est souvent le cas, mais un Litz " téflonné ".
A partir du moment où le cable n'est pas constitué d'un seul et unique brin par pôle, on est forcément sur un Litz ou un multi brins, peut importe la mise en œuvre.
Jusque là pas de problème.
Ça se complique lorsqu'il faut commencer à décrire les " caractéristiques " propre à chaque type de fil.
Voilà ma vision des choses :
Juste un début, on aborde seulement le truc.
Le mono brin est l'approche la plus simpliste.
Non pas qu'elle ne peut pas être très performante, mais dans l'aspect " technique ".
On règle l'équilibre en jouant sur le diamètre du fil et la nature du matériaux.
En poussant sur de nombreux paramètres tel que la pureté, l'isolant, des traitements supplémentaires tel que la cryo etc..., on peut emmener les choses très loin.
A diamètre équivalent, le multi brins augmente la surface de peau, donc améliore la définition.
Encore une fois, on règle la partie du spectre sur laquelle on veut apporter de la définition avec les diamètres et le nombre des brins qui le constituent, tout en gardant sensiblement le même équilibre général qui est plus en rapport avec le diamètre total et la matière ( comme le mono brin ).
Exemple : un multi brins de 2 fils de 0.5 mm ( 0.4 mm carré ) ne poussera pas la définition dans la même zone du spectre qu'un 8 fils de 0.25, ou qu'un 50 fils de 0.1 mm.
Enfin le Litz, lui, sélectionne vraiment la zone que l'on veut traiter et s'y maintient.
N'attendez pas par exemple de grave ou même de matière avec un Litz très très fin.
Cela ne fera que de l'aigu.
Un bel aigu par contre, ciselé, fin et défini etc....
À compléter....
Ensuite, dans un deuxième temps et dans la continuité de ce " premier chapitre ", on pourrait aborder la matière des fils, par exemple.
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