03-12-2020, 10:18 AM
(Modification du message : 03-12-2020, 10:40 AM par Musicalbox.)
Je n’ai pas encore eu l’occasion de rencontrer une correction informatique qui ne sonne pas un tant soit peu artificielle.
Et cela reste à mes oreilles l’inconvénient auquel on ne peut rien.
En découverte instantanée il y a une sensation d’équilibre et de perfection attrayante, au fil du temps quelque chose gêne.....
Plus l’âge me rattrape, plus je constate qu’il est difficile d’obtenir du NATUREL dans la restitution haute fidélité.
Plus je me rends compte aussi que nous sommes très loin d’en avoir tous la meme définition !!
Cela fait des années que l’on me reproche un système qui n’a pas assez de basses, cependant que pour moi la contrebasse y a des proportions véridiques ; que l’on préfère qu’elle fasse deux mètres de large ne me convient pas.
Que l’on force un système pour qu’il ait l’air de pouvoir restituer de grandes orgues ne me convient pas : je préfère que l’on avoue...qu’on ne peut pas les faire entrer dans son salon, et m’en tenir à des timbres réalistes plutôt que virer à la gonflette spectaculaire.
Par exemple.....
Le naturel est donc dans la juste restitution des timbres, il est aussi la RESPIRATION, une composante indescriptible qui est là ou pas.
Le naturel est aussi l’aspect VIVANT de la musique, du jeu des instruments, une spontanéité difficile à ne pas écraser.
On peut les tuer très facilement l’un et l’autre déjà à coup de correction passive !
(Ce pourquoi de deux maux pour choisir le moindre je préfère toujours une pièce un peu réverbérante que trop étouffée, le juste équilibre étant dans une pièce de vie une gageure.....)
Alors à coup de tronçonnage de fréquences......
La convolution est un mal nécessaire dans certains contextes, dire qu’elle laisse l’expression indemne serait se voiler la face.
Un système est d’ABORD des matériels, et de ce point de vue si rares et précieux sont ceux qui ne détruisent ni n’altèrent la justesse, l’essence et l’âme.
Avant d’aborder le couplage à la pièce si cette étape est ratée rien ne rattrapera les déviations et manques.
ENSUITE, lorsqu’on est parvenu à un système qui en lui-même donne un maximum en altérant un minimum, vient le couplage avec la pièce, et la lutte contre la destruction acoustique .....
Rien n’est parfait.
Et il est si difficile d’en parler car chacun suit ses goûts et envies, qui n’ont le plus souvent qu’une relation assez lointaine avec la vérité du son live.....
Et cela reste à mes oreilles l’inconvénient auquel on ne peut rien.
En découverte instantanée il y a une sensation d’équilibre et de perfection attrayante, au fil du temps quelque chose gêne.....
Plus l’âge me rattrape, plus je constate qu’il est difficile d’obtenir du NATUREL dans la restitution haute fidélité.
Plus je me rends compte aussi que nous sommes très loin d’en avoir tous la meme définition !!
Cela fait des années que l’on me reproche un système qui n’a pas assez de basses, cependant que pour moi la contrebasse y a des proportions véridiques ; que l’on préfère qu’elle fasse deux mètres de large ne me convient pas.
Que l’on force un système pour qu’il ait l’air de pouvoir restituer de grandes orgues ne me convient pas : je préfère que l’on avoue...qu’on ne peut pas les faire entrer dans son salon, et m’en tenir à des timbres réalistes plutôt que virer à la gonflette spectaculaire.
Par exemple.....
Le naturel est donc dans la juste restitution des timbres, il est aussi la RESPIRATION, une composante indescriptible qui est là ou pas.
Le naturel est aussi l’aspect VIVANT de la musique, du jeu des instruments, une spontanéité difficile à ne pas écraser.
On peut les tuer très facilement l’un et l’autre déjà à coup de correction passive !
(Ce pourquoi de deux maux pour choisir le moindre je préfère toujours une pièce un peu réverbérante que trop étouffée, le juste équilibre étant dans une pièce de vie une gageure.....)
Alors à coup de tronçonnage de fréquences......
La convolution est un mal nécessaire dans certains contextes, dire qu’elle laisse l’expression indemne serait se voiler la face.
Un système est d’ABORD des matériels, et de ce point de vue si rares et précieux sont ceux qui ne détruisent ni n’altèrent la justesse, l’essence et l’âme.
Avant d’aborder le couplage à la pièce si cette étape est ratée rien ne rattrapera les déviations et manques.
ENSUITE, lorsqu’on est parvenu à un système qui en lui-même donne un maximum en altérant un minimum, vient le couplage avec la pièce, et la lutte contre la destruction acoustique .....

Rien n’est parfait.
Et il est si difficile d’en parler car chacun suit ses goûts et envies, qui n’ont le plus souvent qu’une relation assez lointaine avec la vérité du son live.....