07-27-2016, 04:10 PM
Je voudrais apporter au débat sur "la compression et ses méfaits", quelques informations qui me paraissent pertinentes, et que je vous soumets:
1 La conclusion quasi unique de l'étude mise en PJ par Raphaël parait etre centrée quesi exclusivement sur l'interet de "l'autoproduction" ,opposée à la production de musique par les grandes firmes, les "majors".Une sorte de plaidoyer en faveur de l'individu contre la force de l'industrie. La "compression" n'apparait plus, en lisant cette conclusion, que comme un prétexte pour en arriver à cette conclusion, dont j'ai l'impression qu'elle revêt un caractère assez idéologique.
2 Le développement surprenant et imprévu des ventes de LP's,qui restent marginales mais augmentent néammoins nettement, alors que les ventes de CD's ne cessent de baisser, est à confronter avec le fait que le taux de compression des gravures LP est nettement SUPERIEUR(!) à celui appliqué dans la fabrication de CD's.(du fait quela dynamique des LP est très très inférieure à celle du 44,1/16bits qui est théoriquement de 96dB).Il semble donc que les audiophiles, premiers concernés par ce "retour en grace", ne perçoivent pas d'inconvénient majeur à une dynamique plus faible, face à d'autres avantages procurés par les LP's.
3 Ré-écoutez le CD d'Elton John 'goodbye yellow brick road', le morceau 'Funerals for a friend'. Ce morceau n'est pas compressé ou en tout cas faiblement. Il n'en est pas moins quasiment INECOUTABLE car la dynamique est tellement grande que si on règle pour entendre les fortés à niveau admissible pour les oreilles, eh bien on n'entend plus du tout les minimums de volume.
De cette expérience, on peut retirer que la compression peut être utile si elle est utilisée avec discernement.
Il me semble que la compression bien utilisée permet de remédier à certains défauts, mais, comme toujours,elle doit etre employée avec discernement lors de la phase de mastering.
1 La conclusion quasi unique de l'étude mise en PJ par Raphaël parait etre centrée quesi exclusivement sur l'interet de "l'autoproduction" ,opposée à la production de musique par les grandes firmes, les "majors".Une sorte de plaidoyer en faveur de l'individu contre la force de l'industrie. La "compression" n'apparait plus, en lisant cette conclusion, que comme un prétexte pour en arriver à cette conclusion, dont j'ai l'impression qu'elle revêt un caractère assez idéologique.
2 Le développement surprenant et imprévu des ventes de LP's,qui restent marginales mais augmentent néammoins nettement, alors que les ventes de CD's ne cessent de baisser, est à confronter avec le fait que le taux de compression des gravures LP est nettement SUPERIEUR(!) à celui appliqué dans la fabrication de CD's.(du fait quela dynamique des LP est très très inférieure à celle du 44,1/16bits qui est théoriquement de 96dB).Il semble donc que les audiophiles, premiers concernés par ce "retour en grace", ne perçoivent pas d'inconvénient majeur à une dynamique plus faible, face à d'autres avantages procurés par les LP's.
3 Ré-écoutez le CD d'Elton John 'goodbye yellow brick road', le morceau 'Funerals for a friend'. Ce morceau n'est pas compressé ou en tout cas faiblement. Il n'en est pas moins quasiment INECOUTABLE car la dynamique est tellement grande que si on règle pour entendre les fortés à niveau admissible pour les oreilles, eh bien on n'entend plus du tout les minimums de volume.
De cette expérience, on peut retirer que la compression peut être utile si elle est utilisée avec discernement.
Il me semble que la compression bien utilisée permet de remédier à certains défauts, mais, comme toujours,elle doit etre employée avec discernement lors de la phase de mastering.