02-04-2020, 07:15 PM
Johannes Ockeghem, « Missa prolationum » par Ensemble Musical Nova (Lucien Kandel), chez Agogique, pour la séparation des voix. Redoutable.
Rameau/Couperin par Clément Lefebvre, piano (Evidence) pour l’évidence que manifestent et la prise de son et l’interprétation du pianiste.
Stravinsky « Le Sacre du printemps » par Pierre Boulez (Sony) pour la dynamique, la sauvagerie et le fourmillement sonore. Redoutable.
Stockhausen « Aus den sieben Tagen », dir. Diego Masson (Harmonia Mundi) pour à la fois la diversité et la proximité des timbres. Redoutable.
« Bach Private » (Alpha) pour le respect des registres vocaux.
Bartok Sonate pour deux violons, György Pauk et Kazuki Sawa (Naxos), pour la séparation de timbres (très) proches. Redoutable.
Part Darf Ich…, Mullova-Jarvi (le nom du label m’échappe) pour la spatialisation « géométrique » et la beauté inouïe du son de Mullova.
Rameau/Couperin par Clément Lefebvre, piano (Evidence) pour l’évidence que manifestent et la prise de son et l’interprétation du pianiste.
Stravinsky « Le Sacre du printemps » par Pierre Boulez (Sony) pour la dynamique, la sauvagerie et le fourmillement sonore. Redoutable.
Stockhausen « Aus den sieben Tagen », dir. Diego Masson (Harmonia Mundi) pour à la fois la diversité et la proximité des timbres. Redoutable.
« Bach Private » (Alpha) pour le respect des registres vocaux.
Bartok Sonate pour deux violons, György Pauk et Kazuki Sawa (Naxos), pour la séparation de timbres (très) proches. Redoutable.
Part Darf Ich…, Mullova-Jarvi (le nom du label m’échappe) pour la spatialisation « géométrique » et la beauté inouïe du son de Mullova.