Contrairement à ce que certains supputent ici, soyez assurés que les flacs Qobuz streamés et téléchargés sont identiques. Qobuz s'interdit ces tripatouillages. Alors, si chez vous, même avec du matériel haut de gamme, le streaming est de moindre qualité qu'en local, c'est qu'il y a un pb de mise en œuvre.
Tout d'abord, il faut vérifier que la décompression s'effectue en amont du streamer. En effet, même si l'opération de décompression n'utilise qu'un tout petit pourcentage de CPu, cela représente un grand nombre d'opérations par seconde, que l'on dispose d'un modeste Celeron ou d'un Quad Core bi-processeur n'y change pas grand chose. Il y aura du bruit électronique et du jitter à proportion de ces opérations dans l'absolu et non pas relativement à la puissance de calcul dont on dispose.
Ensuite, il convient là aussi de vérifier les alimentations et le câblage. On trouve naturel de mettre une SP500 ou une JS2 sur un streamer, c'est moins vrai pour un routeur ou un switch. En outre, en dehors de ce nouveau concept de switch audiophile, on n'a pas l'équivalent en routeur ou box internet. Il faut donc contourner ce pb. Aujourd'hui, on dispose de switchs audiophiles là où, auparavant on utilisait réseau optique, filtres ou transfos Ethernet, cascade de D-link...
Bref, en dehors de la médiocrité du matériel réseau de base, il n'y a aucune raison d'avoir une moindre qualité en streaming Internet plutôt qu'en local
Tout d'abord, il faut vérifier que la décompression s'effectue en amont du streamer. En effet, même si l'opération de décompression n'utilise qu'un tout petit pourcentage de CPu, cela représente un grand nombre d'opérations par seconde, que l'on dispose d'un modeste Celeron ou d'un Quad Core bi-processeur n'y change pas grand chose. Il y aura du bruit électronique et du jitter à proportion de ces opérations dans l'absolu et non pas relativement à la puissance de calcul dont on dispose.
Ensuite, il convient là aussi de vérifier les alimentations et le câblage. On trouve naturel de mettre une SP500 ou une JS2 sur un streamer, c'est moins vrai pour un routeur ou un switch. En outre, en dehors de ce nouveau concept de switch audiophile, on n'a pas l'équivalent en routeur ou box internet. Il faut donc contourner ce pb. Aujourd'hui, on dispose de switchs audiophiles là où, auparavant on utilisait réseau optique, filtres ou transfos Ethernet, cascade de D-link...
Bref, en dehors de la médiocrité du matériel réseau de base, il n'y a aucune raison d'avoir une moindre qualité en streaming Internet plutôt qu'en local
Pluie du matin n'arrête pas le sous-marin