07-24-2019, 12:11 PM
Des composants qui dans un usage autre se valent
en audio laissent chacun leur signature.
C’est ce que l’électronique d’autres domaines si pointue soit-elle refuse de considérer.
Mais on est habitué à cette réaction.
Alors étant donné qu’aucun composant n’est neutre en usage audio,
quel que soit l’élément du système,
on imagine assez bien à quel point il est pertinent de régler cet assemblage de sorte qu’il ait toutes les qualités requises sans les défauts.
On serait tenté de se dire alors mettons ce qu’il y a de plus basique de sorte à ne pas colorer......
Mais....
ce n’est pas si simple car une bonne électronique doit travailler sur
- la bande passante / rapidité
- l’aération des plans, distinction des plans,
- scène sonore, placement dans la scène
Il y a TOUT CELA à s’occuper avant d’en arriver à gérer timbres et harmoniques...
Si une construction basique était capable de gérer ces points là qui font la majeure partie des différences de performances (bien que les gens se focalisent sur la couleur, parce que c’est gros comme le nez au milieu de la figure), on ne se casserait pas la tête à une composition élaborée.
Avant d'assister à la fabrication de matériels audio je ne m’imaginais pas cela, c’est en suivant les travaux que j’ai vu.
Les horloges, le jitter, c’est une chose.
Effectivement il faut que cela fonctionne pour ne pas altérer .
Mais
ce n’est que la base !!
Ensuite il y a tout le travail de composition d'ingrédients pour régler
...tout le reste !!
La sonorité, la spatialisation....
Pour les amplis, les câbles, les DAC, on a toujours eu le discours de l’électronicien qui disait « foutaises, ça n’existe pas », ou bien « le HDG met des colorations pour se distinguer ».
..... quand on sait le mal qu’il faut se donner pour parvenir à ouvrir grand côté espace, cohérence de la scène (eh oui, suivant le travail fait il y a des instruments qui sont à leur place ou pas......) , distinction et définition, déploiement des harmoniques,
et en même temps ne pas ajouter de coloration, c’est justement là le plus difficile : le naturel !
Naturel ne veut pas dire pas de travail juste du basique qui ne colore pas, ça c’est juste plat !
Naturel c’est la matière palpable, transparence autour, et la sensation d’y être !
Enfin la musique quoi.
S’il s’agissait de faire un matériel à éplucher les carottes ou même un outil super high-tech de la NASA il n’y aurait que la dimension chiffrée, la base de la technologie.
L’ennui est que par dessus on doit gérer le fait que c’est de l’audio !
Cela dit c’est quand même un peu le but.....
Alors oui, l’ESS n’a pas le même son que l’AK ou autre.
En ce moment c’est l’ESS, je suis d'accord chaque époque sa puce.
J’en ai eu, essayé ou écouté plusieurs, PCM 1704, PCM 63, AK , ESS, Ultra Analog 20400, il y a bien une typologie, ce n’est pas identique.
La « tendance » assez récente a été au découpage au scalpel ultra défini, puis maintenant c’est technologie R2R, oui je suis d’accord chaque époque essaie de changer de cap pour relancer le marché, c’est vrai !
Et alors ?
Ce n’est pas une raison pour suivre comme un mouton et ne pas faire son propre choix.
L’alimentation : un DAC consomme peu.
On n’a pas dit qu’il a besoin de puissance.
En revanche il a besoin de capacité, comme le reste, comme même un PC.
Oui, je suis d’accord, les propos de marketing qui font la course à celui qui impressionnera le plus ne sont d’aucune utilité pour savoir comment un DAC va faire son travail.
Très vite en essayant des matériels différents on s’apercoit que le DAC est un pivot crucial du système.
Le prix ? Il suffit d’acheter d'occasion .
C’est ce que j’ai fait d’ailleurs.
Ce que je décris là, ne tronçonnez pas le propos pour le détourner.
en audio laissent chacun leur signature.
C’est ce que l’électronique d’autres domaines si pointue soit-elle refuse de considérer.
Mais on est habitué à cette réaction.
Alors étant donné qu’aucun composant n’est neutre en usage audio,
quel que soit l’élément du système,
on imagine assez bien à quel point il est pertinent de régler cet assemblage de sorte qu’il ait toutes les qualités requises sans les défauts.
On serait tenté de se dire alors mettons ce qu’il y a de plus basique de sorte à ne pas colorer......
Mais....
ce n’est pas si simple car une bonne électronique doit travailler sur
- la bande passante / rapidité
- l’aération des plans, distinction des plans,
- scène sonore, placement dans la scène
Il y a TOUT CELA à s’occuper avant d’en arriver à gérer timbres et harmoniques...
Si une construction basique était capable de gérer ces points là qui font la majeure partie des différences de performances (bien que les gens se focalisent sur la couleur, parce que c’est gros comme le nez au milieu de la figure), on ne se casserait pas la tête à une composition élaborée.
Avant d'assister à la fabrication de matériels audio je ne m’imaginais pas cela, c’est en suivant les travaux que j’ai vu.
Les horloges, le jitter, c’est une chose.
Effectivement il faut que cela fonctionne pour ne pas altérer .
Mais
ce n’est que la base !!
Ensuite il y a tout le travail de composition d'ingrédients pour régler
...tout le reste !!
La sonorité, la spatialisation....
Pour les amplis, les câbles, les DAC, on a toujours eu le discours de l’électronicien qui disait « foutaises, ça n’existe pas », ou bien « le HDG met des colorations pour se distinguer ».

..... quand on sait le mal qu’il faut se donner pour parvenir à ouvrir grand côté espace, cohérence de la scène (eh oui, suivant le travail fait il y a des instruments qui sont à leur place ou pas......) , distinction et définition, déploiement des harmoniques,
et en même temps ne pas ajouter de coloration, c’est justement là le plus difficile : le naturel !
Naturel ne veut pas dire pas de travail juste du basique qui ne colore pas, ça c’est juste plat !
Naturel c’est la matière palpable, transparence autour, et la sensation d’y être !
Enfin la musique quoi.
S’il s’agissait de faire un matériel à éplucher les carottes ou même un outil super high-tech de la NASA il n’y aurait que la dimension chiffrée, la base de la technologie.
L’ennui est que par dessus on doit gérer le fait que c’est de l’audio !
Cela dit c’est quand même un peu le but.....
Alors oui, l’ESS n’a pas le même son que l’AK ou autre.
En ce moment c’est l’ESS, je suis d'accord chaque époque sa puce.
J’en ai eu, essayé ou écouté plusieurs, PCM 1704, PCM 63, AK , ESS, Ultra Analog 20400, il y a bien une typologie, ce n’est pas identique.
La « tendance » assez récente a été au découpage au scalpel ultra défini, puis maintenant c’est technologie R2R, oui je suis d’accord chaque époque essaie de changer de cap pour relancer le marché, c’est vrai !
Et alors ?
Ce n’est pas une raison pour suivre comme un mouton et ne pas faire son propre choix.
L’alimentation : un DAC consomme peu.
On n’a pas dit qu’il a besoin de puissance.
En revanche il a besoin de capacité, comme le reste, comme même un PC.
Oui, je suis d’accord, les propos de marketing qui font la course à celui qui impressionnera le plus ne sont d’aucune utilité pour savoir comment un DAC va faire son travail.
Très vite en essayant des matériels différents on s’apercoit que le DAC est un pivot crucial du système.
Le prix ? Il suffit d’acheter d'occasion .
C’est ce que j’ai fait d’ailleurs.
Ce que je décris là, ne tronçonnez pas le propos pour le détourner.
