03-10-2019, 10:44 PM
(Modification du message : 03-10-2019, 11:10 PM par orfeo_monteverdi.)
Bonsoir,
Je retrouve ce fil, qui mérite un update, par politesse, d'une part, le choix étant fait. Par manque de temps, d'autre part, je reprends ci-dessous ce que j'avais posté, ailleurs pour ne pas tout récrire.
Enfin, je pointe ici mon post (en anglais) sur Looking for Preamp, fait sur WhatsBestForum en réponse à une demande de suggestions (voir 2 ou 3 posts sous le début de la page).
Pour commencer, je n'aime ni les tubes, ni les appareils à flancs arrondis, ni les trucs trop gros et trop lourds.
Alors pourquoi ai-je choisi un préamplificateur à tubes (triode SET à zéro contre-réaction), à flancs arrondis, de 33Kg (vais devoir renforcer mon meuble) et vraiment gros (va falloir que j'avance le meuble), et qui me fait perdre l'entrée phono puisqu'il n'en a pas? Bref, pourquoi avoir choisi un "festival d'emmerdes", qui plus est à 60% au-délà de mon budget initial ?
Vous vous doutez qu'il y a à cela juste une ou deux petites, toutes petites raisons...
Tout d'abord il était le pré le plus abordable de la gamme, utilisé (presque comme bottleneck?) dans un système hors-norme, stratosphérique. Transparence inouïe, timbres sublimes, matière rare, un système qui chante avec une liberté totale, subjugante, qui laisse sans voix. Comme je n'en ai jamais entendu. Donc s'il en était le bottleneck, il ne devait pas étrangler grand chose.
Ensuite, c'est le seul modèle 45cm de la marque, donc logeable dans un meuble "normal" (mais à renforcer dans mon cas...).
j'ai eu l'occasion de le comparer sur mon système à mon pré YBA 1 "de la grande époque", 20 ans plus tard encore une sacrée référence.
Donc j'y croyais pas trop, je testais par curiosité, benoîtement.
Glurps...
Mon YBA 1 s'est fait bouffer tout cru, avalé comme du micro-plancton par cette baleine. N'ai pas voulu y croire.
Pour situer: l'YBA 2 (alimentation séparée déjà), modèle intermédiaire, en-dessous du mien, est resté des années en catégorie A dans Stereophile, et tient encore la dragée haute à certains préamplis américains haut de gamme de 2018. Le pré YBA 1, lui, était le plus haut de gamme. Alimentation séparée aussi, évidemment.
Le gain apporté par la nouvelle acquisition?
De la matière, de la matière, des timbres, des TIMBRES comme jamais sur mon système! Beaucoup plus de matière. Et de dynamique !! (comme toujours avec tout tube, il est vrai). Mais contrairement aux tubes en général: une sonorité très live, très concert, très droite, pas de mielleux, de fausse chaleur, de rondeur. C'est rapide, tendu, vivant, très transparent, très dynamique, ET très matériel, incarné, fluide et naturel. Un alliage rare des contraires.
Image stéréo également plus précise, et surtout beaucoup plus large, débordant les haut-parleurs en largeur. Relief remarquable, bien meilleur étagement des plans. Et, chose impensable, même plus transparent que l'YBA 1...
Et, même en triode zéro contre-réaction, tient l'extrême-grave...
ET, même en triode zéro contre-réaction, un silence... abyssal.
Mais il y a encore bien pire: cette baleine a avalé par 2 fois un préampli YBA Signature 4 châssis (de la "grande époque"), l'un à Chypre, l'autre en Écosse. Les propriétaires ont mis en vente leur YBA Signature. L'un d'eux a même mis en vente tout l'ensemble, préampli ET ampli YBA Signature aussi (70W ?), pour aller vers l'ampli intégré de la marque (25W)...
Quelle espèce de baleine?
Un Aries Cerat. Modèle Incito.
Marque jeune (9 ans d'âge), apparemment déjà extrêmement appréciée dans certains cercles très élitistes. La demande augmente fortement. 4 mois de délai pour un Incito, peut-être 6 maintenant.
Font du tube triode à zéro contre-réaction, pas même dans l'alimentation, qui mesurent presque comme des amplis à transistors. Deux étages, sans la moindre capacité de couplage entre les 2. Plusieurs schémas et sous-sytèmes novateurs brevetables, connais pas les détails (et m'en fiche).
Ce qui m'a rassuré avec les tubes: sur ce modèle, des milliers d'heures de fonctionnement. Au rythme actuel, remplacement dans 5 ans, €150 pour un set de tubes triés, pairés et vendus par le constructeur. Soit rassurance totale et peanuts/an.
Bref, je rentre, j'allume, laisse tourner toute la soirée, et éteint avant d'alle rme coucher. Zéro prise de tête.
Qualitativement, mazette. Quelle claque... Surtout p/r aux préjugés hyper-négatifs que j'avais.
Je me rapelle encore la 1ère fois que je les ai vus, au salon NM: des appareils à tubes (pouah !), gros comme des porte-avions (beurk !), made in Chypre (hi hi !). Je rigolais intérieurement: "des tubes made in Cyprus? Et pourquoi pas des accélérateurs à bouse de vache liquide ionisée made in îles Kerguelen, tant qu'on y est?"...
J'ai dû me documenter un peu pour comprendre, rétrospectivement, après le choc.
Alors peu à peu, ça s'éclaire: philosophie the best or nothing, no compromise (at all). Câblage en l'air. Fabriqué à la main. Ont même osé pondre un intégré (modèle Diana) de 25W de...115Kg (qui a d'ailleurs fait pousser des hurlements dithyrambiques à Haute-Fidélité).
Mais qui est le type derrière? D'où sort-il? J'ai voulu savoir. Stavros Danos, un ingénieur aéronautique chypriote grec, diplômé de l'Université technique de je-ne-sais-plus-quelle-ville, en Grèce. A travaillé sur les systèmes Dassault. Puis a décidé de fonder à Chypre sa propre marque car ne trouvait rien sur le marché qui satisfaisait son... niveau d'exigence. Fabriquent aussi une enceinte à pavillon massif à zéro diffraction (50Kg le pavillon seul), grosse, pas très belle et chère; comme une cantatrice un peu épaisse, mais la voix du siècle, si vous voyez ce que je veux dire... J'ai "vite" compris qu'ils n'étaient pas là pour rigoler.
L'Incito est le plus petit modèle (45cm). prix: €8000. Le distributeur a fortement insisté pour que je le compare à un Audio Research Ref 5, 5se ou 6. Ça n'a pas été possible. D'autres l'ont comparé à des références.
L'incito existe aussi en version "de course", avec alimentation séparée, autre sélecteur, et qques autres différences, mais même schéma et tubes: c'est l'Incito S. Jamais écouté. Plus transparent, et plus je-ne-sais-pas-bien-quoi. Sensiblement plus cher aussi, donc pas envisageable (car si dépasser même de 60% son budget pour la musique est la sagesse même, l'exploser flirte tout de même avec le déraisonnable).
J'avoue que les exploits de l'Incito S (€14.000) m'ont quand même été un point de repère, faute de comparaison directe entre les 2 versions.
Cette version Incito S a déjà un certain "track record":
- testé à Lille chez un ami de Jean Hiraga, en sa présence et sur ses enceintes pavillon (qui crèchent là, faute de place chez lui). L'ami est collectionneur et possède énormément d'appareils. L'ont comparé à beaucoup de références. L'ami a choisi l'Incito S. Jean Hiraga en a dit (du résultat final, avec ses pavillons): "c'est fantastique."
- testé en Asie, en comparaison avec le préampli Audio Note M10 Signature (US$137,280). Je me souviens bien qu'il y a qques mois, l'auteur écrivait que l'Incito S lui apportait "presque autant de plaisir que l'Audio Note; juste un tout, tout petit peu moins". En relisant l'article ce soir, je m'aperçois que ces lignes ont disparu !!. L'article a été/dû être édité, c'est absolument certain ! On ne gêne sans doute pas Audio Note...
- j'en passe...
Bref, le sentiment d'être en présence d'un jeune constructeur qui arrive à délivrer une qualité rarissime qui l'inscrit d'emblée dans le über-stratosphérique, au-dessus du THG encore, mais beaucoup moins cher (jusqu'à 5 à 8 fois*) que les quelques dieux-de-la-hifi qui vivent dans cette empyrée. En tout cas, qui propose un 1er prix sous châssis 45cm, certes déjà très élevé, mais pas inaccessible moyennant quelque effort.
*Pour les modèles les moins chers.
Alors comment cette divine acquisition, le modèle de base Incito, se compare-t-il à la version Incito S?
Et bien je n'en sais rien. "La version S est plus transparente, mais la version de base donne déjà beaucoup de timbres", m'est-il dit. Ah, oui, ça c'est bien le moins qu'on puisse dire ! Et je constate que l'Incito donne aussi même (un peu) plus de transparence que mon pré YBA 1, ce qui n'est pas peu dire.
J'ai donc choisi de me contenter (hem!) de la version Incito de base. Puisque de toute évidence, le bottleneck dans mon système, maintenant transfiguré, est désormais tout le reste... Je n'atteins chez moi pas le tiers du quart de ce que j'ai entendu de l'Incito dans le système stratosphérique évoqué plus haut, dans une pièce acoustiquement traitée il est vrai. Mais le gain monumental pourtant apporté dans mon "modeste" système justifie amplement le dépassement de budget (Incito de base). Mais pas son explosification (Incito S), restons raisonnable.
Étonnant aussi de voir comme en "laissant tomber" cet appareil dans mon système, sans la moindre mise en oeuvre, avec les fiches de mes câbles cinch qui font un mauvais contact (je dois les bloquer avec un livre - oui, je sais, c'est risible et scandaleux), de voir comme le résultat est immédiatement "écrasant".
Un pur nectar dont je me délecte chaque jour.
Maintenant, va falloir travailler à déserrer les nouveaux bottleneck (càd...tout le reste ! - Aaaaaaaargh !!)
(par ailleurs et pour info, Je ne semble pas être le seul à être tombé raide mort à l'écoute des pavillons à zéro diffraction, les Aries Cerat Symphonia: encore un pour qui il a fallu sortir les défibrillateurs...).
Musicalement.
Orfeo.
Je retrouve ce fil, qui mérite un update, par politesse, d'une part, le choix étant fait. Par manque de temps, d'autre part, je reprends ci-dessous ce que j'avais posté, ailleurs pour ne pas tout récrire.
Enfin, je pointe ici mon post (en anglais) sur Looking for Preamp, fait sur WhatsBestForum en réponse à une demande de suggestions (voir 2 ou 3 posts sous le début de la page).
Pour commencer, je n'aime ni les tubes, ni les appareils à flancs arrondis, ni les trucs trop gros et trop lourds.
Alors pourquoi ai-je choisi un préamplificateur à tubes (triode SET à zéro contre-réaction), à flancs arrondis, de 33Kg (vais devoir renforcer mon meuble) et vraiment gros (va falloir que j'avance le meuble), et qui me fait perdre l'entrée phono puisqu'il n'en a pas? Bref, pourquoi avoir choisi un "festival d'emmerdes", qui plus est à 60% au-délà de mon budget initial ?
Vous vous doutez qu'il y a à cela juste une ou deux petites, toutes petites raisons...
Tout d'abord il était le pré le plus abordable de la gamme, utilisé (presque comme bottleneck?) dans un système hors-norme, stratosphérique. Transparence inouïe, timbres sublimes, matière rare, un système qui chante avec une liberté totale, subjugante, qui laisse sans voix. Comme je n'en ai jamais entendu. Donc s'il en était le bottleneck, il ne devait pas étrangler grand chose.
Ensuite, c'est le seul modèle 45cm de la marque, donc logeable dans un meuble "normal" (mais à renforcer dans mon cas...).
j'ai eu l'occasion de le comparer sur mon système à mon pré YBA 1 "de la grande époque", 20 ans plus tard encore une sacrée référence.
Donc j'y croyais pas trop, je testais par curiosité, benoîtement.
Glurps...
Mon YBA 1 s'est fait bouffer tout cru, avalé comme du micro-plancton par cette baleine. N'ai pas voulu y croire.
Pour situer: l'YBA 2 (alimentation séparée déjà), modèle intermédiaire, en-dessous du mien, est resté des années en catégorie A dans Stereophile, et tient encore la dragée haute à certains préamplis américains haut de gamme de 2018. Le pré YBA 1, lui, était le plus haut de gamme. Alimentation séparée aussi, évidemment.
Le gain apporté par la nouvelle acquisition?
De la matière, de la matière, des timbres, des TIMBRES comme jamais sur mon système! Beaucoup plus de matière. Et de dynamique !! (comme toujours avec tout tube, il est vrai). Mais contrairement aux tubes en général: une sonorité très live, très concert, très droite, pas de mielleux, de fausse chaleur, de rondeur. C'est rapide, tendu, vivant, très transparent, très dynamique, ET très matériel, incarné, fluide et naturel. Un alliage rare des contraires.
Image stéréo également plus précise, et surtout beaucoup plus large, débordant les haut-parleurs en largeur. Relief remarquable, bien meilleur étagement des plans. Et, chose impensable, même plus transparent que l'YBA 1...
Et, même en triode zéro contre-réaction, tient l'extrême-grave...
ET, même en triode zéro contre-réaction, un silence... abyssal.
Mais il y a encore bien pire: cette baleine a avalé par 2 fois un préampli YBA Signature 4 châssis (de la "grande époque"), l'un à Chypre, l'autre en Écosse. Les propriétaires ont mis en vente leur YBA Signature. L'un d'eux a même mis en vente tout l'ensemble, préampli ET ampli YBA Signature aussi (70W ?), pour aller vers l'ampli intégré de la marque (25W)...
Quelle espèce de baleine?
Un Aries Cerat. Modèle Incito.
Marque jeune (9 ans d'âge), apparemment déjà extrêmement appréciée dans certains cercles très élitistes. La demande augmente fortement. 4 mois de délai pour un Incito, peut-être 6 maintenant.
Font du tube triode à zéro contre-réaction, pas même dans l'alimentation, qui mesurent presque comme des amplis à transistors. Deux étages, sans la moindre capacité de couplage entre les 2. Plusieurs schémas et sous-sytèmes novateurs brevetables, connais pas les détails (et m'en fiche).
Ce qui m'a rassuré avec les tubes: sur ce modèle, des milliers d'heures de fonctionnement. Au rythme actuel, remplacement dans 5 ans, €150 pour un set de tubes triés, pairés et vendus par le constructeur. Soit rassurance totale et peanuts/an.
Bref, je rentre, j'allume, laisse tourner toute la soirée, et éteint avant d'alle rme coucher. Zéro prise de tête.
Qualitativement, mazette. Quelle claque... Surtout p/r aux préjugés hyper-négatifs que j'avais.
Je me rapelle encore la 1ère fois que je les ai vus, au salon NM: des appareils à tubes (pouah !), gros comme des porte-avions (beurk !), made in Chypre (hi hi !). Je rigolais intérieurement: "des tubes made in Cyprus? Et pourquoi pas des accélérateurs à bouse de vache liquide ionisée made in îles Kerguelen, tant qu'on y est?"...
J'ai dû me documenter un peu pour comprendre, rétrospectivement, après le choc.
Alors peu à peu, ça s'éclaire: philosophie the best or nothing, no compromise (at all). Câblage en l'air. Fabriqué à la main. Ont même osé pondre un intégré (modèle Diana) de 25W de...115Kg (qui a d'ailleurs fait pousser des hurlements dithyrambiques à Haute-Fidélité).
Mais qui est le type derrière? D'où sort-il? J'ai voulu savoir. Stavros Danos, un ingénieur aéronautique chypriote grec, diplômé de l'Université technique de je-ne-sais-plus-quelle-ville, en Grèce. A travaillé sur les systèmes Dassault. Puis a décidé de fonder à Chypre sa propre marque car ne trouvait rien sur le marché qui satisfaisait son... niveau d'exigence. Fabriquent aussi une enceinte à pavillon massif à zéro diffraction (50Kg le pavillon seul), grosse, pas très belle et chère; comme une cantatrice un peu épaisse, mais la voix du siècle, si vous voyez ce que je veux dire... J'ai "vite" compris qu'ils n'étaient pas là pour rigoler.
L'Incito est le plus petit modèle (45cm). prix: €8000. Le distributeur a fortement insisté pour que je le compare à un Audio Research Ref 5, 5se ou 6. Ça n'a pas été possible. D'autres l'ont comparé à des références.
L'incito existe aussi en version "de course", avec alimentation séparée, autre sélecteur, et qques autres différences, mais même schéma et tubes: c'est l'Incito S. Jamais écouté. Plus transparent, et plus je-ne-sais-pas-bien-quoi. Sensiblement plus cher aussi, donc pas envisageable (car si dépasser même de 60% son budget pour la musique est la sagesse même, l'exploser flirte tout de même avec le déraisonnable).
J'avoue que les exploits de l'Incito S (€14.000) m'ont quand même été un point de repère, faute de comparaison directe entre les 2 versions.
Cette version Incito S a déjà un certain "track record":
- testé à Lille chez un ami de Jean Hiraga, en sa présence et sur ses enceintes pavillon (qui crèchent là, faute de place chez lui). L'ami est collectionneur et possède énormément d'appareils. L'ont comparé à beaucoup de références. L'ami a choisi l'Incito S. Jean Hiraga en a dit (du résultat final, avec ses pavillons): "c'est fantastique."
- testé en Asie, en comparaison avec le préampli Audio Note M10 Signature (US$137,280). Je me souviens bien qu'il y a qques mois, l'auteur écrivait que l'Incito S lui apportait "presque autant de plaisir que l'Audio Note; juste un tout, tout petit peu moins". En relisant l'article ce soir, je m'aperçois que ces lignes ont disparu !!. L'article a été/dû être édité, c'est absolument certain ! On ne gêne sans doute pas Audio Note...
- j'en passe...
Bref, le sentiment d'être en présence d'un jeune constructeur qui arrive à délivrer une qualité rarissime qui l'inscrit d'emblée dans le über-stratosphérique, au-dessus du THG encore, mais beaucoup moins cher (jusqu'à 5 à 8 fois*) que les quelques dieux-de-la-hifi qui vivent dans cette empyrée. En tout cas, qui propose un 1er prix sous châssis 45cm, certes déjà très élevé, mais pas inaccessible moyennant quelque effort.
*Pour les modèles les moins chers.
Alors comment cette divine acquisition, le modèle de base Incito, se compare-t-il à la version Incito S?
Et bien je n'en sais rien. "La version S est plus transparente, mais la version de base donne déjà beaucoup de timbres", m'est-il dit. Ah, oui, ça c'est bien le moins qu'on puisse dire ! Et je constate que l'Incito donne aussi même (un peu) plus de transparence que mon pré YBA 1, ce qui n'est pas peu dire.
J'ai donc choisi de me contenter (hem!) de la version Incito de base. Puisque de toute évidence, le bottleneck dans mon système, maintenant transfiguré, est désormais tout le reste... Je n'atteins chez moi pas le tiers du quart de ce que j'ai entendu de l'Incito dans le système stratosphérique évoqué plus haut, dans une pièce acoustiquement traitée il est vrai. Mais le gain monumental pourtant apporté dans mon "modeste" système justifie amplement le dépassement de budget (Incito de base). Mais pas son explosification (Incito S), restons raisonnable.
Étonnant aussi de voir comme en "laissant tomber" cet appareil dans mon système, sans la moindre mise en oeuvre, avec les fiches de mes câbles cinch qui font un mauvais contact (je dois les bloquer avec un livre - oui, je sais, c'est risible et scandaleux), de voir comme le résultat est immédiatement "écrasant".
Un pur nectar dont je me délecte chaque jour.
Maintenant, va falloir travailler à déserrer les nouveaux bottleneck (càd...tout le reste ! - Aaaaaaaargh !!)
(par ailleurs et pour info, Je ne semble pas être le seul à être tombé raide mort à l'écoute des pavillons à zéro diffraction, les Aries Cerat Symphonia: encore un pour qui il a fallu sortir les défibrillateurs...).
Musicalement.
Orfeo.
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