L'architecture retenue pour le préampli
Le schéma classique en asymétrique est le suivant :
On voit bien que, les masses de deux équipements étant à des potentiels relativement variables, on a un problème de référence : la référence de l'équipement en amont est différente de la référence de l'équipement en aval. Les variations de tensions entre les masses sont directement convertie en parasite audible avec le gain non nul de l'ampli en aval.
L'architecture du futur préampli est celle-ci :
On a maintenant deux circuits bien distincts : un circuit de deux fils pour transmettre le signal en mode différentiel même si un des deux fils est la masse à l'origine. Et un circuit de masse et d'alimentation bien différencié avec là aussi des masses relativement variables. Chaque équipement utilise sa masse locale sans considérer le potentiel de masse de l'autre. Dans ce schéma il n'y a plus de masse gérée par le préampli à l'entrée. Il traite les deux fils en différentiel puis translate la différence en la référençant avec sa masse locale. Il n'y a pas de courant autres que ceux corrélés au signal dans le câble de modulation. Les courants parasites sont échangées entre les alims de chaque équipement car les entrées du préamp sont toutes les deux haute impédance alors que dans le circuit du haut le point froid est basse impédance ce qui fait que tous courants parasites circulent dans le câble de modulation.
Le second fil de masse est soit le fil de terre (commune aux deux équipements) soit, si le 0V de la source n'est pas relié à la terre, un fil ajouté et prenant la masse à la sortie audio de la source...
Le but est de faire ensuite pareil coté ampli pour immuniser toute la chaine (mais là c'est moins critique)...
Jacques
Le schéma classique en asymétrique est le suivant :
On voit bien que, les masses de deux équipements étant à des potentiels relativement variables, on a un problème de référence : la référence de l'équipement en amont est différente de la référence de l'équipement en aval. Les variations de tensions entre les masses sont directement convertie en parasite audible avec le gain non nul de l'ampli en aval.
L'architecture du futur préampli est celle-ci :
On a maintenant deux circuits bien distincts : un circuit de deux fils pour transmettre le signal en mode différentiel même si un des deux fils est la masse à l'origine. Et un circuit de masse et d'alimentation bien différencié avec là aussi des masses relativement variables. Chaque équipement utilise sa masse locale sans considérer le potentiel de masse de l'autre. Dans ce schéma il n'y a plus de masse gérée par le préampli à l'entrée. Il traite les deux fils en différentiel puis translate la différence en la référençant avec sa masse locale. Il n'y a pas de courant autres que ceux corrélés au signal dans le câble de modulation. Les courants parasites sont échangées entre les alims de chaque équipement car les entrées du préamp sont toutes les deux haute impédance alors que dans le circuit du haut le point froid est basse impédance ce qui fait que tous courants parasites circulent dans le câble de modulation.
Le second fil de masse est soit le fil de terre (commune aux deux équipements) soit, si le 0V de la source n'est pas relié à la terre, un fil ajouté et prenant la masse à la sortie audio de la source...
Le but est de faire ensuite pareil coté ampli pour immuniser toute la chaine (mais là c'est moins critique)...
Jacques
contact@reddoaudio.com