11-30-2018, 11:44 PM
(11-30-2018, 01:58 AM)Audiopavillon a écrit :(11-29-2018, 11:36 PM)jalucine a écrit : Claire Diterzi : Riders on the stormDans le genre nostalgique on entend de temps en temps sur les salons Brel / Jojo, Montand à l'Olympia.
Bruno Cocset : Bergamasca
Patricia Ouvrard : Too close for comfort
Sabine Devieilhe : Mozard : Ah, Vous diras-je Maman K265
Virginie Teychené : Septembre
Youn Sun Nah : My favorite Things
Izzy : les filles de Cadix
Nougaro : locomotive d'or
Piaf : milord
Guem et Zaka Percussion : le serpent
Brel : les bonbons
Jean Guillou : gnomus
Raphaël Pichon- Pygmalion : Ständchen
Renaud Garcia Fons : Palermo notturno
Gainsbourg : le poinçonneur des lilas
Michel Portal-Turbulence : Mozambic
Xavier Martin : Toms et grosse caisse/Djembe/Solo de batterie/
Zaza Fournier : Nuits blanches
Berlioz ymphonie fantastique, Karajan
Il y a de quoi faire une démo étourdissante avec ça. Et il y a du 20 hz !
Chez Kelinac il y avait Brel et les bonbons.
Il y a plus discriminant.
Pour le 20Hz Diterzi mais à -10dB facile / max, et Guillou mais à vraiment petite dose.
Un bon 20Hz il y en a un dans les titres que j'ai évoqué dans mon précédent post
Il y'a toujours un bon 30Hz bien démonstratif en réserve.
Je vais dire bien joué pour Youn Sun Nah ... faudra pas me tancer si je place un Madeleine Peyroux ...
@+
Audio Pavillon
Seul dans la liste, le disque de Jean Guillou de la transcription des tableaux d'une exposition comprend du 20 hz, c'est en tout cas l'avis de mon armoire normande au fond de la pièce qui vibre de plaisir sur ce seul enregistrement. Comme mon canapé d'ailleurs. Le morceau de Claire Diterzi est intéressant pour la superposition de sons graves mais légers que le système doit bien différencier. La voix de Brel est bien connue, mais la sortir bien timbrée et équilibrée traduit aussi, plus l'émotion unique, une bonne transition grave-médium. C'est loin d'être toujours le cas. En matière de dynamique sur voix féminine, l'enregistrement de Sabine Devieilhe n'est pas mal. C'est sur ce genre d'enregistrement que l'on constate que les pavillons ont des capacités que les cônes et les dômes n'ont pas. Les filles du Rhin de Raphaël Pichon et Pygmalion est particulièrement discriminant et révélateur d'une musicalité remarquable, ou bien limitée, d'un système. Je me rends compte à postériori que je n'ai pas mis de piano solo, mais il y a un tas de bons enregistrements. Sinon, il y a des belles captations d'un bon panel d'instruments.