05-18-2018, 10:39 PM
Bonsoir,
J'aimerais que ce sujet ne soit pas prétexte à polémiques, avec d'un côté ceux qui pensent qu'il n'y a plus de différences à l'écoute dès que l'on arrive sur des DACs récents à 2/300€, et de l'autre ceux qui défendent corps et âmes que les DACs HDG (ou en tout cas certains d’entre eux) font bien mieux que les autres, mais sans autres arguments.
Comme un certain nombre d'entre nous ici je suppose, je suis avec intérêt les mesures faites par le site Audioscinecreview, et j’avais toujours regretté qu’il y ai surtout des mesures, et peu d’appréciations d’écoutes.
C’est chose faite (entre autres) avec ce test ci
Et les conclusions me laissent un peu dans l’expectative…
Pour ceux qui n’auraient pas envie de lire, il apparait que le Topping D30 est clairement meilleur à la mesure que le Schiit Modi 2, et à l’écoute aussi en l’état actuel des choses.
Mais dès que l’on nivelle le niveau sonore en abaissant un peu le niveau de sortie du topping, ces différences s’effacent, et le Schiit Modi 2 paraitrait presque un peu meilleur…
Alors je sais bien que cela dépend aussi du traitement des entrées (le Schiit rivalise en SPDIF mais pas en USB), mais je me demandais si les mesures telles qu’elles sont faites aujourd’hui permettaient bien de jauger de la qualité sonore d’un DAC ?
Un niveau très bas de SNR par exemple est-il obtenu de façon « naturelle », c’est-à-dire en éliminant le niveau de bruit uniquement, ou peut-il aussi y avoir un « lissage » du signal qui écrêterait certaines fréquences audio, et dans quelles proportions suivant les technologies employées ?
Et quels autres critères qui ne figurent pas forcément dans les mesures (et ne peuvent peut-être pas être mesurés) il serait intéressant de connaitre pour se faire une idée plus juste ?
Je pose cette question parce qu’on peut lire tout et rien sur les DACs comme sur les amplis, mais je reste persuadé qu’il y a des explications derrière tout ça, mais que le marketing ne nous délivre pas forcément de la façon la plus juste…
J'aimerais que ce sujet ne soit pas prétexte à polémiques, avec d'un côté ceux qui pensent qu'il n'y a plus de différences à l'écoute dès que l'on arrive sur des DACs récents à 2/300€, et de l'autre ceux qui défendent corps et âmes que les DACs HDG (ou en tout cas certains d’entre eux) font bien mieux que les autres, mais sans autres arguments.
Comme un certain nombre d'entre nous ici je suppose, je suis avec intérêt les mesures faites par le site Audioscinecreview, et j’avais toujours regretté qu’il y ai surtout des mesures, et peu d’appréciations d’écoutes.
C’est chose faite (entre autres) avec ce test ci
Et les conclusions me laissent un peu dans l’expectative…
Pour ceux qui n’auraient pas envie de lire, il apparait que le Topping D30 est clairement meilleur à la mesure que le Schiit Modi 2, et à l’écoute aussi en l’état actuel des choses.
Mais dès que l’on nivelle le niveau sonore en abaissant un peu le niveau de sortie du topping, ces différences s’effacent, et le Schiit Modi 2 paraitrait presque un peu meilleur…
Alors je sais bien que cela dépend aussi du traitement des entrées (le Schiit rivalise en SPDIF mais pas en USB), mais je me demandais si les mesures telles qu’elles sont faites aujourd’hui permettaient bien de jauger de la qualité sonore d’un DAC ?
Un niveau très bas de SNR par exemple est-il obtenu de façon « naturelle », c’est-à-dire en éliminant le niveau de bruit uniquement, ou peut-il aussi y avoir un « lissage » du signal qui écrêterait certaines fréquences audio, et dans quelles proportions suivant les technologies employées ?
Et quels autres critères qui ne figurent pas forcément dans les mesures (et ne peuvent peut-être pas être mesurés) il serait intéressant de connaitre pour se faire une idée plus juste ?
Je pose cette question parce qu’on peut lire tout et rien sur les DACs comme sur les amplis, mais je reste persuadé qu’il y a des explications derrière tout ça, mais que le marketing ne nous délivre pas forcément de la façon la plus juste…