Le postulat de départ de cet article est que le préampli ne serait qu'un contrôleur de volume.
Outre les sources multiples et l'adaptation d'impédance, l'apport musical d'un préampli actif (en comparaison à un passif) est réel (scène, ouverture, rapidité, etc). Est-ce que cette solution apportera ça aussi ?
Est-ce que finalement l'un doit remplacer l'autre ou ne serait-ce pas plutôt complémentaire ?
Outre les sources multiples et l'adaptation d'impédance, l'apport musical d'un préampli actif (en comparaison à un passif) est réel (scène, ouverture, rapidité, etc). Est-ce que cette solution apportera ça aussi ?
Est-ce que finalement l'un doit remplacer l'autre ou ne serait-ce pas plutôt complémentaire ?
S1 : Teac UD701N > Brinkmann Intégré > PeLéon Caprice
S2 : En construction pour fin 2025 (source démat à définir > Audio Analogue Verdi Cento+ > PeLéon Trilogue+)
A vendre : 3 tubes 6B4G black bottle, 2 paires de 6SN7, tuner Sansui TU-717
S2 : En construction pour fin 2025 (source démat à définir > Audio Analogue Verdi Cento+ > PeLéon Trilogue+)
A vendre : 3 tubes 6B4G black bottle, 2 paires de 6SN7, tuner Sansui TU-717