Il y a un véritable divorce entre le grand public d'une part (qui s'est arrêté à la musique tonale, Stravinski/Richard Strauss pour faire simple), les musiciens stipendiés (atonalisme acharné, avec de grosses nuances, de Stockhausen/Boulez à Messiaen et autres pour les plus libres) et ceux qui refusent l'abandon de l'harmonie classique, et qui se retrouvent dans le minimalisme/musique répétitive (Glass, Reich, Adams, pour les plus connus, et énormément de musiciens de musique électronique que je considère comme les véritables héritiers de notre passé anté-Schönbergien)