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Bonjour à tous,
Citation :J'ai la version Verve "Master Edition" reissue de 1997, malheureusement en CD = Bouh Ouinnn Ouinnnnn ! undefined
J'ai aussi la version CD mais en AAD de chez Verve Polygram Records inc, USA, made in Germany sous label Gema 1986 et cela reste malgré tout ...
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05-10-2023, 10:18 PM
(Modification du message : 05-10-2023, 10:21 PM par Antonin.)
Analogique Linn Sondek Akurate LP12 et Parasound Halo JC3+
Numérique Moon Mind2, Nuprime CDT8 Pro et Audiomat Tempo 2.9
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Casques HifiMan HE1000v2 et Grado SR 325x
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Bonjour Antonin,
Enfin un président à l'honneur !
Il était temps en effet et pour ma part j'ai la réédition de 1983 sous label Aladdin vol 1 et vol 2 par Pathé Marconi/EMI qui possédait à l'époque déjà Blue Note et vu que maintenant tout cela est Universal alors ... Blue Note
Mais malheureusement disparition du Aladdin vol 2 One clock Jump dernier morceau de sa face 1 et de Tea for Two dernier morceau de sa face 2 mais si chance pour toi : all selections previously issued on the Aladdin label except "Tea for Two"
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05-13-2023, 04:09 PM
(Modification du message : 05-13-2023, 04:13 PM par Antonin.)
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Bonjour Antonin
Quand vous achetez sur Discogs vous choisissez quelle catégorie état ? Vous partez sur les Mint ou Vg ?
Ai acheté un Vg+ récemment qui “craque” beaucoup
Un peu déçu.
Gaspard M .
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Personnellement je regarde la note du vendeur, parfois du VG+, d'autres en mint.
C'est comme tout, la loterie
MA 300 7G_GDR-1 Exclusive Edition_DMP-A6_Musician Pegasus
AT LP 120_Thorens MM-08
JM
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Je prends near mint ou mint. Si ça craque (problème courant sur des rééditions récentes), je retourne le disque.
Jadis DA30. Ear 834P. Pro-ject Signature 10 & Phasemation PP200. Node2 + S-Booster + Nuprime Dac 9. Klipsch Forte III
Du vinyle qui craque, des lampes qui colorent et des enceintes de sono
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05-13-2023, 06:44 PM
(Modification du message : 05-13-2023, 09:04 PM par Antonin.)
Salut, je ne prends que du Mint et Near Mint, et je regarde bien le profil des vendeurs. Je n’ai pas été déçu si souvent que ça. Et de toute façon au prix où j’achète les vinyles (entre 10 et 30€), je n’ai pas grand chose à perdre…
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MONTY ALEXANDER - THE MONTREUX YEARS
Plus contemporain.
Excellent album de différents enregistrements live.
Un medley de Bob Marley à Montreux "No Woman No Cry / Stand Up Get Up" pas piqué des hannetons...
Auditorium Stravinski 5th July 1993
Monty Alexander Trio Monty Alexander: Piano
Ira Coleman: Bass
Ed Thigpen: Drums
Justin Shirley-Smith: Sound engineer
Miles Davis Hall 16th July 1995
Monty Alexander's Jamaican Project Monty Alexander: Keyboards / Piano
Ernest Ranglin : Guitar
Robert Thomas Jr. : Hand Drum
Dwight Dawes : Keyboards
Carlton Messam : Bass Rolando Wilson: Drums
Robert Angus : Guitar
Manu Guiot : Sound engineer
Montreux Jazz Club 13th July 2014
Monty Alexander & Harlem Kingston Express
Monty Alexander: Piano
Hassan Shakur: Double bass
Obed Calvaire: Drums Andy Bassford: Guitar
Leon Duncan: Bass
Karl Wright: Drums
Jean Ristori: Sound engineer
Casino Barrière 30th June 2016
Monty Alexander & Harlem Kingston Express
Monty Alexander: Piano
Hassan Shakur: Acoustic bass
Ron Blake: Saxophone
Andy Bassford: Guitar
Leon Duncan: Electric bass
Karl Wright: Drums / Percussion
Jason Brown: Drums
Bertrand Siffert: Sound engineer
A1, B3, D2: Live At Miles Davis Hall 16th July 1995
A2, A3: Live At Casino Barrière 30th June 2016
B1, C1: Live At Montreux Jazz Club 13th July 2014
B2, C2, D1: Live At Auditorium Stravinski 5th July 1993
Un medley de Bob Marley à Montreux "No Woman No Cry / Stand Up Get Up" pas piqué des hannetons...
Petit extrait des commentaires fournis avec l'album (plaisir vinylistique) :
Citation :Né à Kingston, en Jamaïque, en 1944, Monty Alexander, autodidacte et surdoué, a toujours été une éponge musicale. Dès l'enfance, il s'imprégnait des airs folkloriques antillais, du jazz de la Nouvelle-Orléans de Louis Armstrong, du swing orchestral "hors catégorie" de Duke Ellington, des ballades suaves de Nat "King" Cole, de la musique de cow-boy de Roy Rogers et Gene Autry et du mélodrame luxuriant des bandes originales hollywoodiennes. Cette inclination catholique se retrouve dans la sélection des morceaux de ses premiers enregistrements, techniquement acrobatiques, pour la marque Pacific Jazz dans les années 1960, alors même que l'influence d'Oscar Peterson est plus communément observée par les critiques.
L'apport de ses compétences expressives à la musique de genres que des jazzers moins téméraires n'auraient pas volontiers abordés est une caractéristique qui s'élargira encore au fur et à mesure que la carrière d'Alexander s'épanouira, et qui se manifestera à maintes reprises lors de ses divers concerts à Montreux, comme en témoigne cet album de manière si convaincante.
Outre l'éclectisme stylistique, la carrière de Monty s'est également distinguée par des moments de pure sérendipité, dont l'un des plus significatifs s'est produit lorsque le jeune homme de 18 ans faisait ses premières armes dans le monde de la musique.
L'un des plus importants s'est produit alors que le jeune homme de 18 ans se faisait les dents dans les clubs de jazz de Miami, la famille Alexander s'étant installée en Floride en 1961.
Un soir, au début de l'année suivante, Frank Sinatra, accompagné de son ami Ermenegildo "Jilly" Rizzo, restaurateur à ses heures, se trouve dans une boîte de nuit de Miami Beach, où il est censé observer un célèbre imitateur de Sinatra. Le crooner imitateur est vite oublié, car toute l'attention est galvanisée par le jeune pianiste qui fait des ravages dans une petite salle adjacente.
Il s'agit de Monty Alexander. La Providence interviendra à nouveau six mois plus tard, lorsque le même duo tombera à nouveau sur Alexander, cette fois dans un club de Las Vegas, au Nevada.
Quelques jours plus tard, il prenait l'avion pour New York afin d'entamer ce qui allait être une période de quatre ans dans l'établissement éponyme de Rizzo, situé sur la 52e rue. Les portes de la future carrière du jeune prodige s'ouvrent alors. "Ce n'était qu'une succession d'événements merveilleux", confirme Monty, en se remémorant une carrière apparemment propulsée autant par le hasard que par un talent inné. "Je ne nourrissais pas vraiment d'ambitions personnelles ;
Je répondais simplement à ces invitations. C'était comme un rêve.
J'étais adolescente lorsque je suis arrivée à New York et, soudain, je me suis retrouvée entourée de célébrités, de musiciens, de gens d'Hollywood... J'ai joué avec Sinatra. Lorsque Miles Davis m'a entendu au Jilly's, il est venu me voir et m'a dit : "Où as-tu appris à jouer comme ça ? L'instant d'après, il m'a invité à passer du temps chez lui. Cela m'a donné beaucoup de confiance. Bien sûr, j'ai aussi côtoyé des musiciens ordinaires, qui n'étaient là que pour la musique, et non pour la gloire ou la célébrité. J'ai eu la chance d'être influencé par eux".
Déjà un peu vétéran, avec une décennie et demie de concerts et d'enregistrements à son actif au moment de ses débuts à Montreux, pour Alexander, la prestation au festival de 1976 allait néanmoins marquer une étape importante dans sa carrière.
"Montreux, c'était comme aller aux Jeux olympiques. Jusque-là, je me contentais de jouer dans des clubs de jazz un peu partout aux États-Unis. Les gens ne s'intéressaient pas trop à ce que l'on pourrait appeler le contenu intellectuel, ils voulaient juste que la musique swingue. Alors, aller à Montreux, qui était de si bon augure, jouer aux côtés de tous ces musiciens incroyables dans ce lieu magnifique entouré de montagnes, et avec un public aussi intelligent et passionné...
J'étais ravi. En fait, j'ai dû contenir mon ego. C'était très loin de mon éducation à Kingston, en Jamaïque, qui était un tout autre monde".
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