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Robert Hill variations Goldberg
#1
Heart 
salut
Pas nouveau mais mérite l'écoute , l'interprétation talentueuse par Robert Hill des variations Goldberg  bwv 988 , notamment Aria. C'est au claveçin , comme elles ont été conçues par le disciple de Bach à cette époque.
Vous remarquerez la qualité acoustique du claveçin , sonorité bien ronde sans agressivité comme ça pourrait arriver souvent avec cet instrument.
[Image: 0017685485022_300.jpg]
https://www.qobuz.com/fr-fr/album/bach-g...85022#item
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#2
Pour info : La pochette montre plutôt un clavicorde....
Ce n'est pas toi qui aimes la Musique... Mais la Musique qui te fait aimer... Thierry.
Mon contexte : http://www.living-leedh.com/?page_id=528
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#3
J'aime beaucoup cet enregistrement de Hill. La prise de son est en plus très bonne et la sonorité du clavecin est parfaitement transcrite.  C'est assez impressionnant. 

[Image: 7k44BQR.png]
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#4
salut
oui chet c'est bien un clavicorde sur la pochette mais sur l'album on entend bien un claveçin et un subperbe claveçin fabriqué par son frère Keith Hill . les Hill sont des surdoués, c'est l'interprétation d'Aria que je préfère avec une maitrise incroyable des contre-temps. Les autres instruments de Keith Hill valent aussi le détour , il faut écouter sur son site le claveçin cordé en boyaux comme ça se faisait beaucoup à l'époque ( plus maintenant) et on peut se faire une autre idée du claveçin et de ses sonorités réputées grinçantes.
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#5
Hello,
connais pas ce disque, j'y jetterai une oreille.
Perso j'ai le Hantai chez Mirare :
[Image: 51MENvIV9NL.jpg]
Le clavecin et la prise de son ne présentent, également, aucune agressivité ...
Cdlt
Metronome LP2S -> Mastersound DueVenti -> EBM L5c
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#6
je connais aussi, haut niveau d'interprétation aussi, claveçin de sonorité bien différente, écoutes Hill , vraiment, tu te fera une idée.
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#7
Pascal
Je viens de les réécouter , c'est vrai que l'acoustique de l'église dans l'enregistrement de Hantaï est fabuleuse , le parti prix dans la prise de son est différent , on entend bien l'acoustique qui le mérite (je crois que c'est harlem), un peu au détriment du rendu du claveçin , de plus loin donc mais c'est superbe , on rend hommage à un ensemble musique-église-interprète-instrument.
Chez Hill le claveçin est tellement beau avec des aigus presque luth ou théorbe , très doux avec une distinction des harmoniques plus lisible, jamais fouillis, que la prise de son a évité de perdre ces harmoniques en éloignant moins les micros de la source comme si l'auditeur était plus proche du claveçin, on rend moins hommage au lieu d'interprétation et plus au claveçin.
Deux interprétations dans le jeu aussi.
Deux merveilles de toute façon
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#8
(02-05-2018, 12:30 PM)lamouette a écrit : salut
... il faut écouter sur son site le claveçin cordé en boyaux comme ça se faisait beaucoup à l'époque ( plus maintenant) et on peut se faire une autre idée du claveçin et de ses sonorités réputées grinçantes.

Rolleyes Pôv chats !
Ce n'est pas toi qui aimes la Musique... Mais la Musique qui te fait aimer... Thierry.
Mon contexte : http://www.living-leedh.com/?page_id=528
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#9
Heu...Des chats écrasés ..Vous etes certains ?
Si oui avec preuves à l'appui alors veuillez compléter WIKI&chat qui ne parle ici que de cordes métalliques comme j'ai souvent vu et appris
( sauf une fois dans un château par ici en Touraine ,mais pas certain que se fut un clavecin ..
peut être bien une EPINETTE

http://clavecins.fr/boutique/catalog/ind...bdae940337
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Clavecin

Les cordes

Les cordes consistent en un simple fil métallique de faible diamètre et, contrairement à celles du piano, elles ne sont pas « filées ». Elles peuvent être en fer, en laiton, en cuivre ou en bronze, et sont disposées dans le sens de la plus grande longueur, du clavier vers la pointe.
Passage de la corde sur le chevalet

Vers la pointe, chacune d'elles est fixée à une pointe d'accroche située près de l'éclisse courbe. Près du clavier, chacune s'enroule sur une cheville d'accord qui permet de régler finement la tension, donc la hauteur du son émis. Entre ces deux points fixes, chaque corde enjambe deux pièces de bois dur : sillet (fixé sur le sommier), et chevalet, (collé sur la table d'harmonie). Sur le sillet comme sur le chevalet, la corde est guidée par des pointes métalliques qui permettent de fixer précisément sa position. La longueur utile ainsi établie entre pointe de sillet et pointe de chevalet détermine la hauteur du son émis.

À chaque note, correspondent une ou plusieurs cordes, groupées en nappes imbriquées ou superposées au-dessus de la table d'harmonie : l'ensemble des cordes d'une même nappe constitue un « rang » ou « jeu » et peut posséder un sillet et/ou un chevalet particulier. Selon la disposition de l'instrument, les sillets et chevalets peuvent donc être uniques ou multiples.
Il m'arrive rarement d'admettre des choses sans les comprendre totalement .. Idea
Mais cela m'arrive !
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#10
boyaux de chats je ne sais pas mais boyaux je suis sûr , ça a éxisté pour les clavecins et même sûrement majoritairement à une certaine époque bien reculée, ça été progressivement abandonné pour cause de maintenance compliquée .
Il en existe encore et on a des exemples sonores, laissez moi le temps de vous retrouver tout ça. Ceux que je connais sont un mix de cordes métalliques et de boyaux.
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