Miam les écoutes au coin du feu !
La collec' de vinyles fait bas trapp, au poil.
Lorsque tu est dans la un concert, tu perçois la musique depuis ton point d'écoute.
En une seule fois.
Des HP non en phase (c'est audyart qui nous l'expliquait) c'est comme si on était assis au rang 8 pour les basses, les médiums au rang 7 etc.
Et quoiqu'il arrive à un moment où un autre, il y a un micro, puis mixage.
Ça complique tout !
Les notes aiguës sont souvent perçues en haut, le medium plus bas.
Chez Dom le w-end dernier nous avons philosophé autour de la position de la main sur le manche de la contrebasse
Il a une correction acoustique très aboutie, c'est assez bluffant pour positionner les musiciens dans l'espace.
Sur un passage de Summertime de Patrice Barber, le gars à la contrebasse joue des notes qui montent. On peut les suivre "visuellement" car la succession de notes monte de plus en plus haut.
Pris dans l'écoute on a l'impression que la main du musicien monte sur le manche ...
Et bien non, sa main devrait descendre.
Zut on a brisé le rêve
La collec' de vinyles fait bas trapp, au poil.
Lorsque tu est dans la un concert, tu perçois la musique depuis ton point d'écoute.
En une seule fois.
Des HP non en phase (c'est audyart qui nous l'expliquait) c'est comme si on était assis au rang 8 pour les basses, les médiums au rang 7 etc.
Et quoiqu'il arrive à un moment où un autre, il y a un micro, puis mixage.
Ça complique tout !
Les notes aiguës sont souvent perçues en haut, le medium plus bas.
Chez Dom le w-end dernier nous avons philosophé autour de la position de la main sur le manche de la contrebasse
Il a une correction acoustique très aboutie, c'est assez bluffant pour positionner les musiciens dans l'espace.
Sur un passage de Summertime de Patrice Barber, le gars à la contrebasse joue des notes qui montent. On peut les suivre "visuellement" car la succession de notes monte de plus en plus haut.
Pris dans l'écoute on a l'impression que la main du musicien monte sur le manche ...
Et bien non, sa main devrait descendre.
Zut on a brisé le rêve