Pour en revenir aux streamers. Dans une configuration utilisant une passerelle réseau (un streamer, un endpoint etc...la terminologue est variée) il n'y a pas de bénéfice à attendre en optimisant la machine en amont de cette passerelle.
Le jitter et le bruit qui peuvent potentiellement altérer / polluer la conversion sont principalement ceux générés par la passerelle et son interface audio et c'est donc les performances de cette passerelle ainsi que la résilience du DAC qui sont déterminantes pour l'audio pas celles de l'ordinateur en amont (le player dans le schéma ci dessous).
Les traitements audio qui peuvent être "lourds" sont réalisés sur la machine amont (serveur avec logiciel player), les données sont ensuite transmises sur le réseau de façon aysnchrone à une passerelle minimaliste et optimisée équipée d'une interface audio qui communique de façon asynchrone avec le DAC. Dans ce type d'architecture le réseau et l'asynchronisme isolent la conversion des problématiques de jitter et de bruit venant des traitement audio amont.
Par exemple un PC hyper optimisée comme le streamer PINK FAUN évoqué plus haut (notamment horloges de course, fanless, alims de la mort) n'a de sens que dans le cas ou il est raccordé directement au DAC. Si on utilise une config réseau avec passerelle externe, ou une carte réseau intégrée pour nourrir le DAC cela n'a pas beaucoup de sens de surinvestir la dessus. Une machine classique fait l'affaire peu importe si elle est bruyante et bruitante et qu'elle soit chargée par 300 process ou par moins de 30.
En attendant les liaisons optiques les hypocondriaques et ceux qui entendent la différences peuvent aussi, en complément, optimiser le réseau.
Le jitter et le bruit qui peuvent potentiellement altérer / polluer la conversion sont principalement ceux générés par la passerelle et son interface audio et c'est donc les performances de cette passerelle ainsi que la résilience du DAC qui sont déterminantes pour l'audio pas celles de l'ordinateur en amont (le player dans le schéma ci dessous).
Les traitements audio qui peuvent être "lourds" sont réalisés sur la machine amont (serveur avec logiciel player), les données sont ensuite transmises sur le réseau de façon aysnchrone à une passerelle minimaliste et optimisée équipée d'une interface audio qui communique de façon asynchrone avec le DAC. Dans ce type d'architecture le réseau et l'asynchronisme isolent la conversion des problématiques de jitter et de bruit venant des traitement audio amont.
Par exemple un PC hyper optimisée comme le streamer PINK FAUN évoqué plus haut (notamment horloges de course, fanless, alims de la mort) n'a de sens que dans le cas ou il est raccordé directement au DAC. Si on utilise une config réseau avec passerelle externe, ou une carte réseau intégrée pour nourrir le DAC cela n'a pas beaucoup de sens de surinvestir la dessus. Une machine classique fait l'affaire peu importe si elle est bruyante et bruitante et qu'elle soit chargée par 300 process ou par moins de 30.
En attendant les liaisons optiques les hypocondriaques et ceux qui entendent la différences peuvent aussi, en complément, optimiser le réseau.
ROON > HQPlayer > Allo-USBridge (DietPi) > T+A DAC8 DSD > NAD M22 (Ncore Hypex) > Harbeth SLH5+
Schéma installation
Schéma installation