09-23-2020, 10:02 PM
Salut à tous,
Je ne résiste pas ! Hier soir, premier concert de l'ONPL (Orchestre National des Pays de la Loire) depuis février. Ça nettoie les oreilles, ça remet les pendules à l'heure par rapport à nos "misérables" systèmes et ... ça fait du bien d'être face à la musique "réelle" !
Programme : le concerto pour violon de Berg "A la mémoire d'un ange" (soliste Carolin Widmann) et la Symphonie n°5 de Beethoven. Direction Pascal Rophé.
Ce sont deux œuvres que je connais sur le bout des doigts et j'ai beaucoup fermé les yeux en me concentrant sur les timbres des instruments, les impacts des percussions, la spatialisation de l'orchestre, la perception des instruments solistes et des tutti (comment les deux se combinent), l'extinction des sons, ...
Bien sûr, les mêmes œuvres jouées par les mêmes musiciens donneraient un résultat différent dans une autre acoustique mais quand même ... ce qui m'a sauté aux oreilles, c'est l'absence absolue d'agressivité dans l'aigu, la profondeur nette et sans lourdeur du grave des contrebasses, des bassons, de la grosse caisse, la parfaite distinction (dans une très grande salle !) des interventions solistes (piccolo ou hautbois par exemple) comme le ressenti impressionnant de la masse orchestrale.
Bref, un vrai bonheur musical après ces longs mois sans concerts !
A bientôt ...
davis
Je ne résiste pas ! Hier soir, premier concert de l'ONPL (Orchestre National des Pays de la Loire) depuis février. Ça nettoie les oreilles, ça remet les pendules à l'heure par rapport à nos "misérables" systèmes et ... ça fait du bien d'être face à la musique "réelle" !
Programme : le concerto pour violon de Berg "A la mémoire d'un ange" (soliste Carolin Widmann) et la Symphonie n°5 de Beethoven. Direction Pascal Rophé.
Ce sont deux œuvres que je connais sur le bout des doigts et j'ai beaucoup fermé les yeux en me concentrant sur les timbres des instruments, les impacts des percussions, la spatialisation de l'orchestre, la perception des instruments solistes et des tutti (comment les deux se combinent), l'extinction des sons, ...
Bien sûr, les mêmes œuvres jouées par les mêmes musiciens donneraient un résultat différent dans une autre acoustique mais quand même ... ce qui m'a sauté aux oreilles, c'est l'absence absolue d'agressivité dans l'aigu, la profondeur nette et sans lourdeur du grave des contrebasses, des bassons, de la grosse caisse, la parfaite distinction (dans une très grande salle !) des interventions solistes (piccolo ou hautbois par exemple) comme le ressenti impressionnant de la masse orchestrale.
Bref, un vrai bonheur musical après ces longs mois sans concerts !
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davis
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Rotel Michi P5 / Rotel Michi S5
Magnepan 3.7i / Kennerton Odin
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