11-12-2017, 11:44 PM
(Modification du message : 11-12-2017, 11:46 PM par loandsound.)
Bonsoir,
Je ne pensais vraiment pas venir poster un jour sur ce fil, mais voilà: je me suis avancé sous les projecteurs, et maintenant c'est à moi, pour vous parler de Story hifi, de toutes ces petites histoires qui font la joie et la grandeur de l'audiophilie, parce que c'est comme ça: une passion n'a de vertu que si elle permet de nous élever vers l'art, et pas si elle nous montre le bout du lard que l'on voulait oublier....
Alors voilà, je me suis dit que ce sujet en valait bien un autre pour démontrer les vertues de la musique, de cette passion faite pour adoucir les moeurs, et voilà-t-il pas que je me prends les pieds dans le tapis, placé délibérément pour amortir la pièce, mais je vous l'assure, m'a chute ne s'en est pas trouvé si amortie que cela, et frapper au clavier avec un torticolis n'est pas si facile que cela pour moi ce soir, je vous l'assure.
Je disais donc, ...la musique....ses vertues...Ah oui, ça me revient maintenant que j'ai pris deux doliipranes contre mon mal de tête, je me suis pris les pieds dans le tapis de l'innocence, celui que l'on avait placé pour amortir les reflexions indésirables, celles là même qui peuvent vous blesser par un coup derrière la nuque si l'on y prend garde. Et pourtant, j'avais été conseillé par des personnes avec plus de vingt ans d'expérience derrière elles, et qui en avaient lu des vertes et des pas mures dans ce domaine. Mais bon, il faut croire que cela n'aura pas été suffisant.
En fait, la musique, c'est sournois: ça vous joue du pipeau par-ci, du violon par là, et bing, un coup de grosse caisse derrière les oreilles et vous êtes abasourdis pour un bon moment...
Alors c'est décidé: ce soir, je secoue mon tapis pour le libérer de toutes ces vieilles certitudes erronées, et je reprend tout à zéro, parce que l'histoire ne sert délibérément pas de leçon...
Je ne pensais vraiment pas venir poster un jour sur ce fil, mais voilà: je me suis avancé sous les projecteurs, et maintenant c'est à moi, pour vous parler de Story hifi, de toutes ces petites histoires qui font la joie et la grandeur de l'audiophilie, parce que c'est comme ça: une passion n'a de vertu que si elle permet de nous élever vers l'art, et pas si elle nous montre le bout du lard que l'on voulait oublier....
Alors voilà, je me suis dit que ce sujet en valait bien un autre pour démontrer les vertues de la musique, de cette passion faite pour adoucir les moeurs, et voilà-t-il pas que je me prends les pieds dans le tapis, placé délibérément pour amortir la pièce, mais je vous l'assure, m'a chute ne s'en est pas trouvé si amortie que cela, et frapper au clavier avec un torticolis n'est pas si facile que cela pour moi ce soir, je vous l'assure.
Je disais donc, ...la musique....ses vertues...Ah oui, ça me revient maintenant que j'ai pris deux doliipranes contre mon mal de tête, je me suis pris les pieds dans le tapis de l'innocence, celui que l'on avait placé pour amortir les reflexions indésirables, celles là même qui peuvent vous blesser par un coup derrière la nuque si l'on y prend garde. Et pourtant, j'avais été conseillé par des personnes avec plus de vingt ans d'expérience derrière elles, et qui en avaient lu des vertes et des pas mures dans ce domaine. Mais bon, il faut croire que cela n'aura pas été suffisant.
En fait, la musique, c'est sournois: ça vous joue du pipeau par-ci, du violon par là, et bing, un coup de grosse caisse derrière les oreilles et vous êtes abasourdis pour un bon moment...
Alors c'est décidé: ce soir, je secoue mon tapis pour le libérer de toutes ces vieilles certitudes erronées, et je reprend tout à zéro, parce que l'histoire ne sert délibérément pas de leçon...