Cher Rastabill
Je pense que tu n'as pas lu l'intégralité de mon lien pour avancer ce que tu nous reproche a Meleau et moi...
Je rapporte du factuel ,jamais je ne decouragerais un jeune de passer au vinyle bien au contraire
.( @ contrario de certain qui leur dise de laiiser tomber l'affaire ...)
Je m'inscris en faux dans tes propos que je récuse en toute cordialité
Ce que je viens de te mettre en gras ,je le constate comme ces disquaires ..
Cela pose en fait le rapport de certains jeunes nantis ( ou pas ) avec l'argent ..quel que soit l'objet ( tel / baskets/ fringues ..)
et donc le vinyle ..
X...., Bordeaux : "Je suis en train de m'apercevoir que le public vinyle est en train de muter, tout simplement. C'est peut être moins des gens qui veulent en acheter beaucoup comme ma génération était, mais c'est plus une clientèle qui a son compte Deezer ou Spotify, mais quand ils aiment un artiste, ils veulent avoir l'objet. De ce fait, on voit des jeunes qui passent en caisse avec deux disques, ça leur fait 120 euros. Avec mon collègue, on s'y est habitué, mais au début on était gêné. ."
C....., Toulouse : "On a changé de clientèle. Je ne sais pas si les maisons de disques ont eu le nez creux, mais on se retrouve avec une clientèle qui n'a strictement plus rien à voir avec celle que j'avais il y a 3 ou 4 ans. C'est un public 'Radio Nostalgie', avec Queen, Supertramp, The Police, des trucs sur lesquels on n'avait rien misé avant. Tu as des jeunes qui viennent pour acheter du vinyle de ABBA. Je ne pensais pas que j'allais revendre un jour du ABBA ! Je n'ai rien contre eux, mais avant c'était des disques qui restaient dans les bacs à soldes et dont tout le monde n'avait rien à faire ! Et puis il y a aussi un nouveau public sur le rap français par exemple. Lomepal, PNL, les prix sont surréalistes. Je ne pensais vraiment pas que les jeunes allaient en acheter. Mais en fait, ils ont tellement l'habitude d'acheter des téléphones ou des baskets hors de prix, que pour le vinyle ils n'ont pas peur de mettre 40-45 euros dans un seul disque."
P...... Paris : "C'est un peu comme les bulles spéculatives. Il y a une offre et une demande qui a été un peu faussée ces dernières années. J'ai le sentiment qu'il y a une espèce de progression anormale des prix qui devrait s'arrêter parce que sinon, ça va devenir complètement irréaliste comme situation. ça risque de dégouter les petits jeunes de 20 ans. C'est un budget."
Ma crainte est plutôt dans cette dernière remarque ...
Je pense que tu n'as pas lu l'intégralité de mon lien pour avancer ce que tu nous reproche a Meleau et moi...
Je rapporte du factuel ,jamais je ne decouragerais un jeune de passer au vinyle bien au contraire
.( @ contrario de certain qui leur dise de laiiser tomber l'affaire ...)
Je m'inscris en faux dans tes propos que je récuse en toute cordialité
Ce que je viens de te mettre en gras ,je le constate comme ces disquaires ..
Cela pose en fait le rapport de certains jeunes nantis ( ou pas ) avec l'argent ..quel que soit l'objet ( tel / baskets/ fringues ..)
et donc le vinyle ..
X...., Bordeaux : "Je suis en train de m'apercevoir que le public vinyle est en train de muter, tout simplement. C'est peut être moins des gens qui veulent en acheter beaucoup comme ma génération était, mais c'est plus une clientèle qui a son compte Deezer ou Spotify, mais quand ils aiment un artiste, ils veulent avoir l'objet. De ce fait, on voit des jeunes qui passent en caisse avec deux disques, ça leur fait 120 euros. Avec mon collègue, on s'y est habitué, mais au début on était gêné. ."
C....., Toulouse : "On a changé de clientèle. Je ne sais pas si les maisons de disques ont eu le nez creux, mais on se retrouve avec une clientèle qui n'a strictement plus rien à voir avec celle que j'avais il y a 3 ou 4 ans. C'est un public 'Radio Nostalgie', avec Queen, Supertramp, The Police, des trucs sur lesquels on n'avait rien misé avant. Tu as des jeunes qui viennent pour acheter du vinyle de ABBA. Je ne pensais pas que j'allais revendre un jour du ABBA ! Je n'ai rien contre eux, mais avant c'était des disques qui restaient dans les bacs à soldes et dont tout le monde n'avait rien à faire ! Et puis il y a aussi un nouveau public sur le rap français par exemple. Lomepal, PNL, les prix sont surréalistes. Je ne pensais vraiment pas que les jeunes allaient en acheter. Mais en fait, ils ont tellement l'habitude d'acheter des téléphones ou des baskets hors de prix, que pour le vinyle ils n'ont pas peur de mettre 40-45 euros dans un seul disque."
P...... Paris : "C'est un peu comme les bulles spéculatives. Il y a une offre et une demande qui a été un peu faussée ces dernières années. J'ai le sentiment qu'il y a une espèce de progression anormale des prix qui devrait s'arrêter parce que sinon, ça va devenir complètement irréaliste comme situation. ça risque de dégouter les petits jeunes de 20 ans. C'est un budget."
Ma crainte est plutôt dans cette dernière remarque ...
Il m'arrive rarement d'admettre des choses sans les comprendre totalement ..
Mais cela m'arrive !
Mais cela m'arrive !