06-10-2021, 06:59 PM
(Modification du message : 06-11-2021, 09:45 AM par TheLostRecordings.)
Je ne suis pas certain de comprendre votre (vos?) question(s) mais je vais tenter d'y répondre :
Tous nos supports (du streaming à la laque) bénéficient du même soin d'édition - nous vous remercions, par ailleurs, de vos compliments sur l'édition CD.
Nous sommes passionnés, depuis des lustres, par le vinyle - un terme plutôt générique aujourd'hui... La plupart sont de piètre qualité. Notre édition vinyle est, parmi tous les supports que nous éditons, celle qui cristallise le plus concrètement l'ensemble de notre savoir-faire :
Pour fabriquer les nôtres, la durée de chaque face est optimisée, la gravure est réalisée par Kevin Gray à Los Angeles (le meilleur graveur selon nous) avec des burins et des laques sélectionnés, la galvanisation et les mères sont confiées à Quality Record Pressings dans le Kansas. Enfin, après validation des test-pressings, le pressage est réalisé en Allemagne. Il en résulte une qualité d'écoute qui va bien au-delà de celle du CD s'il est joué sur un système digne de ce nom (nous avons une platine réalisée par Pierre Riffaud sur cahier des charges, plusieurs bras et 5 cellules dont une Lyra Atlas).
Chaque exemplaire est de toute beauté, s'inscrit dans le cadre d'une série limitée et numérotée à la main.
Enfin, puisqu'il s'agit à chaque fois, d'une première édition, l'édition vinyle est recherchée par les collectionneurs (certains exemplaires atteignent malheureusement des cotes assez stratosphériques une fois en rupture de stock, dont le Live at Laren 1975 de Sarah Vaughan que vous évoquez et qui, est quasiment introuvable aujourd'hui).
Enfin, nous sommes très reconnaissants à Devialet d'avoir aidé cette aventure assez unique mais non, nous ne sommes plus partenaires depuis l'édition du Art Blakey 1958 à Scheveningen et le départ de M. Quentin Sannié.
J'espère avoir répondu le plus précisément à vos interrogations.
Tous nos supports (du streaming à la laque) bénéficient du même soin d'édition - nous vous remercions, par ailleurs, de vos compliments sur l'édition CD.
Nous sommes passionnés, depuis des lustres, par le vinyle - un terme plutôt générique aujourd'hui... La plupart sont de piètre qualité. Notre édition vinyle est, parmi tous les supports que nous éditons, celle qui cristallise le plus concrètement l'ensemble de notre savoir-faire :
Pour fabriquer les nôtres, la durée de chaque face est optimisée, la gravure est réalisée par Kevin Gray à Los Angeles (le meilleur graveur selon nous) avec des burins et des laques sélectionnés, la galvanisation et les mères sont confiées à Quality Record Pressings dans le Kansas. Enfin, après validation des test-pressings, le pressage est réalisé en Allemagne. Il en résulte une qualité d'écoute qui va bien au-delà de celle du CD s'il est joué sur un système digne de ce nom (nous avons une platine réalisée par Pierre Riffaud sur cahier des charges, plusieurs bras et 5 cellules dont une Lyra Atlas).
Chaque exemplaire est de toute beauté, s'inscrit dans le cadre d'une série limitée et numérotée à la main.
Enfin, puisqu'il s'agit à chaque fois, d'une première édition, l'édition vinyle est recherchée par les collectionneurs (certains exemplaires atteignent malheureusement des cotes assez stratosphériques une fois en rupture de stock, dont le Live at Laren 1975 de Sarah Vaughan que vous évoquez et qui, est quasiment introuvable aujourd'hui).
Enfin, nous sommes très reconnaissants à Devialet d'avoir aidé cette aventure assez unique mais non, nous ne sommes plus partenaires depuis l'édition du Art Blakey 1958 à Scheveningen et le départ de M. Quentin Sannié.
J'espère avoir répondu le plus précisément à vos interrogations.