(03-08-2018, 04:02 PM)jalucine a écrit : Nous ne sommes pas du tout d'accord sur la façon de générer un grave de haute-fidélité, mais cela n'a strictement aucune importance. La seule chose importante, c'est que tu écoutes de "bonnes vibrations". Et moi la musique comme je l'aime.
Hello Philippe,
Il est très difficile de défendre un "concept" ou une "théorie" sans une démonstration solide....un infraflex coûte moins de 100 euros et est très simple à fabriquer, cad, en général, moins cher que le déplacement jusque chez moi.....
Tout ceux qui l'ont fabriqué, suivant mon modèle, ont été impressionné par la qualité du grave reproduit...aucun n'a été déçu.
Au vu de tes réalisations, je pense que tu n'éprouveras aucune difficulté a en construire un.
Alors, plutôt que de supputer sur le grave qu'il fourni.......qui est beaucoup plus "hifi" que les modèles dérivés de la sono. Et qui, en plus, ne fait pas du tout résonner les pièces comme les modèles traditionnels, je te suggère de te lancer dans une fabrication, ce qui facilitera les échanges, car nous pourrons parler de la même chose.
Ce n'est, bien sûr, qu'une suggestion !
Amicalement,
Etienne
(03-08-2018, 05:36 PM)mélaudiophile a écrit :(03-08-2018, 11:23 AM)tientien a écrit : .Qui vont être en contradiction avec la théorie "vibrationnelle" que je préconise.
Salut tientien,
c'est de ça que tu parles ?
( http://theses.univ-lyon2.fr/documents/ge...part=91744 )
La théorie des vibrations ou théorie vibrationnelle
Un autre courant de recherche, initié en 1938 (Dyson, 1938), suggère que ce sont les vibrations moléculaires des substances odorantes qui sont responsables de l'odeur des molécules. Cette théorie a été approfondie et développée par Wright (Wright, 1977). Ce dernier propose que les récepteurs aux odeurs soient activés par les vibrations moléculaires des odorants, dues à l'agitation thermique. Selon cette hypothèse, il faut considérer la région des spectres d’absorption infrarouge (spectres IR) qui s'étend de 100 à 500 cm-1. Chaque récepteur aux odeurs ne serait sensible qu'à une partie restreinte de cette région spectrale: selon Wright, la largeur de la bande spectrale que reconnaît un récepteur aux odeurs serait de 12,8 cm-1 (Wright, 1977). Selon un tel système, la discrimination des molécules odorantes est possible parce que les substances odorantes ont des spectres de vibrations variés et que les récepteurs reconnaissent des bandes spectrales différentes.
Cette théorie a été abandonnée pour deux raisons principalement. Premièrement, aucun mécanisme plausible n'a été proposé pour expliquer comment les récepteurs détectaient les vibrations moléculaires. Deuxièmement, et c'est surtout ce point, qui a fait rejeter la théorie des vibrations, de nombreux énantiomères ont des propriétés odorantes différentes ; les énantiomères du menthol et de la carvone sont les exemples les plus connus. Or, de manière systématique, les spectres vibrationnels de deux énantiomères sont rigoureusement identiques !
Pas très auditif, pourrais-tu donner un lien pour qu'on puisse se documenter ?
Jean
Hello Jean,
Pour le lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vibration
Bonne lecture,
Amicalement,
etienne