08-01-2020, 10:50 PM
(Modification du message : 08-01-2020, 10:52 PM par Sin Nombre.)
Merci pour tous ces bons titres!
Je dois dire que vous m'avez fait découvrir le "funk psychédélique", et, çà ne me déplaît pas du tout!
Après, je dois avouer à en être encore à mes définitions... Et, là, j'ai beaucoup de mal! Oliver Cheatam dans le disco... Ben, je ne suis pas d'accord!
J'en suis venu à "me" faire une définition assez totalement contestable mais il fait chaud et mes neurones ont beaucoup chauffées:
- Le funk a une double dynamique tel le "tintinabuli" d'Arvo Pärt: Il y a une ligne sous-jacente à la mélodie qui la sous-tend pour la porter toute entière. Par là, il y a un arrière-plan à la mélodie qui la met en oeuvre en affirmant une "ligne" musicale depuis une ambivalence qui tend à une distanciation phraséologique. Le funk est une musique raffinée, qui s'apprécie dans une reconnaissance des distanciations de sa propre composition. L'écouter, c'est faire un chois dans la mesure distanciative entre la ligne globale de l'accompagnement qui sous-tend un ensemble et une mélodie qui jaillit depuis un dépassement de cette même ligne.
- Le disco est plus fusionnel au niveau orchestration: Tout est porté par la mélodie qui devient terriblement prenante, accaparante. Tout est dans le jaillissement du mélodique où toute la composition musicale sert le mélodique. Il n'y a pas de distanciation entre un arrière-plan et un "en-avant' comme dans le funk. Mais, j'aime énormément cette projection offerte par le disco...
Par là, je maintiens que Cheatam est "funk" et non 'disco".
Bon; il fait chaud, et je me suis bien cassé la tête pour essayer d'avancer!
Je dois dire que vous m'avez fait découvrir le "funk psychédélique", et, çà ne me déplaît pas du tout!
Après, je dois avouer à en être encore à mes définitions... Et, là, j'ai beaucoup de mal! Oliver Cheatam dans le disco... Ben, je ne suis pas d'accord!
J'en suis venu à "me" faire une définition assez totalement contestable mais il fait chaud et mes neurones ont beaucoup chauffées:
- Le funk a une double dynamique tel le "tintinabuli" d'Arvo Pärt: Il y a une ligne sous-jacente à la mélodie qui la sous-tend pour la porter toute entière. Par là, il y a un arrière-plan à la mélodie qui la met en oeuvre en affirmant une "ligne" musicale depuis une ambivalence qui tend à une distanciation phraséologique. Le funk est une musique raffinée, qui s'apprécie dans une reconnaissance des distanciations de sa propre composition. L'écouter, c'est faire un chois dans la mesure distanciative entre la ligne globale de l'accompagnement qui sous-tend un ensemble et une mélodie qui jaillit depuis un dépassement de cette même ligne.
- Le disco est plus fusionnel au niveau orchestration: Tout est porté par la mélodie qui devient terriblement prenante, accaparante. Tout est dans le jaillissement du mélodique où toute la composition musicale sert le mélodique. Il n'y a pas de distanciation entre un arrière-plan et un "en-avant' comme dans le funk. Mais, j'aime énormément cette projection offerte par le disco...
Par là, je maintiens que Cheatam est "funk" et non 'disco".
Bon; il fait chaud, et je me suis bien cassé la tête pour essayer d'avancer!