11-13-2018, 03:20 PM
La musique est une muse et s' amuse avec nous.
Elle joue et elle chante tout en nitescence.
Elle s' écoute et nous dégoûte.
Un air est mélodieux un air est odieux.
Dieu nous amène aux cieux.
Il a une voix de ténor.
Le ténor n' est pas un pacant.
Il a fait un pacte avec nous.
Si on l' entend chanter,
On ne sera pas des maîtres chanteurs.
Juste des danseurs heureux.
Sans recevoir de contre-danses.
La musique est dense comme un océan.
Et se dandine sans faire de vagues.
Son léger bruissement berce les oreilles.
Avant que le vombrissement des graves péchés,
Retentissent.
A la basse se trouve le ténor.
Dans la basse-cour les enfants de choeurs.
Chantant d'un mal aiguë en culotte courte.
Le médium nous avait prévenu.
Que nos coeurs allaient vibrer.
Sur les sonates au clair de lune.
Et les sornettes qui se répandent.
Que la musique est péché.
Qu' elle nique la foi.
Et fornique avec le Diable.
Quelle diablesse sensuelle en résulte.
Loin d'en être une insulte.
Elle osculte nos émotions,
Et nous inculque le plaisir.
De l' entendre vibrer et danser.
Dans une mer calme.
Où même une mère " audiophilie ",
Fera sombrer dans les obsures abysses,
Sa piètre philosophie.
La musique est abyssale.
Elle nous habille de son air chatoyant.
Parmi l' orchestre symphonique.
Qu'est le plaisir de la vie.
A travers chacune de ses mélodies.
Qu' on embellit avec nos moyens.
De les restituer grâce à notre passion d' audiophile.
En les amplifiant.
Puis de les faire devenir enceintes.
Afin de faire naître ce plaisir jouissif.
Que celui d'écouter la musique,
Tout simplement...
Zébulon.
Elle joue et elle chante tout en nitescence.
Elle s' écoute et nous dégoûte.
Un air est mélodieux un air est odieux.
Dieu nous amène aux cieux.
Il a une voix de ténor.
Le ténor n' est pas un pacant.
Il a fait un pacte avec nous.
Si on l' entend chanter,
On ne sera pas des maîtres chanteurs.
Juste des danseurs heureux.
Sans recevoir de contre-danses.
La musique est dense comme un océan.
Et se dandine sans faire de vagues.
Son léger bruissement berce les oreilles.
Avant que le vombrissement des graves péchés,
Retentissent.
A la basse se trouve le ténor.
Dans la basse-cour les enfants de choeurs.
Chantant d'un mal aiguë en culotte courte.
Le médium nous avait prévenu.
Que nos coeurs allaient vibrer.
Sur les sonates au clair de lune.
Et les sornettes qui se répandent.
Que la musique est péché.
Qu' elle nique la foi.
Et fornique avec le Diable.
Quelle diablesse sensuelle en résulte.
Loin d'en être une insulte.
Elle osculte nos émotions,
Et nous inculque le plaisir.
De l' entendre vibrer et danser.
Dans une mer calme.
Où même une mère " audiophilie ",
Fera sombrer dans les obsures abysses,
Sa piètre philosophie.
La musique est abyssale.
Elle nous habille de son air chatoyant.
Parmi l' orchestre symphonique.
Qu'est le plaisir de la vie.
A travers chacune de ses mélodies.
Qu' on embellit avec nos moyens.
De les restituer grâce à notre passion d' audiophile.
En les amplifiant.
Puis de les faire devenir enceintes.
Afin de faire naître ce plaisir jouissif.
Que celui d'écouter la musique,
Tout simplement...
Zébulon.