08-02-2017, 08:45 AM
Salut à tous,
Je crois que cette déconfiture des festivals de jazz dans le temps est un peu la loi du genre. J'ai eu l'immense bonheur de participer à la 1ere "grande parade" de Nice, puis à "Jazz à Nice" dans les jardins de Cimiez au cours des six ou sept années suivantes où j'ai vu Earl Hines, Count, Mingus, JL Hooker, Muddy, Kenny Clarke, Max Roach, Dizzy etc. 30 ans plus tard, le constat est le même qu'à Marciac : épuisement du malade par non renouvellement des cellules. Parce ce qu'en fait, la vraie cause du dépérissement est là: il n'y a plus, à l'exception confondante de Amad Jahmal, de grands du jazz sur scène. Pour eux, le "live" c'est un peu comme les tournées du XV de France: on rentabilise, on montre le maillot, on fait plaisir aux Fédés et puis c'est tout, pour le jeu (dans tous le sens du terme) on repassera.
Je crois que cette déconfiture des festivals de jazz dans le temps est un peu la loi du genre. J'ai eu l'immense bonheur de participer à la 1ere "grande parade" de Nice, puis à "Jazz à Nice" dans les jardins de Cimiez au cours des six ou sept années suivantes où j'ai vu Earl Hines, Count, Mingus, JL Hooker, Muddy, Kenny Clarke, Max Roach, Dizzy etc. 30 ans plus tard, le constat est le même qu'à Marciac : épuisement du malade par non renouvellement des cellules. Parce ce qu'en fait, la vraie cause du dépérissement est là: il n'y a plus, à l'exception confondante de Amad Jahmal, de grands du jazz sur scène. Pour eux, le "live" c'est un peu comme les tournées du XV de France: on rentabilise, on montre le maillot, on fait plaisir aux Fédés et puis c'est tout, pour le jeu (dans tous le sens du terme) on repassera.