06-22-2024, 05:11 PM
(Modification du message : 06-22-2024, 05:31 PM par Musicalbox.)
Un petit détail : "sans contre-réaction", cela n'existe pas.......
Il y a obligatoirement une contre-réaction.
En revanche elle peut soit être globale, soit locale.
Gérer une contre-réaction globale n'est pas simple, l'habitude a donc été prise par beaucoup de marques de passer à la contre-réaction locale. Donc pas de contre-réaction ... globale, oui, mais contre-réactions (du coup plusieurs) locales.
A rappeler aussi qu'il n'y a de différence entre classe A et A/B que dans le réglage du courant de repos.
Un ampli "en classe A", n'a rien de fondamentalement différent dans sa conception. Il s'agit simplement de pousser les composants à travailler en permanence ou pas.
vous prenez un ampli en classe A/B, vous baisser le courant de repos il tourne en classe B, vous monter il tourne en classe A..........
Un ampli en classe A/B tiédit mais ne surchauffe pas, tant qu'un ne le pousse pas, il tourne en classe A.
Un ampli est meilleur qu'un autre parce qu'il est mieux conçu, mais ce n'est pas une question de classe.
Aucune généralité n'est possible sur le résultat d'une classe par rapport à l'autre : si l'ampli est bien conçu, il sonne beau, et inversement, mais la classe A ou B n'y est pour rien, la classe ne détermine qu'un niveau d'exploitation des composants, en aucun cas la valeur du schéma.
Le "son classe A" n'est qu'un mythe, cela n'existe pas, il y a simplement des schémas et composants qui sonnent différemment, mais si on vous aligne en test deux amplis qui ont les mêmes caractéristiques de conception, l'un en classe A l'autre en A/B, sans savoir qui est qui vous ne ferez aucune différence.
Que change dans le résultat le fait d'augmenter le courant de repos ? Une sensation d'énergie.
Mais aucune, pas la moindre action sur les timbres.
Il y a obligatoirement une contre-réaction.
En revanche elle peut soit être globale, soit locale.
Gérer une contre-réaction globale n'est pas simple, l'habitude a donc été prise par beaucoup de marques de passer à la contre-réaction locale. Donc pas de contre-réaction ... globale, oui, mais contre-réactions (du coup plusieurs) locales.
A rappeler aussi qu'il n'y a de différence entre classe A et A/B que dans le réglage du courant de repos.
Un ampli "en classe A", n'a rien de fondamentalement différent dans sa conception. Il s'agit simplement de pousser les composants à travailler en permanence ou pas.
vous prenez un ampli en classe A/B, vous baisser le courant de repos il tourne en classe B, vous monter il tourne en classe A..........
Un ampli en classe A/B tiédit mais ne surchauffe pas, tant qu'un ne le pousse pas, il tourne en classe A.
Un ampli est meilleur qu'un autre parce qu'il est mieux conçu, mais ce n'est pas une question de classe.
Aucune généralité n'est possible sur le résultat d'une classe par rapport à l'autre : si l'ampli est bien conçu, il sonne beau, et inversement, mais la classe A ou B n'y est pour rien, la classe ne détermine qu'un niveau d'exploitation des composants, en aucun cas la valeur du schéma.
Le "son classe A" n'est qu'un mythe, cela n'existe pas, il y a simplement des schémas et composants qui sonnent différemment, mais si on vous aligne en test deux amplis qui ont les mêmes caractéristiques de conception, l'un en classe A l'autre en A/B, sans savoir qui est qui vous ne ferez aucune différence.
Que change dans le résultat le fait d'augmenter le courant de repos ? Une sensation d'énergie.
Mais aucune, pas la moindre action sur les timbres.