Enceintes Magico

[rabelais]

Bonjour Thierry,
Deux remarques sur ton dernier message :
On n’ose plus improviser aujourd’hui dans Bach, peut-être parce qu’on ne sait pas non plus improviser dans le sens où il était implicite d’improviser à son époque. Quelque chose de l’ordre d’un savoir perdu. Ne pas improviser pour ne pas être infidèle ou ne pas improviser pour ne pas le faire infidèlement ?

Ce que tu écris sur le « d’après » vaut aussi pour toutes les traductions, la composition des Pensées de Pascal, etc. C’est peut-être pourtant plus simple de les présenter comme des textes de leur auteur, non ?

Au fond, on devrait tous commencer toutes nos phrases par « je crois que » mais on ne le fait pas non plus. Enfin je crois…